TOUT EST DIT

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dimanche 21 avril 2013

"Le Concubin ridicule"


On pensait qu’après la fameuse « affaire du tweet » Valérie Trierweiler avait compris qu’il valait mieux qu’elle disparaisse du devant de la scène et qu’elle se contente de son rôle (muet) de potiche installée sur une cheminée au fond du décor. On avait d’ailleurs voulu croire que le chef de l’Etat, chef des armées et garant de nos institutions, avait su, pour une fois, faire preuve d’un minimum d’autorité en lui rappelant, un peu sèchement, que, de nos jours, les épouses et concubines des empereurs devaient se cloitrer dans un silence souriant de bon aloi.Eh bien, on s’était trompé. La maitresse officielle de François Hollande vient, coup sur coup, de déclarer publiquement qu’elle se faisait déjà une joie à l’idée d’être le témoin d’un des premiers mariages homosexuels célébrés en France, de recevoir une délégation d’adversaires de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes et d’entamer une procédure judiciaire contre les auteurs d’un livre la concernant. Cela fait beaucoup.

Le « mariage pour tous » est un problème délicat qui divise les Français lesquels se demandent, en outre, s’il était vraiment nécessaire et urgent de vouloir ainsi chambouler toute notre société alors que d’autres problèmes semblent infiniment plus importants. On a d’ailleurs l’impression que François Hollande lui-même, après avoir déjà renvoyé aux calendes grecques le droit de vote des étrangers, a compris qu’il marchait sur des œufs en voulant ainsi un petit plaisir à un lobby typiquement parisien.
Valérie Trierweiler qui, il est vrai, n’incarne évidemment pas l’exemple de la famille modèle, n’avait évidemment pas à faire connaitre publiquement son avis sur cette question.
Son soutien aux adversaires de l’aéroport de Notre-Dame des Landes est encore plus stupéfiant. Elle avait voulu « emmerder » (il n’y a pas d’autre mot) Ségolène Royal en envoyant son fameux tweet de soutien à l’adversaire de « l’ex de son homme » lors de la législative de La Rochelle. Cette fois, c’est Jean-Marc Ayrault en personne qu’elle veut « emmerder ».
Georges Brassen s avait écrit une jolie chanson sur « Les emmerdantes, les emmerdeuses et les emmerderesses ». La concubine réussit à faire partie des trois catégories.
Et maintenant elle poursuit en justice, devant le Tribunal de Grande Instance de Paris, deux journalistes, Christophe Jakubyszyn, chef du service politique de TF1, et Alix Bouilhaguet, du service politique de France 2, qui ont écrit un livre sur elle, intitulé « La Frondeuse ». Elle leur demande 80.000€ pour « diffamation et atteinte à la vie privée ».
Ce procès va, évidemment, relancer les ventes de ce livre mais il va surtout ridiculiser la plaignante qui se prétend journaliste elle-même et qui n’a pourtant pas compris que tous ceux qui s’attaquaient à des journalistes le payaient toujours très cher, même si le tribunal leur donnait raison.
Mais là, l’affaire risque fort de basculer dans le scandale d’Etat. La « garce » (comme on l’appelle désormais, parait-il, à l’Elysée et rue Solferino) a réussi, en effet, à obtenir que son compagnon et un copain de son compagnon envoient des lettres au président du tribunal pour témoigner en sa faveur et surtout contre les deux auteurs du bouquin.
Or, le compagnon en question n‘est autre que le président de la République « garant de l’indépendance de la justice » et le copain n’est autre que Manuel Valls, le ministre de l’Intérieur.
Comment l’un et l’autre n’ont-ils pas compris que leurs démarches auprès du président du tribunal ne pouvaient être considérées par l’opinion publique que comme une pression intolérable sur la justice et, de plus totalement ridicule, dans cette affaire dérisoire où, pour l’essentiel, la concubine du chef de l’Etat reproche à deux journalistes, honorablement connus, d’avoir révélé qu’elle avait été, jadis, la maitresse d’un semi-ténor de la droite, Patrick Devedjian.
Ce qui est grave dans tout cela ce n’est pas que, sous ses allures de fausse grande bourgeoise, Valérie Trierweiler ne soit qu’une petite peste mais que le chef de l’Etat qui est déjà incapable de tenir son gouvernement et sa majorité, se laisse mener par le bout du nez par sa « poule ».
Non seulement il accepte qu’elle mette son grain de sel dans le dossier du « mariage pour tous », non seulement il tolère qu’elle tente de torpiller le « Ayrault-airport » en soutenant les adversaires de Notre-Dame-des-Landes, mais il va jusqu’à violer lui-même la sacrosainte séparation des pouvoirs en intervenant personnellement dans un procès en diffamation.
Le président « normal » devient… « le concubin ridicule ». Montebourg ne trouvait qu’un seul défaut à Ségolène Royal, « son compagnon ». Maintenant, on peut se demander si le compagnon en question n’a pas, lui aussi, un défaut rédhibitoire… sa compagne.


