TOUT EST DIT

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vendredi 23 octobre 2009

M6 souffle à TF1 le match décisif Eire-France de football

Autre signe de dysfonctionnement, M6 a annoncé jeudi avoir obtenu la retransmission du match aller des barrages devant opposer la France à l'Eire, qui se déroulera le 14 novembre en Irlande. TF1 avait les droits exclusifs pour les matchs en France, mais pas dans tous les pays européens, où chaque fédération peut vendre les droits d'un match à qui elle veut, ce que vient de faire l'Irlande avec M6 pour 5 millions d'euros. Dans un communiqué la UNE dit regretter "l'échec des négociations menées par le mandataire de la FFF". En guise de justification, elle explique qu'"en dépit des sollicitations du mandataire de la Fédération irlandaise, TF1 s'est fait un devoir de loyauté vis-à-vis de la FFF en se refusant d'entreprendre en direct toute négociation, laissant à la seule FFF le soin de défendre ses intérêts". Dans les couloirs de TF1, on regrette la perte de ce match. "Une telle chose ne serait jamais arrivée quelques années auparavant", chuchote-t-on.

Le départ d'Axel Duroux est-il inquiétant pour TF1?

Après 3 semaines de guerre ouverte avec le PDG de TF1, Nonce Paolini, Axel Duroux a annoncé vendredi sa démission. De quoi jeter un peu plus le trouble sur la stratégie de la première chaîne française.
Arrivé en sauveur à TF1 le 15 septembre, Axel Duroux a démissionné le 23 octobre aux termes de 3 semaines de bagarres avec le PDG Nonce Paolini C'est pourtant lui qui en juin dernier décide de faire appel à l'homme qui en 4 ans est parvenu à redresser RTL. A l'époque, les clignotants sont au rouge, "la pub n'allait pas bien, les audiences n'étaient pas bonne, on ne voyait pas clairement la stratégie de la chaîne", explique Philippe Bailly, directeur de NPA Conseil. Mais il faudra 3 mois de préavis pour que le nouveau directeur des programmes prenne ses fonctions. Or mi-septembre, la situation de la chaîne s'est nettement améliorée. Nonce Paolini annonce "la relance dans tous les domaines". En septembre, la part d'audience frôle les 27% alors qu'elle avait atteint 25,5% -sa plus basse part de marché- en mai. Même la chute des recettes publicitaires est "endiguée" selon le président du groupe.
Difficile dans ce nouveau contexte d'apparaître comme un sauveur. "L'erreur d'Axel Duroux a probablement été de croire qu'il allait détenir les reines de la chaînes", explique un analyste. De fait dès le départ, le rôle de chacun n'est pas clairement défini. L'un croit avoir tous les droits sur les programmes, quand l'autre sait avoir l'appui inconditionnel de Martin Bouygues sur la direction de ces mêmes programmes.
A la différence, de Patrick Le Lay et Etienne Mougeotte, l'ancien duo à la tête de la chaîne, le nouveau tandem se bat pour la même place. Duroux n'est d'ailleurs par le numéro 2, mais le numéro un bis...Nonce Paolini ne le supportera pas. Et Martin Bouygues est obligé de choisir. "Plus qu'un échec cuisant de management, cet épisode atteste du manque de clarté stratégique du groupe", estime alors un analyste.
Problème de management

A la bourse de Paris, les investisseurs s'inquiètent. A la clôture, le titre chute de près de 4,5% dans un marché stable. "Le marché attendait beaucoup d'Axel Duroux", souligne Charles Bedouelle, analyste chez Exane BNP Paribas. Pourquoi ? Parce que TF1 avait enfin pris acte qu'il fallait deux hommes à sa tête, l'un devant défendre l'audience et l'autre la stratégie plus globale du groupe. "TF1 est une chaîne historique avec un savoir faire à protéger. La poursuite de l'audience devait être un but en soi, et c'est ce que voulait Duroux explique un ancien dirigeant de TF1. Ce dernier voulait récupérer les 30% d'audience de TF1 jamais retrouvés depuis 2007, quand Paolini se satisfait très bien de 25%". Pour Nonce Paolini à l'origine du "Plan de redressement" de la chaîne, la priorité est avant tout de moderniser l'offre numérique de son groupe, et de placer internet au coeur de sa stratégie de développement. La solution qui paraissait miraculeuse pour le groupe s'avère être un véritable échec.

