TOUT EST DIT

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mercredi 25 décembre 2013

Le socialisme est un parasitisme et comme tous les parasites

il se développe sans tenir compte de son "hôte" jusqu'à l'étouffer ou le vider entièrement.
Le seuil critique est donc un concept inconnu du socialisme parasitaire.

Il est bien évident que ce seuil est dépassé depuis belle lurette : il suffit d'observer les scores de la France dans tous les classements internationaux. Dégringolade dans à peu près tous les domaines...

Consultez par exempple via google :
Compétitivité : la France perd encore du terrain
Déclin : la France bientôt rétrogradée 9ème puissance économique mondiale...

On voit donc concrètement que ce seuil est ignoré par le gouvernement socialiste qui pense visiblement encore que la France est la lumière qui éclaire le monde et donc que son modèle va être copié car c'est la seule issue au socialisme : que tout le monde fasse la même erreur et suive le même programme parasitaire pour tuer toute concurrence...

Le graphique qui permet de comprendre en un coup d'œil pourquoi le bilan 2013 de François Hollande est malheureusement calamiteux


Ronald Reagan, président des Etats-Unis, qui a su à partir de 1980 sortir son pays de l’enlisement et du déclin, avait écrit plusieurs années avant d’être candidat une petite fable. Elle expliquait très simplement la situation dans laquelle se trouvait l’économie américaine. 
Il était une petite poule rousse qui grattait le sol de la basse-cour à la recherche de quelques grains de blé. Elle appela ses voisins et leur dit : « Si nous semons ce blé, nous aurons du pain.»
« Qui veut m’aider à le semer ? » « Pas moi », dit la vache. « Ni moi », dit le canard. « Ni moi », dit le cochon. « Pas moi non plus », dit l’oie. « Eh bien, je le ferai », dit la petite poule rousse. Et elle le fit. Le blé fut semé, il poussa et mûrit en un beau grain doré.
« Qui va m’aider à moissonner mon blé ? », demanda la petite poule. « Pas moi », dit le canard. « Ce n’est pas dans mes qualifications », dit le cochon. « J’y perdrais mon ancienneté », dit la vache. « J’y perdrais mes indemnités de chômage », dit l’oie. « Eh bien, je le ferai », dit la petite poule rousse.
Enfin arriva le moment de faire cuire le pain.
« Qui va m’aider à le cuire ? », demanda la petite poule rousse. « Ce serait des heures supplémentaires pour moi », dit la vache. « J’y perdrais mes allocations sociales », dit le canard. « On ne me l’a jamais appris », dit le cochon. « Mais si je suis seule à t’aider, ce serait de la discrimination », dit l’oie. « Eh bien, je le ferai », dit la petite poule qui fit cuire cinq miches de pain.
Elle les montra à ses voisins, et tous en voulurent une part ! Mais alors, la petite poule dit : « Ah ! non, je mangerai moi-même les cinq miches. » La vache protesta : « Superprofits ! » Le canard s’exclama : « Avidité capitaliste ! » L’oie siffla : « J’exige l’égalité des droits. » Et le cochon grommela. Tous se mirent à peindre le mot “injustice” sur des banderoles et ils défilèrent autour de la petite poule rousse en scandant des horreurs.
Vint un fonctionnaire. « Tu ne dois pas en vouloir trop », dit-il à la petite poule. « Mais j’ai gagné mon pain », répondit-elle. « C’est vrai, dit le fonctionnaire. Ça, c’est le merveilleux système de la liberté d’entreprise : tout le monde peut gagner autant qu’il le veut. Mais avec nos réglementations sociales, les travailleurs les plus productifs doivent partager le fruit de leur travail avec ceux qui ne font rien. »
Et c’est ainsi qu’ils vécurent tous ensemble, y compris la petite poule rousse qui souriait et remerciait : « Comme je vous suis reconnaissante, comme je vous suis reconnaissante !... » Mais ses voisins se demandèrent bientôt pourquoi elle ne fit plus jamais cuire de pain…
C’est très exactement ce qui se produit en France, où on nous explique que « la France ne s’en sort pas si mal que cela, grâce à son modèle social ». A l’appui de ce propos, on nous montre l’évolution du PIB de l’Etat. Malheureusement, ce n’est pas celle du PIB marchand, qui ne comprend que le secteur privé. La descente, comme on peut le voir sur le graphique ci-dessous, est spectaculaire :
(Cliquez sur le graphique pour l'agrandir)
La conclusion est simple : « on ne peut pas aider le salarié en anéantissant l’employeur. On ne peut créer la prospérité en décourageant l’épargne ». C’est ce que disait Abraham Lincoln, autre président des Etats-Unis.
Pour tous ceux qui souhaitent lire un bilan complet de l’année 2013, ils pourront le faire la semaine prochaine.
Très bon Noël et excellente année à tous mes lecteurs.