Popularité : la chute de Hollande n'en finit plus

La cote du président est retombée de six points en avril par rapport à mars, avec 25 % de satisfaits, selon un baromètre de l'Ifop. Un record.


La cote de popularité de François Hollande a encore chuté de six points en avril par rapport à mars, avec 25 % de satisfaits, un niveau inférieur à celui de Nicolas Sarkozy lorsqu'il était au plus bas durant son mandat, selon un baromètre de l'Ifop à paraître dans Le Journal du dimanche. Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault perd lui aussi six points en un mois, passant de 36 à 30 % de satisfaits, tandis que le taux de mécontents passe de 61 à 67 %.
François Hollande avait déjà perdu six points en mars. Désormais, seulement 25 % des sondés se déclarent "satisfaits" de François Hollande comme président de la République (2 % très satisfaits, 23 % plutôt satisfaits), quand 74 % se disent "mécontents" (38 % plutôt, 36 % très). Le président de la République se retrouve à un niveau inférieur à l'ancien chef de l'État, Nicolas Sarkozy, lorsque celui-ci était au plus bas dans ce baromètre, à 28 % en avril 2011.
Il détient le record des "mécontents" dans ce baromètre avec 74 %. Nicolas Sarkozy détenait le précédent record avec 70 % en avril 2011. François Hollande enregistre une forte baisse chez les sympathisants du PS, où il passe de 77 à 64 % de satisfaits. Chez ces mêmes sympathisants PS, Jean-Marc Ayrault passe de 73 à 59 % de satisfaits.
Sondage réalisé par téléphone du 11 au 19 avril auprès d'un échantillon de 1 875 personnes, représentatif de la population française adulte et sélectionné selon la méthode des quotas. Marge d'erreur variant de 1 à 2,2 %.

