vendredi 2 août 2013
EMPRUNTÉ A VICTOR HUGO
Voyez-les se jeter sur les talons d'Hollande !
Voyez-les vénérer le crétin éphémère,
Le zéro solennel qui, pour l'instant, prévaut -
Chez-la gent gauchisante ou dans le clan dévot!
Un idiot étant-l'étui d'un personnage,
Il suffit qu'un grimaud soit plus vieux que son âge
Et qu'il se taise 'avec' l'air d'un niais profond
Pour qu'on l'estime; et ceux qui font et qui défont
Tous -les noms de hasard mêlés à nos orages,
L'acclament de leur voix enrouée aux outrages,
Sachant qu'on ne peut mieux compléter les assauts
Aux grands hommes raillés qu'en admirant les sots.
MAIS C'EST TELLEMENT JUSTE !
Les banquiers affirment financer l'économie... tout en prêtant de moins en moins
Alors qu' en Europe les prêts bancaires sont atones, les banques assurent financer pleinement l'économie. Certains dirigeants, tel le PDG de Société Générale, Frédéric Oudéa, assument cette situation, qui devrait s'accentuer: un métier qui s'oriente de plus en plus vers la désintermédiation, les banques se consacrant surtout à aider les entreprises à se financer sur les marchés.
Olivier Klein, PDG de la BRED. Banque qui ne fait pas crédit. |
« Nous finançons l'économie, c'est notre rôle, nous l'assurons pleinement ». Cette affirmation, les dirigeants des banques la répètent à satiété. Mais les chiffres tendent à prouver le contraire. Et certains banquiers, non des moindres, n'hésitant à verser dans la contradiction, assument en fait cette évolution, assurant que l'avenir est à la « désintermédiation ».
On l'a vu ce jeudi avec la présentation des résultats de la Société Générale pour le deuxième trimestre. Ceux-ci, en hausse, ont été applaudis par les marchés. Mais s'ils tiennent à différents facteurs (fin des pertes liées à la crise financière, pression sur les coûts, conseil au financement des entreprises, à travers la banque de financement et d'investissement), ils ne sont absolument pas liés à un financement direct de l'économie, via une augmentation des prêts. Le volume de ceux-ci baisse. Notamment en France : au deuxième trimestre, l'encours moyen des crédits était de 175,9 milliards d'euros. Contre 176,6 milliards au deuxième trimestre 2012. Si l'on tient compte de la hausse des prix, la baisse réelle atteint 2,4%.
On l'a vu ce jeudi avec la présentation des résultats de la Société Générale pour le deuxième trimestre. Ceux-ci, en hausse, ont été applaudis par les marchés. Mais s'ils tiennent à différents facteurs (fin des pertes liées à la crise financière, pression sur les coûts, conseil au financement des entreprises, à travers la banque de financement et d'investissement), ils ne sont absolument pas liés à un financement direct de l'économie, via une augmentation des prêts. Le volume de ceux-ci baisse. Notamment en France : au deuxième trimestre, l'encours moyen des crédits était de 175,9 milliards d'euros. Contre 176,6 milliards au deuxième trimestre 2012. Si l'on tient compte de la hausse des prix, la baisse réelle atteint 2,4%.
>> Lire aussi : Les banques françaises ont-elles encore peur de la dette?
"En France, dans la résilience"
Bien sûr, cette situation peut être imputée à la faiblesse de la demande. Les entreprises investissent peu, le marché immobilier est plus qu'incertain, les consommateurs achètent moins. Une situation qui devrait changer rapidement, avec la reprise qui pourrait se dessiner ? Le PDG de Société Générale, Frederic Oudea, ne le croit pas. « En France, nous sommes dans la résilience adaptative, nous n'entrevoyons pas de croissance dans les deux ou trois ans à venir », a-t-il déclaré à l'occasion de la présentation des résultats du groupe.
Et même après cette échéance, dans l'hypothèse d'une économie en croissance, il se pourrait que les banques ne prennent pas tant que ça le chemin du crédit. « Nous devrons nous orienter vers plus de désintermédiation, aller vers un modèle plus anglo-saxon », affirme Frédéric Oudéa. Autrement dit, ce serait de moins en moins les banques qui prêteraient aux entreprises : ces dernières trouveraient leur financement auprès des marchés, avec l'aide des établissements financiers.
Bien sûr, cette situation peut être imputée à la faiblesse de la demande. Les entreprises investissent peu, le marché immobilier est plus qu'incertain, les consommateurs achètent moins. Une situation qui devrait changer rapidement, avec la reprise qui pourrait se dessiner ? Le PDG de Société Générale, Frederic Oudea, ne le croit pas. « En France, nous sommes dans la résilience adaptative, nous n'entrevoyons pas de croissance dans les deux ou trois ans à venir », a-t-il déclaré à l'occasion de la présentation des résultats du groupe.
