TOUT EST DIT

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dimanche 24 mars 2013

CENSURE SOCIALISTE

EXISTE-T-IL UNE CENSURE SOCIALISTE DANS LES MEDIAS ? 

Assurément, la censure est totalement intégrée dans les médias, elle est latente mais persistante. 
Elle est sournoise et dirigée vers le sommeil du peuple. 

Je n'en veux pour preuve que l' Affaire Sarkozy /Bettencourt qui tombe à point nommé pour étouffer celle de Cahuzac, celles des minis scandales socialistes, celle de Martine Aubry, bien plus grave encore. Nous avons devant nos yeux incrédules l'Union Sacrée des médias à charge contre Sarko.

Même le Figaro se censure, de peur d'avoir à s'expliquer, journal qui a perdu ses couilles depuis longtemps, il ressemble de plus en plus aux morasses de Libération.

Quelques remarques de lecteurs qui ne sont pas dupe de cette Affaire Sarkozy:

Il n'y a rien à dire lorsqu'un juge d'instruction met quelqu'un en examen. Mais ici le motif d' "abus de faiblesse" est tellement en contradiction avec tous les éléments connus du dossier que l'indignation de certains devient justifiée et que la publication de ce dossier devient un moyen de défense plausible et même souhaitable lorsque ce juge a pris publiquement et pendant l instruction de ce dossier, des positions anti-sarkozistes. Le juge d'instruction s'est mis dans une situation telle qu'il doit normalement être désaissi de ce dossier pour suspicion légitime évidente. L'opposition tient là une affaire en or d'autant plus que la « star » Taubira a cru peu risqué de mettre son poids conséquent de garde des sceaux dans le mauvais plateau de la balance. Elle a ainsi choisi par mégarde sa place dans la prochaine purge, Hollande la jugeant trop dangereuse dans cette « France apaisée ! » conduite par Ayrault qui seul sait où il nous entraine.


Depuis sa mise en examen c'est drôle on ne parle plus que de lui;amnésie totale pour Aubry,Cahuzac,guerini etc....la liste est trop longue.Bien entendu cela n'a rien de politique!!!A la porte cette gauche pourrie avant qu'elle ne mène à un nouveau MAI68 car là il n'y aura personne pour y mettre fin.

Jugement partisan c'est certain avec le si peu d'arguments ! Cette mise en examen est inadmissible, injuste et révoltante ! N.Sarkozy a eu raison de réagir de cette manière et c'était son plus grand droit en disant qu'il n'en resterait pas là ! Il n'y a aucunes menaces dans cette dernière phrase, il ne fait que dire qu'il prouvera son innocence de ces accusations injustes ! S'il faut un comité de soutien, eh bien on créera ce comité et on descendra dans la rue pour défendre Nicolas Sarkozy et que la vraie justice soit appliquée! Oui, H.Guaino a complètement raison ! La justice de notre pays est en danger !

Ce soi disant juge Gentil "n'a qu'un oeil" devrait se rappeller les positions et méthodes employées lors de certaines affaires et mentionnées dans les procés verbaux d'interrogatoires à savoir affirmer de faux propos pour essayer d'obtenir des renseignements. Trés curieusement aucune suite n'a été donnée à ces procédés scandaleux alors que sa hierarchie était au courant. Voila la conception de la justice dont se réclame cet homme.

Je souhaite que le Figaro lance une pétition pour soutenir Henri Guaino ! Ras le bol de cette caste qui se croit intouchable ! Dans une véritable démocratie on doit pouvoir tout dire et tout penser ! On doit pouvoir avoir le droit de dire aux magistrats ce qu'on pense d'eux et de leurs décisions sans avoir à subir les foudres de ces mêmes magistrats, habituellement si prompts à condamner les conflits d'intérêts !

Pour ce dernier commentaire, je doute que le Figaro fasse quoi que ce soit.

Qu’est-ce que le modèle français ?