Lutter contre les extrêmes et le collectivisme, lutter pour la liberté

Eric Decouty n'aime pas les extrémistes anti-mariage gay, ultra-conservateurs de droite, ces groupuscules extrémistes et brutaux qui portent une haine de la démocratie. Je ne les aime pas non plus, pas plus que je n'aime les extrémistes anti-capitalisme, ultra-syndicalistes de gauche, ces groupuscules brutaux qui portent une haine de la démocratie et de la liberté. Pourtant, j'ai moi-même de sérieux doute sur la pertinence de la démocratie sur certains sujets. En l'occurrence, sur les deux sujets qui cristallisent les passions d'une certaine extrême-droite et d'une certaine extrême-gauche.
Le sujet qui divise les Français en ce moment, le mariage, est-il réellement une prérogative de l’État ? Après tout, il s'agit d'une forme d'association, une union volontaire entre personnes consentantes. Quel que soit le nom qu'on lui donne, il ne recouvre que ce que ceux qui souhaitent s'unir veulent ; c'est une forme de contrat. Pourquoi l’État devrait-il choisir qui peut se marier, avec qui, et selon quelles modalités ? Pourquoi cette union donnerait-elle droit à des avantages, quels qu'ils soient, et serait-elle soumise à conditions ?
En est-on là ?
Les craintes des catholiques sont injustifiées. Rien n'obligera l’Église à marier les homosexuels si elle ne veut pas. Mais vouloir imposer aux autres sa vision de la société est dangereux. Avant de se poser la question de savoir si le mariage doit être ouvert ou fermé aux couples de même sexe, il faut se demander si c'est bien à l'ensemble des Français de décider de ce qu'un couple peut ou ne peut pas faire. De la même façon, vouloir que les Français s'expriment par référendum plutôt que de laisser leurs représentants élus décider suppose que l'on accepte que ce qu'un couple peut ou ne peut pas faire soit soumis à un vote.
Peu de choses séparent donc en réalité opposants et partisans du mariage pour tous ; tous acceptent l'idée que l’État peut et doit décider de ce qu'est un mariage et qui peut en bénéficier. Quand on voit quel niveau de bêtisepeut être atteint par les députés des deux camps, le constat est affligeant - d'autant plus affligeant que voter des budgets en déficit depuis 40 ans ne semble pas poser le moindre problème de conscience aux vaillants parlementaires.
Pas plus d'ailleurs qu'amnistier les syndicalistes coupables d'actes violents et de pratiques mafieuses. Dans son principe même, l'amnistie est révoltante ; elle signifie que des infractions à la loi peuvent être balayées d'un revers de la main par une décision politique. Elle signifie, dans le cas présent, que des parlementairescautionnent les violences, les détournements de fonds, les pratiques révoltantes de certains syndicalistes.
Outre les comportements mafieux visant à s'enrichir personnellement - la chair est faible, la tentation est grande, les principes et l'intégrité rares - les syndicalistes se rendent coupables de violences, dans le but d'influer sur la décision des politiques ou des propriétaires d'entreprise. Ils considèrent eux aussi que l’État doit intervenir, dans l'économie cette fois, pour réguler, protéger, surveiller, redistribuer.
Ils ne sont pas les seuls dans ce cas. En France, l'idée qu'il faut redistribuer les revenus fait consensus. L'aide aux PME et aux entreprises en création, les incitations et subventions, les quotas de production ou d'importation, les prix régulés sont autant d'interférences étatiques acceptées par les Français et qu'ils appellent souvent de leurs vœux.
Manifestement, l'intervention étatique dans l'économie ne fonctionne pourtant pas. Alain Lambert ou Angela Merkel affirment à raison que le salaire minimum est responsable d'une grande partie du chômage. Les nombreux exemples d'une action étatique ayant l'effet contraire de ce qu'elle recherche ne doivent pas occulter la question de la légitimité de l'intervention étatique dans l'économie.
La création de valeur, la production de richesse, l'échange ne concernent que ceux qui y prennent part. Le marché permet à chacun d'exprimer ses préférences mieux que la démocratie ; chacun peut acheter une cravate de la couleur de son choix plutôt que porter une cravate d'une couleur unique choisie par la majorité. Quand l’État oriente l'économie, il le fait selon des critères qui amènent des décisions fondamentalement immorales.
On peut juger que l'avion est une invention plus utile que la bicyclette. Pour autant, certains n'ont pas besoin d'un avion mais ne pourraient se passer de leur bicyclette. Faut-il leur demander de soutenir l'industrie aéronautique ? Ou l'industrie automobile, selon le même raisonnement ? Est-il légitime que l'ensemble des Français paient pour entretenir des musées dans lesquels ils ne vont pas pour s'y voir ensuite proposer une entrée gratuite ?