Pour les analystes, un homme plus discret, issu de Bouygues comme Paolini, saura peut-être d'avantage concilier la double stratégie de TF1. Mais l'urgence est de plus en plus grande. Face à sa rivale M6, dont la chaîne premium a bien progressé, dont la chaîne W9 bat des records et dont les investissements dans les programmes n'ont pas diminué, TF1 a encore beaucoup de chemin à parcourir.

"La France n'a pas à s'excuser de renvoyer des étrangers en situation irrégulière"

Après le renvoi de trois Afghans en situation irrégulière dans leur pays en guerre, François Fillon n'a aucun regret. "Ceux qui contestent notre fermeté sont parfois les mêmes que ceux qui nous reprochent de combattre en Afghanistan pour assurer la paix et la sécurité de ce pays", a plaidé le premier ministre, qui s'exprimait lors de l'inauguration d'une caserne de gendarmerie à Domont (Val-d'Oise), vendredi 23 octobre.
"Il faut être cohérent, il y a quelques années un autre gouvernement d'une autre majorité renvoyait des Afghans en situation irrégulière en Afghanistan alors même que le régime était celui des talibans (...). En la matière, nous n'avons aucune leçon de morale à recevoir car s'il est bien un pays et un gouvernement qui ne laissent pas tomber le peuple afghan, c'est bien le nôtre", a-t-il ajouté.

Evoquant le vol qui a ramené à Kaboul, dans la nuit de mardi à mercredi, trois Afghans interpellés en France, il a affirmé que le gouvernement avait pris sa décision "après s'être assuré que toutes les solutions alternatives ont bien été proposées à ces personnes : une aide au retour volontaire et le dépôt d'une demande d'asile, qui en l'occurrence a été rejetée par l'Ofpra" (Office de protection des réfugiés et apatrides).

Le changement d'heure - MINUTE CULTURELLE Cug' & Westrou

Faut-il supprimer les avantages fiscaux des footballeurs?

Les députés ont adopté des amendements visant à supprimer certains avantages fiscaux et sociaux dont bénéficient les sportifs de haut niveau, notamment les footballeurs. Les patrons de clubs crient à la démagogie et dénoncent une perte de compétitivité du foot français.

Les députés ont adopté cette semaine deux amendements visant à rogner les avantages fiscaux des sportifs professionnels, au premier rang desquels les footballeurs, dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) et du budget de l'Etat pour 2010.
Quels sont ces privilèges ?

Deux dispositifs sont visés. En premier lieu, l'option pour le bénéfice moyen, un système de lissage des revenus qui permet aux sportifs de payer moins d'impôt en faisant une moyenne de leur revenu sur trois ou cinq ans. Un amendement présenté par le député UMP Marc Le Fur prévoit d'exclure les sportifs professionnels de cet avantage, en le réservant aux sportifs amateurs.

Autre niche - sociale - réservée aux sportifs : le droit d'image collectif. Ce dispositif, créé en 2005, permet de faire passer 30 % de la rémunération d'un sportif professionnel en droits d'image, totalement exonérés de charges sociales. En 2002, le Parlement avait déjà décidé de limiter cette exonération aux rémunérations versées jusqu'au 30 juin 2012. Yves Bur, rapporteur UMP du PLFSS, a déposé un amendement pour le supprimer à compter du 31 octobre 2009.

"Au moment où chacun est appelé à contribuer à la sauvegarde de notre protection sociale, il ne serait pas compréhensible que perdure l'exonération" sur une "part substantielle" des revenus des sportifs professionnels "au prétexte du droit à l'image", fait valoir le rapporteur UMP, Yves Bur, dans son exposé des motifs.
A combien s'élèvent ces cadeaux ?