Le modèle français d’État providence, librement inspiré du keynésianisme, repose sur une intervention répétée de l’État dans les secteurs économiques, sociaux et politiques.
On évoque souvent le modèle français, voire le pacte républicain, pour le louer ou le dénoncer. Mais quel est-il vraiment ? Le modèle économique et social dans lequel nous vivons actuellement fut bâti à l’issu de la Deuxième Guerre mondiale, et date, pour l’essentiel, d’une batterie de lois prises en 1946. Il est inspiré à la fois du programme économique de la résistance, et des idées socialistes et communistes d’après-guerre. C’est notre État providence, légèrement différent de celui des Anglais, notamment parce qu’il fait désormais l’unanimité de la classe politique et que personne ne semble vouloir le remettre en cause. Quand on propose de le réformer, c’est pour le faire durer, pour lui permettre de survivre, non pas pour passer à un autre modèle.
Ce modèle d’État providence, librement inspiré du keynésianisme, repose sur une intervention répétée de l’État dans les secteurs économiques, sociaux et politiques.
1/ L’État entrepreneur
L’État est tout d’abord un entrepreneur. Il dirige des entreprises et se veut le moteur de la vie économique. Si l’on excepte la nationalisation de Renault pour cause de collaboration, les grandes vagues de nationalisation française ont eu lieu en 1946, sous le gouvernement du socialiste Félix Gouin, gouvernement dans lequel figuraient également de nombreux communistes.
Parmi celles-ci, mentionnons la nationalisation des mines avec la création des charbonnages de France, la nationalisation du gaz et de l’électricité, et la création d’EDF et de GDF, la nationalisation d’Air France, de nombreuses banques et des assurances.
2/ L’État planificateur
L’État se veut aussi un planificateur. La création, en 1945, du Commissariat au Plan par Jean Monnet vise à fixer des objectifs à 5 ans. Il s’agit d’assurer la reconstruction d’un pays qui a été largement détruit par la guerre. Il faut redresser l’appareil productif français, rebâtir ponts, routes, voies ferrées, et créer de nombreux logements. Les tickets de rationnement sont utilisés jusqu’au début des années cinquante. Nous avons aujourd’hui du mal à considérer le colossal effort qu’il a fallu effectuer pour redresser le pays.
3/ L’État protecteur
L’État est protecteur. Pour cela, il organise la protection sociale en créant la Sécurité sociale par l’ordonnance d’octobre 1945. Les assurances sociales existaient déjà, mais elles étaient privées. La nouveauté c’est qu’à côté de ces assurances privées figure une assurance publique. Le deuxième temps survient en 1946, toujours cette année décisive dans l’élaboration du modèle social, quand la sécurité sociale est nationalisée, et que son affiliation est rendue obligatoire pour les salariés. La Sécu que nous connaissons aujourd’hui est donc davantage l’héritière de 1946 que de 1945. On passe ainsi d’un système d’assurance, où chacun est couvert selon ses versements, à un système de transferts sociaux, où chacun reçoit la même chose, mais où les cotisations sont proportionnelles aux revenus.
4/ L’État logeur
Le rôle que s’attribue l’État dans le logement ne peut se comprendre sans l’urgente nécessité à bâtir des habitations pour des millions de Français qui en étaient privés, suite aux destructions de la guerre. C’est là que s’ouvre la période des grands ensembles, des HLM, des barres puis des tours. L’État devient bailleur social, il organise la construction et l’attribution des logements. C’est la fin des bidonvilles, dont le célèbre de Nanterre, existant jusque dans les années 1970, c’est la fin aussi des logements insalubres.
La loi de 1946 qui maintient fixes les coûts de location veut aussi permettre de faciliter le logement. Elle aura pour conséquence de ruiner les propriétaires et d’empêcher les nécessaires travaux d’entretien, causant aujourd’hui des situations d’insalubrités, notamment à Paris. L’État logeur est aussi une façon de donner des pouvoirs accrus aux maires et aux offices HLM en leur donnant la possibilité d’attribuer les logements, avec les risques de clientélisme que cela engendre.
5/ L’État aménageur du territoire
C’est l’État qui lance la voie de la modernisation des infrastructures du pays : construction des autoroutes, des lignes TGV, modernisation des ports, édifications des aéroports parisiens d’Orly et Roissy, édification des barrages et des centrales nucléaires. Le tout sous l’égide de la DATAR et de nombreuses commissions créées pour l’occasion.
À ces éléments du modèle, il faut ajouter le statut général des fonctionnaires, adopté en octobre 1946, et largement rédigé sous l’inspiration de Maurice Thorez, alors chef du parti communiste, ainsi que l’organisation de la presse française, avec les NMPP, créées en 1947 et devenues Prestalis en 2009.
Le modèle économique et social français, encore largement en vigueur, est donc récent dans l’histoire du pays. Il est exagéré de dire qu’il est lié au pacte républicain, car la république datant de 1792 puis de 1880, elle n’a pas de lien direct avec ce modèle qui est surtout d’inspiration socialo-communiste. Fut-il efficace ? Certains historiens y voient les raisons du grand développement économique que connut la France et que Jean Fourastié appela Trente glorieuses. Cela est assez contestable, car les difficultés que subit le pays dans les années 1970 sont largement dues à l’obsolescence de ce modèle, et c’est son démantèlement progressif à partir des années 1980 qui permirent à la France de connaître un grand essor économique et un enrichissement important de sa population.

Les boulevards de la crédulité


Ils existent, ces gens qui pensent que la Terre est plate ! On a beau leur dire que des images prises de l’espace prouvent sa rotondité, ils répondent qu’il s’agit d’un montage.
Ils sont un peu plus nombreux à penser que l’homme n’a jamais posé un pied sur la Lune. Ils sont plus nombreux encore à croire que les attentats du 11 septembre 2001 sont l’oeuvre de la CIA.