La santé est peut-être, selon certains critères, plus utile que la cosmétique. Mais qui détient les critères pertinents pour en juger ? Préférer s'acheter une crème de jour que financer la recherche médicale peut paraître égoïste, mais qui peut juger que la recherche médicale devrait être financée si cela ne laisse plus assez à la fin du mois pour acheter une crème de jour ? La seule personne qui peut en juger est celle qui devra financer l'un ou l'autre. Aujourd'hui, on ne lui demande pas son avis.
Les Français créent de la valeur en quantités variables. Ce ne sont pas eux qui décident comment les fruits de leur travail seront utilisés, mais le choix démocratique. Concrètement, cela revient à dire que la collectivité a plus de droits sur les fruits de leur travail que les individus. Le salaire reçu aujourd'hui par un Français représente une faible part de son salaire complet, car l’État se sert grassement au passage pour financer ses bonnes œuvres ; et il leur demande ensuite, calmement mais fermement, de leur verser une part supplémentaire de leurs revenus, ainsi qu'une part de chaque transaction qu'ils effectuent.
Dans toutes leurs interactions, qu'elles impliquent une transaction matérielle ou non, les citoyens doivent avoir la bénédiction de l’État et, bien souvent, le rétribuer pour sa bienveillance - ou le rétribuer tout court. Au lieu de les dénoncer pour laisser les individus, l'extrême-droite et l'extrême-gauche souhaitent renforcer ces interventions étatiques pour imposer à tous leurs préférences. Mais ils ne supporteraient pas que quiconque leur impose ses préférences - par exemple ouvrir le mariage aux couples de même sexe ou offrir son travail pour un prix inférieur au SMIC.
Les extrémistes ont en fait le même raisonnement étatiste que la grande majorité des Français : mieux vaut tenter de faire pencher la balance de son côté, orienter l'action étatique dans la direction qu'on souhaite lui voir prendre. Soit pour en tirer un avantage, soit pour faire contrepoids puisque les autres font de même. C'est de cette idée qu'il faut prendre le contrepoint.
Les interactions entre les individus refléteront mieux leurs préférences si elles sont libres. Les individus seront plus heureux s'ils sont libres. Mais il est impossible, une fois l'idée que la société peut et doit décider pour l'individu admise, de s'affranchir de la contrainte étatique. Chaque citoyen a alors le choix entre voler et être volé, imposer ses préférences ou se voir imposer les préférences des autres. L'homme devient un loup pour l'homme, alors qu'il aurait pu échanger et interagir librement avec ses frères.
C'est l'essence du combat des libéraux : offrir à chaque individu la liberté. Les idées libérales sont mal comprises en France ; tantôt ultra-libérales, tantôt libérales anglo-saxonnes, tantôt néolibérales, elles ne sont jamais considérées pour ce qu'elles sont : des idées de liberté.
Les libéraux ne défendent ni les entreprises et leurs dirigeants, ni les consommateurs, ni les salariés ; ils les défendent tous à la fois. Les libéraux ne sont pas progressistes ou conservateurs ; ils sont avant tout libéraux et, tout en ayant leurs convictions et préférences personnelles, ne veulent pas les imposer aux autres, tout en refusant qu'on leur en impose d'autres. Les libéraux ne défendent pas plus les catholiques que les musulmans ou les athées ; ils revendiquent la liberté pour chacun d'avoir ses propres convictions et rites et l'interdiction pour tous de les imposer aux autres. Les libéraux défendent le seul modèle de société moral : celui que les individus organiseront entre eux et pour eux-mêmes. Ils défendent le seul système économique moral : celui où les individus créent et échangent sur la base de leur libre consentement.
Il appartient à chacun d'entre nous de dénoncer clairement la dérive liberticide que prend la France, de revendiquer la liberté de tous les Français, de se battre pour la reconquérir. Les extrémistes l'expriment plus violemment, mais leur collectivisme n'est pas plus dangereux pour la démocratie ou la liberté que celui de tous ceux qui veulent que leurs préférences s'appliquent à tous. Ce n'est pas contre les extrêmes, quels qu'ils soient, qu'il faut aujourd'hui lutter, mais contre le collectivisme. Les idées nauséabondes ne sont dangereuses qu'en l'absence d'hommes pour en défendre de meilleuresDéfendons la liberté.