Le manque à gagner n'est pas négligeable. En arrivant au PSG la saison dernière, le footballeur Claude Makelele a signé pour près de 3,5 millions d'euros de salaire annuel. Pour autant, il peut compter sur une réduction d'impôt de 500.000 euros.

Certes, le droit d'image collectif ne se déclenche qu'au-delà d'un seuil (deux fois le plafond de la Sécurité sociale pour le rugby et le basket, soit 5.718 euros mensuels, trois fois pour le football soit 8.577 euros). A savoir tout de même que le salaire moyen d'un footballeur de Ligue 1 dépasse 45.000 euros par mois...

En 2008, plus de 1.200 sportifs en bénéficiaient, dont 70 % des joueurs de l'élite du football. Le coût est de l'ordre de 30 millions d'euros par an pour les comptes sociaux.
Quels sont les arguments des patrons de clubs de foot pour justifier ces avantages?

Ils mettent en avant le manque de compétitivité du football français face aux grands clubs européens. "Ces mesures sont incohérentes et démagogiques, dénonce Philippe Diallo, directeur général de l'Union des clubs professionnels de football (UCPF). Incohérentes car il y a moins d'un an, le gouvernement commandait à Eric besson un rapport pour améliorer la compétitivité des clubs de football français. Or la suppression de ces avantages va à l'évidence induire une perte de compétitivité. Et démagogiques car on laisse croire aux Français que cela va réduire la dette de la Sécurité sociale, or il n'en est rien."

En effet, explique Philippe Diallo, le lissage de l'impôt sur le revenu ne concerne que de manière marginale le football. Ce dispositif est surtout utilisé par les sportifs individuels qui touchent épisodiquement une grosse somme d'argent (par exemple en remportant un tournoi de tennis). Quant au droit d'image collectif, le manque à gagné est intégralement reversé aux comptes sociaux par le ministère des Sports.

"Ces mesures vont faire passer la France en deuxième division du football européen", conclut le directeur de l'UCPF.
POURQUOI HURLER À LA DÉMAGOGIE ? LES FOOTBALEURS TOUCHENT DES SOMMES FARAMINEUSES, ILS DOIVENT ÊTRE ASSUJETIS À L'IMPÔT, COMME MOI ET NOUS TOUS.

Les Etats-Unis demandent l'extradition de Roman Polanski

Les autorités américaines ont officiellement demandé l'extradition de Roman Polanski. "Le 22 octobre 2009, l'ambassade des Etats-Unis à Berne a adressé une demande formelle d'extradition à l'Office fédéral de la justice (OFJ), respectant ainsi le délai de quarante jours prévu dans le traité d'extradition conclu entre les Etats-Unis et la Suisse", a indiqué l'OFJ dans un communiqué publié vendredi. Dans la foulée, Me Hervé Temime, l'avocat du cinéaste franco-polonais, a indiqué que "M. Polanski ne change pas de cap. Il n'acceptera pas la demande d'extradition des Etats-Unis".
Le cinéaste franco-polonais, sous le coup d'un mandat d'arrêt américain, a été interpellé le 26 septembre à Zurich, où il devait recevoir un prix pour l'ensemble de son œuvre. Il a été placé en détention aux fins d'extradition. Agé de 76 ans, il avait fui les Etats-Unis après que la justice californienne l'eut jugé coupable d'avoir eu des relations sexuelles avec une mineure de 13 ans en 1977.

"Cette demande [d'extradition] se fonde sur un mandat d'arrêt décerné par la Cour supérieure de l'Etat de Californie pour le comté de Los Angeles le 1er février 1978", précise l'Office fédéral de la justice. "Cette Cour a émis ce mandat d'arrêt parce que Roman Polanski ne s'est pas présenté au juge malgré son engagement. Dans le cadre de la procédure pénale américaine, il s'est déclaré coupable d'avoir eu des relations sexuelles avec une mineure."