Les progrès de la science et l’élévation du niveau de l’instruction n’ont pas vaincu la crédulité, contrairement à certains espoirs nés des Lumières. Elle menace toujours de nous faire prendre des vessies pour des lanternes, un dictateur pour un philanthrope, un démagogue pour un sauveur, un Trissotin pour un génie.

Elle trouble même les esprits les plus riches, leur faisant juger inapplicables des solutions accessibles, et possibles des idées saugrenues. Un sociologue, Gérald Bronner (1), soutient que la production gigantesque et sans cesse croissante d’informations invérifiables sur l’Internet et leur accès immédiat et universel permettent aux croyances, les plus bizarres parfois, de se répandre en épidémie et de s’ancrer dans bien des esprits.

Notre actualité est riche de ces erreurs de perspective, de ces hagiographies infondées, de ces condamnations expéditives. Ni Dieu ni Diable, Hugo Chavez est un tribun populiste qui finançait ses généreuses idées par la manne pétrolière, mais sans construire une économie solide capable de garantir une durable redistribution.

Stéphane Hessel était un honnête homme et un esprit brillant, mais rien dans sa vie ni son oeuvre ne le désigne pour entrer au Panthéon ou pour la béatification.

Marcela Iacub n’est ni un monstre ni une sorcière, mais une intellectuelle à la pensée riche et paradoxale. Que certains illuminés imaginent une Terre plate ne gêne pas grand monde. Que d’autres croient que les autorités américaines ont piégé les tours du World Trade Center inquiète davantage, et en dit long sur l’altération du jugement que provoque un aveuglement idéologique. D’autant qu’ils pourront nourrir leur suspicion à partir de véritables opérations de désinformation, comme les fausses preuves de l’existence des armes de destruction massive en Irak.

La persistance de la crise en Europe ouvre des boulevards aux démagogues et aux manipulateurs. Qu’ils entrent dans les parlements ou fassent descendre des foules dans la rue, ils sapent progressivement les fondements de la démocratie en s’appuyant sur notre fâcheuse et très ancienne propension à la crédulité.

1. Gérald Bronner, « La démocratie des crédules », aux PUF ; « Pourquoi sommesnous si crédules », dans La Revue des Deux Mondes, février 2013.

Que reste-t-il du modèle français ?