Churchill, leader le plus admiré des PDG à travers le monde:


Le Premier ministre britannique Winston Churchill, connu avant tout pour son rôle majeur pendant la Seconde guerre mondiale, est le leader le plus admiré des patrons d'entreprises à travers le monde, selon un sondage réalisé par PwC.
Churchill (1874-1965), cité par des dirigeants d'entreprises de 30 pays, est suivi de Steve Jobs, cofondateur du géant de l'informatique Apple, Steve Jobs, mort des suites d'un cancer en 2011. Viennent ensuite le héros de l'indépendance de l'Inde, Mahatma Gandhi et celui de la lutte contre l'apartheid Nelson Mandela, premier président noir d'Afrique du Sud.
"Dans le cadre de son étude mondiale sur les préoccupations des dirigeants, PwC a interrogé plus de 1.300 d'entre eux sur les leaders qu'ils admirent le plus", explique le cabinet PriceWaterhouseCoopers (PwC).
Sir Winston Churchill et de sa fille, l
'actrice Sarah Millicent Hermione Churchill
"Plusieurs groupes se distinguent : les réformateurs (Margaret Thatcher, Jack Welch), les guerriers (Winston Churchill, Napoléon, Alexandre Le Grand), les pacificateurs (Mahatma Gandhi, Nelson Mandela), les innovateurs comme Bill Gates et Steve Jobs, et les bâtisseurs de consensus comme Bill Clinton", affirme PwC.
"La prépondérance des personnalités pugnaces et combatives, témoignage d'une économie mondiale en crise", estiment les auteurs de l'étude.
"Au-delà de la résilience face à l'adversité, les dirigeants ont dressé une liste de qualités pour justifier le choix de leur leader. Le fait d'avoir une vision forte force l'admiration, mais la motivation, l'innovation, l'assiduité, le souci des autres et l'éthique sont aussi des critères importants", note l'étude. "Les caractéristiques qui reviennent sont la flexibilité, le pragmatisme et l'agilité", précisent les auteurs.
15 femmes ont été nommées mais Margaret Thatcher, l'ex-Premier ministre britannique surnommée la "Dame de fer", est la seule à figurer dans les dix premières personnalités citées.
Pour cette 16e étude mondiale des PDG, 1.330 interviews ont été conduites dans 68 pays entre septembre et décembre 2012, précise PwC. 449 entretiens ont été menés en Asie-Pacifique, 312 en Europe de l'Ouest, 227 en Amérique du Nord, 165 en Amérique latine, 95 en Europe Centrale et de l'Est, 50 en Afrique et 32 au Moyen-Orient.

DIVORCE GAY


Vivement le divorce pour tous ! Le gouvernement décide d’accélérer la procédure d’adoption du texte, et c’est parfait. Plus tôt il y aura des mariages gay, plus vite viendront les divorces gay ! Je connais de vieux couples homosexuels qui se chicorent et s’épient depuis des lustres, qui se trompent allègrement, s’envoient soupières de porcelaine et vases de cristal à la figure ! Ils cohabitent parfois depuis vingt, trente ans, ont traversé toutes les épreuves d’une existence, le chômage, le sida des proches, les crédits interminables... Mais ils sont restés ensemble. Pourquoi ?