La Suisse a reconnu mercredi avoir contacté elle-même les Etats-Unis après avoir eu connaissance de l'arrivée prévue en Suisse du cinéaste, pour leur demander si leur mandat d'extradition émis en 2005 était toujours valable. "Lorsqu'en septembre nous avons reçu des informations selon lesquelles M. Polanski devait se rendre à Zurich, nous avons écrit aux autorités américaines pour savoir si le mandat était toujours valable pour éviter une arrestation inutile", a expliqué le porte-parole de l'Office fédéral de la justice.

Axel Duroux, directeur général de TF1, quitte la chaîne

La direction de TF1 a confirmé, vendredi matin 23 octobre, le départ d'Axel Duroux, son directeur général, quatre mois seulement après l'annonce de sa nomination. Ils "ont décidé de se séparer d'un commun accord pour divergences de vue stratégiques sur la conduite de l'entreprise", a annoncé le groupe dans un communiqué. Selon Le Figaro, cette décision est la conséquence de ses divergences avec le PDG de la chaîne, Nonce Paolini.
Axel Duroux était l'artisan du redressement de RTL. Il était arrivé le 15 juin au sein du groupe audiovisuel au moment où la filiale de Bouygues était confrontée à une chute des recettes publicitaires et une baisse de l'audience. Axel Duroux, 46 ans, a aussi dirigé Endemol France, créé la radio RTL2 et présidé le directoire du pôle français de RTL.

Les divergences au sein de la direction de TF1 sont de plus en plus visibles

Visiblement, TF1 a de plus en plus de mal à parler d'une seule voix. Le séminaire qui a réuni, mercredi 14 et jeudi 15 octobre à Chantilly (Oise), les cent principaux cadres du groupe a été marqué par la rivalité entre le PDG, Nonce Paolini, et son nouveau directeur général, Axel Duroux. Entre deux chasses au trésor et autres "jeux" - des activités organisées, selon le mot d'un participant, pour "stimuler la solidarité entre les salariés" -, les cadres de TF1 ont été témoins de dissonances répétées entre les deux dirigeants.
Absent du séminaire mercredi après-midi pour cause de retransmission sur TF1 du match de football France-Autriche au Stade de France, M. Duroux a fait entendre sa différence dans l'après-midi du jeudi, lors de la conclusion de la conférence. M. Paolini venait de se féliciter du niveau d'audience actuel de TF1, compte tenu du contexte. Selon lui, malgré la montée en puissance de la Télévision numérique terrestre (TNT) et la violence de la crise, TF1 ne s'en sortirait pas si mal avec un peu plus de 26 % de part d'audience. Prenant à son tour la parole, M. Duroux a affirmé qu'une chaîne comme TF1 ne saurait se contenter de 26 % de part d'audience mais doit viser les 30 %. Comme avant la crise et la TNT.

Cette divergence n'a pas été la seule. Les deux dirigeants ont aussi affiché publiquement leurs différents sur le dossier de la radio numérique terrestre (RNT). Quand M. Paolini se prononce notamment pour une diversification de TF1 dans la radio numérique, M. Duroux se demande au contraire si la chaîne privée ne doit pas se concentrer sur son "coeur de métier" ; la télévision. Pour nombre de cadres, ces discours dissonants sont plus interprétés comme une querelle d'ego que comme des divergences stratégiques profondes.

Ces oppositions publiques répétées auraient néanmoins, comme l'indique sous couvert d'anonymat un participant, "créé le malaise parmi les cadres". Au point que le présentateur du "13 heures", Jean-Pierre Pernaut, également délégué syndical CFTC, s'est senti obligé d'intervenir. Selon lui, ce séminaire comportait trop de "process", réunions et autres comités, et pas assez de "contenu". On n'y parlait pas assez de télévision. Une "sortie un peu injuste", comme l'indique un autre participant, car Jean-Pierre Pernaut "n'aurait pas assisté à tout le séminaire".