Et même après cette échéance, dans l'hypothèse d'une économie en croissance, il se pourrait que les banques ne prennent pas tant que ça le chemin du crédit. « Nous devrons nous orienter vers plus de désintermédiation, aller vers un modèle plus anglo-saxon », affirme Frédéric Oudéa. Autrement dit, ce serait de moins en moins les banques qui prêteraient aux entreprises : ces dernières trouveraient leur financement auprès des marchés, avec l'aide des établissements financiers.
Déjà, le résultat brut d'exploitation de l'activité banque de financement et d'investissement de Société Générale a crû de 7,9% au premier semestre (par rapport à la même période de 2012), alors que le métier de banque de réseaux voyait se profits bruts stagner. Ce segment se développe rapidement, souligne-t-on aussi à la BNP. La réglementation bancaire, qui contraint les banques à augmenter le ratio entre leurs fonds propres et leur total de bilan, explique largement cette évolution.
Mais quand les banquiers reconnaîtront-ils
qu'ils financent de moins en moins l'économie ?
Pourquoi vous avez tout à gagner à apprendre à dire non
Dans nos sociétés où tout est présenté comme porteur d'un intérêt important, nous ne parvenons pas à hiérarchiser, et donc à dire non. Ceci se vérifie quotidiennement au travail, mais également au sein de la cellule familiale avec ses enfants. Pourtant, savoir dire non est la clé de l'épanouissement personnel, à condition de ne pas en abuser.
Quelles réticences avons-nous à dire non ?
France Brécard : Parmi les différentes réticences pouvant exister, il y a celle relative à la crainte de ne pas faire plaisir à l’autre, mais également la peur de ne pas renvoyer l’image que nous souhaitons donner de nous-même, et celle aussi liée au conflit. Ces raisons relèvent davantage de la psychologie propre à chacun, en lien avec les messages de type éducatif que nous avons pu recevoir dans notre enfance. Nos parents nous ont éduqué selon un certain nombre de messages constituant des normes, parmi lesquelles celle de faire plaisir aux autres et d’être gentil. Il est d’ailleurs intéressant de noter qu’il s’agit là d’un message que l’on inculquait davantage aux petites filles, avec ce souci de les élever pour qu’elles puissent s’occuper des autres.
Qu'a-t-on à gagner sur le plan personnel et professionnel à savoir dire non ?
Sur le plan personnel, il s’agit d’être plus proche de ce que nous sommes, sans pour autant dire non à tout bout de champ et sans raison valable. Dire non, c’est se rapprocher de ses désirs propres.
Sur le plan professionnel, il s’agit d’une façon de se faire respecter, d’éviter de réaliser des tâches et missions qui ne nous conviendraient pas ou qui ne seraient pas en adéquation avec nos valeurs. D’un point de vue éthique, il peut donc être important dans le travail de savoir dire non.
A lire sur le même sujet : Petit guide anti-manipulateurs Partie 2 : apprendre à leur dire nonde Jacques Legard.
Petit guide anti-manipulateurs Partie 2 : apprendre à leur dire non
Read more at http://www.atlantico.fr/editions/digests/petit-guide-anti-manipulateurs-partie-2-apprendre-dire-non-784993.html#gleyydBwddtXxU5f.99
Read more at http://www.atlantico.fr/editions/digests/petit-guide-anti-manipulateurs-partie-2-apprendre-dire-non-784993.html#gleyydBwddtXxU5f.99
Savoir dire non n'est-il pas la manifestation de notre assurance quant à nos envies et à nos objectifs ?
Très certainement, bien que plusieurs interprétations sont possibles. Par exemple, il y a des gens qui ne savent pas dire non car ils ne savent pas ce qu’ils veulent, ce qui les placent dans une situation telle qu’ils sont obligés de s’adapter à l’envie de l’autre. Ils n’ont donc effectivement aucune assurance quant à leurs propres envies et désirs.
A l’inverse, il y a des gens qui savent ce qu’ils veulent mais qui sont incapables de l’exprimer. Dans ce cas, le travail à accomplir pour pouvoir dire non est différent, même si l’objectif reste le même : affirmer ce que nous sommes.
Qu'est-ce qui doit motiver nos refus : notre absence d'envie de faire telle ou telle chose, ou bien le fait qu'il ne s'agisse pas d'une nécessité/priorité ?
Tout dépend bien évidemment à quoi nous disons non. Ne pas vouloir aller au cinéma, par exemple, peut relever du simple fait que nous n’en avons pas envie, tandis que l’acte de refuser d’accomplir telle ou telle tâche au travail peut signifier simplement un désir de hiérarchisation parmi toutes les choses à accomplir.
L’identité de la personne à qui nous disons non joue aussi un rôle important. Savoir dire non à ses enfants notamment est important d’un point de vue éducatif. Beaucoup de parents aujourd’hui disent oui simplement pour être aimés de leurs enfants, ce qui n’a rien d’éducatif. Les parents doivent apprendre à leurs enfants la frustration, à leur fixer des limites : ne pas manger trop de bonbons, trop de glaces… Apprendre à savoir dire non, dès l’enfance, permet par la suite, dans notre vie d’adulte, à savoir dire non à des choses qui ne sont pas bonnes pour nous.