L’UN DES DERNIERS INTÉRÊTS DU
MARIAGE... C’EST LE DIVORCE

Par peur de la solitude, par cette glu invisible qu’est l’habitude. Mais aussi pour des raisons beaucoup plus prosaïques : l’appartement acheté à deux, les meubles et la voiture acquis grâce au compte commun. Et ce petit commerce dans lequel chacun a investi l’héritage de ses parents ou la vente de quelques actions. Comment se séparer ? Comment démêler sans trop de drames l’écheveau d’une vie active de plusieurs décennies ? L’un des derniers intérêts du mariage, outre la fête, les roses, le riz et la cérémonie par laquelle on affirme aux autres que l’on s’aime... c’est le divorce. Le divorce qui permet des séparations réglées, encadrées et, la plupart du temps, quand il n’y a pas d’enfant, apaisées. Vivement le divorce pour tous !Point final

    Popularité : la chute sans fin de François Hollande

    Selon le dernier baromètre Ifop/JDD, le chef de l’Etat perd six points et chute à 25% de Français satisfaits de son action. Un record absolu d’impopularité sous la Ve République. Plus préoccupant, il perd également sur sa gauche. Jean-Marc Ayrault baisse également de six points.

    Comme dirait la chanson il y a toujours plus profond que le fond. Pour François Hollande, la chute devient vertigineuse. Six points de moins en avril qui s’ajoutent aux six déjà perdus en mars : la glissade semble sans fin pour le président de la République.
    L'image de Président dégradée !

    Avec 74% de Français qui se déclarent "mécontents", le chef de l’Etat bat un record absolu sous la Ve. Jusqu’à présent, c’est Nicolas Sarkozy qui détenait ce record avec 72% de mécontents atteint en… avril 2011, c’est-à-dire un an avant la fin de son quinquennat. On assiste donc à une incroyable accélération du temps politique. Plus préoccupant surtout pour Français Hollande : il passe sous son socle électoral. Avec 25% de Français encore satisfaits, il s’éloigne des 28,6% de ceux qui avaient votés pour lui au premier tour de la présidentielle il y a un an.

    13 points perdus au PS

    Le recul est général. Il baisse notamment chez les professions intermédiaires traditionnellement acquises aux socialistes (de 41% à 24%), chez les professions libérales (de 38% à 29%) et même chez les sympathisants socialistes (de 77% à 64%). Dans leurs réponses, les Français interrogés par l’Ifop estiment que le Président et son gouvernement s’attardent sur des sujets non prioritaires comme le mariage pour tous et le choc de moralisation. Tout se passe comme si l’affaire Cahuzac avait mis en évidence le manque d’autorité de François Hollande. Plus que l’affaire en tant que telle, les sondés déplorent le manque de vigilance du Président lorsqu’il a choisi son ministre du Budget indélicat.
    Loin d’agir comme un bouclier, Jean-Marc Ayrault baisse au même rythme que son patron : - 6 points ce mois. Le Premier ministre n’a pas plus que 30% de personnes satisfaites.

    Aubry : "Aider nos PME à s'implanter" en Chine

    A quelques jours du premier déplacement de François Hollande à Pékin, Martine Aubry - représentante spéciale du ministre des Affaires étrangères pour la Chine - revient dans le JDD sur les relations entre les deux pays. Extraits de l'entretien à paraître dimanche.

    La semaine prochaine, François Hollande effectuera sa première visite en Chine. L'occasion pour le chef de l'Etat d'échanger avec son homologue Xi Jinping - investi le mois dernier. Le président français sera notamment accompagné de Martine Aubry, représentante spéciale du ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, pour le partenariat avec la Chine.
    Martine le Raffarin socialiste
    "François Hollande sera le premier chef d’État à être reçu par le nouveau président chinois, c’est un signe important. Les autorités chinoises veulent renouer avec la France. On ne peut pas être un grand pays sans s’intéresser à la Chine", explique Martine Aubry dans une interview à paraître dans le JDD. La socialiste estime aussi que la relation de confiance entre les deux pays "s’est cassée sous Nicolas Sarkozy".
    MAIS BIEN SÛR, SARKO ENCORE SARKO. 
    COMMENT VA-T-ELLE AIDER LES ENTREPRISES A S'IMPLANTER ? 
    AVEC DES SUBVENTIONS ? 
    MAIS C'EST ÉVIDENT !