Il n'empêche, la réunion de Chantilly est loin d'avoir dissipé les malentendus au sommet de TF1. "Ce qui est gênant c'est qu'on ne sent pas d'alignement entre Nonce Paolini et Axel Duroux", indique un cadre. Un autre souligne que leur "association est plus difficile que complémentaire". Pour d'autres cadres du groupe, la messe est dite. Le duo Nonce Paolini-Axel Duroux est "un tandem qui ne pourra pas fonctionner", prévoit l'un. Depuis Chantilly, "tout le monde a le sentiment que c'est un casting improbable", renchérit un autre.

Surtout, cet accrochage intervient après une algarade entre les deux dirigeants. Début octobre, Axel Duroux a eu une explication très sonore avec Nonce Paolini. Enfermés deux heures, seuls dans le Club TF1, le restaurant privé au huitième étage de la chaîne, les deux hommes se sont affrontés verbalement pour définir les contours de leurs attributions respectives. M. Duroux aurait même menacé de démissionner. TF1 a reconnu l'existence de "tensions" et de "relations compliquées" entre les deux hommes. Ils ont d'ailleurs été reçus, le 5 octobre, par Martin Bouygues, propriétaire de TF1.

Selon la Une, M. Bouygues n'aurait en aucun cas "tranché sur une nouvelle répartition des responsabilités". Il n'empêche, depuis cette convocation, M. Paolini s'est recentré sur la gestion opérationnelle du groupe tandis que M. Duroux se concentre davantage sur "les contenus" de la chaîne.
Guy Dutheil

CE SALE CON DE PAOLINI AVEC SA VOIX DE FAUSSET EST LE FOSSOYEUR DE TF1, AXEL DUROUX ÉTAIT LE SEUL CAPABLE DE SAUVER CETTE CHAINE DE LA CATASTROPHE DANS LAQUELLE L'ENTRAINE CET ABRUTI NOTOIRE.

Je suis visiblement le seul à considérer Paolini comme étant une tare évidente.

Clearstream : 3 issues pour Villepin

HYPOCRISIE

Le monde selon Ushuaïa
La marque Ushuaïa se lance dans l'organisation de vacances en partenariat avec l'agence Ethnika Voyages.

Après les gels douche, les déodorants, les vêtements, les sacs et autres accessoires, voici les vacances estampillées Ushuaïa! Le 22 octobre, Chemins de sable organise une soirée de prestige, à laquelle doivent assister Nicolas Hulot et Yann Arthus-Bertrand, pour fêter son nouveau nom commercial: Ushuaïa by Ethnika Voyages. Le prestige d'Ushuaïa a déjà permis à ce spécialiste de l'Afrique de convaincre de nouveaux partenaires: il propose aujourd'hui ses premières destinations en Amérique du Sud et en Asie.

Ushuaïa va donc permettre à des touristes d'aller polluer des sites naturels, d'y aller en avion, de claquer du fric et consommer de l'énergie pour l'écologie ?
C'est beau ça messieurs les donneurs de leçon.

LE QUOTIDIEN QUI MARK: Taxe professionnelle : l'UMP s'est ralliée au gouvernement

LE QUOTIDIEN QUI MARK: Taxe professionnelle : l'UMP s'est ralliée au gouvernement