Le modèle français, qui repose sur une intervention de l’État dans les secteurs économiques, sociaux et politiques, s'effrite. Qu'en reste-t-il aujourd'hui ?
Par Jean-Baptiste Noé.
Après avoir vu les origines du modèle économique et social français, nous allons désormais voir dans quelles mesures celui-ci subsiste actuellement. Si nous reprenons les cinq catégories caractéristiques énoncées, nous constatons que ce modèle s’est largement effrité.
1/ L’État entrepreneur
Le processus nationalisateur de 1946 a trouvé son terme dans les vagues de privatisations menées au début des années 1980. Chose piquante, c’est un gouvernement socialo-communiste qui a nationalisé, et c’est ungouvernement socialo-communiste qui a privatisé, celui de Pierre Mauroy. Cela a d’ailleurs scellé la fin du Parti communiste et de l’illusion socialiste en France. Rares sont aujourd’hui les entreprises encore nationalisées, même GDF et La Poste ont des capitaux ou un statut privé. Ne demeure que l’Éducation nationale, nationalisée par Jules Ferry dans les années 1880 et qui demeure entre les mains de l’État pour des motifs plus idéologiques que de réalité économique.
2/ L’État planificateur
Le commissariat au Plan est tombé en désuétude. L’État essaye toujours d’ordonner, de planifier, mais plutôt dans un souci de prévoyance et de prospective. Il n’y a plus d’ardente nécessité du Plan, comme dans les années 1950.
3/ L’État protecteur
C’est ici que le modèle de 1946 reste le plus prégnant. Le monopole de la Sécurité sociale a du mal à disparaître, en dépit des directives de l’Union européennes. L’assurance chômage est encore aux mains de l’État, alors qu’elle ne témoigne guère d’une grande efficacité. La classe politique est largement adepte de ce modèle social, qui conjugue pourtant inefficacité économique, gouffre budgétaire, inégalité sociale et inefficacité médicale. On dit que les Français y tiennent. Est-ce vraiment certain ? S’ils connaissaient le coût réel de la protection sociale, et ce que cela leur coûte en terme de prélèvement, il n’est pas sûr qu’ils continuent à y adhérer. Les jours de ce modèle sont comptés, notamment en raison de ses déficits chroniques.
4/ L’État logeur
Là aussi le modèle continue, et se renforce même, avec la loi SRU qui impose 20% de logements sociaux dans les communes. C’est complètement inefficace, cela ne permet pas de loger les Français ni même de contribuer à maintenir des prix bas. La seule raison de cette permanence est des raisons politiques. La gauche estime que les habitants des HLM votent pour elle, d’où sa volonté d’imposer 20% de logements sociaux, afin de s’assurer, dans chaque commune, un électorat captif. La lutte contre la pauvreté est souvent associée à l’entretien de cette pauvreté.
5/ L’État aménageur du territoire
Nous sommes loin, là aussi, des temps bénis de la DATAR. C’est que les conditions politiques sont largement différentes. Nous ne sortons plus de quatre années de guerre dévastatrice, et les infrastructures françaises sont désormais efficientes et modernes. Les entreprises de gestion des autoroutes ont été privatisées, Veolia transport fait concurrence à la SNCF, et même l’acheminement électrique n’est plus le monopole d’EDF. L’État continue de guider l’action d’aménagement du territoire, mais de loin.
Quant au statut des fonctionnaires, s’il demeure en place, il a lui aussi fortement évolué. En posant la question de la pertinence de ce statut, de son efficacité économique, en posant comme règle le non-remplacement des fonctionnaires, et même en assurant l’embauche de certains fonctionnaires sous contrat de droit privé, le mythe de la fonction publique a été largement écorné. Il reste encore un long travail à parcourir pour s’en défaire, mais c’est une certaine vision de la fonction publique qui a disparu.
Le modèle social français édifié en 1946 n’existe donc plus, dans ses structures et dans ses manifestations. Celui-ci a été largement défait à partir des années 1980, ce qui a permis à la France de connaître une modernisation sans précédent de son économie, et à ses entreprises de partir à la conquête du monde. Les Français se sont plus enrichis entre 1980 et 2010 qu’entre 1945 et 1975. Ce qui demeure du modèle français c’est davantage une idée qu’une réalité. L’idée que l’État doit intervenir dans la vie économique, que celui-ci doit protéger les populations, qu’il peut prendre part au développement. Le large déficit du pays sera peut-être bénéfique sur ce point. Il oblige en effet l’État à faire d’importantes économies. Or il ne sera pas toujours possible de limiter les dépenses à la marge. Les économies, pour être vraiment efficaces, devront se faire dans les postes qui génèrent le plus de dépenses, à savoir l’Éducation nationale et la Sécurité sociale. La mise en place du chèque scolaire et la fin du monopole de la sécu sont les deux dernières mesures à prendre pour enterrer un modèle obsolète, et une vision de l’État erronée, c’est-à-dire le passage d’un État providence à un État subsidiaire.


Hollande chute encore et bat son record d’impopularité

QUO NON ASCENDENT ?
Jusqu'où ne montera-t-il pas ?

Le président de la République perd six points et tombe à 31% de personnes satisfaites de son action. Jamais au bout de dix mois de présidence, un locataire de l’Elysée n’était tombé aussi bas. Jean-Marc Ayrault lui lâche un point et garde la confiance de 36% des Français.

Voilà un record dont François Hollande ce serait sûrement passé. Jusqu’à présent, c’est Nicolas Sarkozy qui était le plus impopulaire des présidents de la République au bout de dix mois de présence à l’Elysée. Avec la perte de six points en mars, son successeur socialiste ne bénéficie plus qu’un d’un petit tiers de Français qui lui font encore confiance. Le nombre de personnes très mécontentes progresse de six points preuve d’une radicalisation et de jugement de plus en plus tranché des Français. Un record pour un président depuis 1958, date du premier baromètre Ifop.
Il s’agit en tout cas depuis le début du quinquennat de troisième ressac : le choc fiscal en septembre 2011 avait provoqué une baisse de onze points ; l’épisode de Florange entre octobre-novembre (-5) et maintenant ce premier bilan de l’action du chef de l’Etat (-6). "Pour les Français, l’alternance n’a changé leur vie. Pire, leur situation ne s’est pas amélioré nous disent-ils" explique Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop.

Lâché par les alliés du PS

Résultat : François Hollande est minoritaire dans toutes les catégories. Un peu comme Nicolas Sarkozy en 2008, il est rejeté par "la France du travail". Il ne recueille que 27% de bonnes opinions chez les 35-49 ans, 28% chez les salariés du privé et seulement 25% chez les ouvriers. Pour la première fois, il est minoritaire chez les alliés du PS : -13 points au Front de gauche et -6 chez ceux d’Europe Ecologie/Les Verts. Sans surprise, il continue de faire l’unanimité contre lui à l’UMP (93%), à l’UDI (88%) et au FN (94%). Bref, une bienveillance zéro au centre, à droite et à l’extrème droite. Une première sous la Ve République.