Au soir de sa défaite devant Nicolas Sarkozy, il y a près de quatre ans, une Ségolène Royal tout sourire promettait « d’autres victoires » à ses partisans… Elle est aujourd’hui fidèle au rendez-vous – et le plus étonnant n’est pas qu’elle y soit, mais qu’ils aient été si nombreux à en douter. C’est qu’ils étaient encore dans la politique d’avant, avant l’avènement de la société du spectacle et de l’individu-roi, quand quelques initiés pouvaient décider entre eux des choix à laisser au bon peuple… En 2006 déjà, Ségolène Royal avait bousculé tout cela, tandis qu’un certain Nicolas Sarkozy faisait la même chose dans son camp, tous deux déclenchant la haine. Elle recommence, Ségolène, plus Royal que jamais. Tant pis pour François, Martine, Dominique et les autres, tant mieux pour le débat – et à la fin, que le meilleur gagne.
mardi 30 novembre 2010
Royal
Au soir de sa défaite devant Nicolas Sarkozy, il y a près de quatre ans, une Ségolène Royal tout sourire promettait « d’autres victoires » à ses partisans… Elle est aujourd’hui fidèle au rendez-vous – et le plus étonnant n’est pas qu’elle y soit, mais qu’ils aient été si nombreux à en douter. C’est qu’ils étaient encore dans la politique d’avant, avant l’avènement de la société du spectacle et de l’individu-roi, quand quelques initiés pouvaient décider entre eux des choix à laisser au bon peuple… En 2006 déjà, Ségolène Royal avait bousculé tout cela, tandis qu’un certain Nicolas Sarkozy faisait la même chose dans son camp, tous deux déclenchant la haine. Elle recommence, Ségolène, plus Royal que jamais. Tant pis pour François, Martine, Dominique et les autres, tant mieux pour le débat – et à la fin, que le meilleur gagne.
Au soir de sa défaite devant Nicolas Sarkozy, il y a près de quatre ans, une Ségolène Royal tout sourire promettait « d’autres victoires » à ses partisans… Elle est aujourd’hui fidèle au rendez-vous – et le plus étonnant n’est pas qu’elle y soit, mais qu’ils aient été si nombreux à en douter. C’est qu’ils étaient encore dans la politique d’avant, avant l’avènement de la société du spectacle et de l’individu-roi, quand quelques initiés pouvaient décider entre eux des choix à laisser au bon peuple… En 2006 déjà, Ségolène Royal avait bousculé tout cela, tandis qu’un certain Nicolas Sarkozy faisait la même chose dans son camp, tous deux déclenchant la haine. Elle recommence, Ségolène, plus Royal que jamais. Tant pis pour François, Martine, Dominique et les autres, tant mieux pour le débat – et à la fin, que le meilleur gagne.
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