Une majorité de Français opposés aux expulsions d'Afghans

44 % des Français se déclarent "opposés" au renvoi dans leur pays d'Afghans interpellés en France en situation irrégulière tandis que 36 % s'y disent "favorables", selon un sondage CSA publié vendredi 23 octobre par Le Parisien-Aujourd'hui en France. 20 % se disent sans opinion. Les sympathisants de droite sont favorables à 54 % aux "charters" d'Afghans et ceux de gauche opposés à 62 %.
Vingt-sept Afghans en situation irrégulière ont été renvoyés mercredi dans leur pays dans un vol groupé organisé par Paris et Londres, suscitant de vives critiques d'associations et de l'opposition de gauche en France. La majorité des Afghans – 24 des 27 – étaient expulsés par la Grande-Bretagne. Trois venaient de France.
Je suis pour l'expulsion de tout ceux qui transitent par la France et qui en profitent pour s'y refaire une santé en vendant de la drogue ou en utilisant le pays pour en faire une base de trafic.
La France n'a pas la vocation à accueillir tout le monde, et ces gauchos de merde ne me diront pas le contraire, leurs arguments sont absurdes, eux qui luttent pour une "humanité", ces clandés vivent comme des SDF, avec l'aide de personnes qui ont bon cœur,et qui souvent des personnes âgées et (ou) désœuvrées, certes, mais qui par ce bon cœur en amènent d'autres.

LA SOLUTION NE PEUT ÊTRE QU'EUROPÉENNE, IL FAUT AVOIR UNE POLITIQUE COMMUNE DE FERMETURE DES FRONTIÈRES.

La réussite une question de chance? Philippe Gabilliet, Professeur ESCP Europe

Grosse frayeur pour Hamon

Le porte-parole du PS a été renversé par une voiture alors qu'il circulait à scooter dans Paris.

Grosse frayeur pour Benoît Hamon jeudi 15 octobre. Le porte-parole du PS circulait à scooter rue Royale, vers la place de la Concorde, à Paris, lorsqu'il a été renversé par une voiture venue de derrière. Relevé par les voituriers de Maxim's, il a rassuré la jeune conductrice responsable de l'accident, qui lui a proposé de le déposer. Hamon en a été quitte pour quelques bleus .

AH LE DESTIN ! ENCORE ROYAL QUI FRAPPE.

Faute de ministère, Frédéric Lefebvre devient avocat

Le porte-parole de l'UMP Frédéric Lefebvre a prêté serment jeudi 22 octobre comme avocat au barreau de Paris. Il bénéficie du fait d'être "assimilé comme fonctionnaire de catégorie A" par son expérience professionnelle.

Frédéric Lefebvre avait rendu en juin son siège de député à André Santini, dont il était le suppléant, après que celui-ci ait perdu son portefeuille de secrétaire d'Etat à la fonction publique. Il avait ensuite été annoncé au gouvernement, mais Nicolas Sarkozy a finalement renoncé au remaniement prévu.
D'autres hommes politiques ont embrassé la carrière d'avocat ces dernières années, dont le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, Jean-François Copé, l'ancien premier ministre Dominique de Villepin ou encore le député-maire Vert de Bègles Noël Mamère.

La Fed impose aux banques de revoir leur politique de bonus

La banque centrale américaine (Fed) a annoncé jeudi 22 octobre qu'elle imposait aux banques présentes aux Etats-Unis de revoir leur politique de bonus de telle sorte que celle-ci "ne sape pas" leur "sécurité" et leur "santé" financière.

La Réserve fédérale détaille ce qu'elle juge souhaitable en la matière dans une "proposition de directive en faveur d'une politique de primes saine". Bien que cette directive ne doive pas entrer en vigueur avant plusieurs semaines, la Fed indique dans un communiqué qu'elle "attend des banques qu'elles revoient immédiatement leur dispositif de bonus et de primes de manière à faire en sorte qu'il n'encourage pas une prise de risque excessif, et pour mettre en œuvre des rectifications là où elles s'imposent".
La banque centrale indique qu'elle compte contrôler de près la façon dont les banques mettront en œuvre ses directives et rappelle qu'elle a le pouvoir de "prendre des mesures contre toute banque engagée ou sur le point de s'engager dans toute pratique dangereuse ou douteuse", quelle qu'elle soit.

La Fed indique que sa proposition de directive est "conforme" aux principes définis par le Conseil pour la stabilité financière (CSF), organisme de coordination internationale dont les pays avancés et émergents réunis au sein du G20 se sont engagés à mettre en œuvre les recommandations.