Quels risques court-on à ne pas dire non ?
On prend le risque principal de s’adapter, et avec lui, celui de s’oublier. C’est ce que beaucoup de patients me confient dans le cadre de mes consultations en tant que psychothérapeute.
Travail, vie de famille, vie sociale, loisirs que l'on fait pour soi...nos vies sont de plus en plus en chargées, avec un risque de burn out, phénomène de plus en plus caractéristique de notre société du XXIème siècle. Plutôt que de ne pas savoir dire non, n'avons-nous pas un problème avec le fait de ne pas savoir prioriser ?
Tout nous est présenté comme important. Du coup, nous ne savons pas comment prioriser. Néanmoins, nous devons absolument apprendre à dire non : non à travailler le week-end, non à travailler tard le soir…Savoir ce qui est prioritaire ou non est indispensable afin de pouvoir notamment se concilier une vie de famille.
L'une des principales craintes relatives au fait de dire non réside dans la peur de paraître impoli/de décevoir les gens. Quels types de formulation pourraient permettre de maintenir notre refus tout en évitant cet effet socialement "indésirable" ?
Il convient surtout de rester poli dans la formulation de son refus. Dans le cas du patron qui souhaite que nous restons plus tard au travail par exemple, il est requis, dans la notification du refus, d’éviter les situations conflictuelles le plus possible. Préférez les formulations du type : " Je comprends bien que vous ayez besoin de moi, mais j’ai déjà des impératifs à remplir ", ou bien " Ce n’est malheureusement pas possible maintenant, mais une prochaine fois, sans aucun souci ". Le plus important est de pouvoir avancer des explications, en évitant donc une simple affirmation de refus qui pourrait être trop dure. Attention à ne pas tomber dans l’excès inverse : celui de dire non tout le temps.
Vacances sous surveillance pour le gouvernement
Profil bas ! Ils en rêvaient depuis des mois, mais pas question de trop pavoiser : la trêve estivale des ministres sera courte, studieuse et pas trop loin de Paris.
Cette fois, ils vont pouvoir souffler, même s’il convient de ne pas le dire trop fort. A l’issue du Conseil des ministres, ce matin à l’Elysée, les membres du gouvernement partent pour des vacances courtes — deux semaines — susceptibles d’être interrompues et, de toute façon, studieuses. Certes, rien n’est plus pareil depuis l’épisode de la canicule de 2003, symbole de la vacance du pouvoir.
Mais François Hollande garde aussi en tête la façon dont l’an dernier il avait été stigmatisé par la droite pour ses vacances au fort de Brégançon, installant l’idée d’un exécutif en goguette alors que la crise, elle, ne faisait pas relâche.
Un an plus tard, alors que la popularité du chef de l’Etat reste au plus bas, l’objectif est de montrer que le gouvernement est sur le pont (en tout cas mobilisable, en étant à moins de deux heures de Paris, à l’exception des ministres ultramarins). Le sujet est visiblement sensible. Aurélie Filippetti (Culture), qui avait été épinglée pour avoir passé ses vacances de Noël à l’île Maurice, refuse aujourd’hui de dévoiler sa destination! Et les autres prennent des gants, n’oubliant jamais de mentionner les devoirs de vacances qu’ils ont dû mettre dans leurs valises. Tous savent néanmoins qu’il leur faudra récupérer des forces après une année épuisante et avant une rentrée qui s’annonce très rude.
Pinel « rattrapera le temps perdu ». C’est comme cela qu’au cabinet de la ministre de l’Artisanat et du Tourisme on résume son programme des vacances consacrées « à ses amis et à sa famille ». Des proches parfois victimes collatérales de leurs agendas chargés. Yamina Benguigui (Francophonie) compte elle aussi profiter à plein de ses deux filles du côté du bassin d’Arcachon. Du temps passé avec ses proches, c’est aussi ce qu’a prévu François Lamy (Ville), qui a loué une maison en Provence avec des amis.
Hamon fera de la randonnée. Le ministre de l’Economie sociale a choisi les Pyrénées-Orientales avec comme objectif affiché de garder la forme. Pour ceux qui n’iront pas sur la côte, la marche est à la mode. Ainsi, Geneviève Fioraso (Enseignement supérieur) s’est réservé une semaine pour sillonner les Alpes du Nord. Elle y croisera peut-être son collègue Alain Vidalies (Relations avec le Parlement). Bernard Cazeneuve (Budget) fera du vélo et du jardinage à Senlis (Oise) et en profitera pour se replonger dans la lecture de… Tocqueville et Montesquieu.
Valls restera sur le terrain. Le ministre de l’Intérieur, qui passera ses vacances en Provence, continuera à avoir la bougeotte. Il effectuera (au moins) un déplacement par semaine. Les ministres ont d’ailleurs parfaitement saisi le message présidentiel : les congés oui, mais pas de farniente affiché! Frédéric Cuvillier (Transports) a d’ores et déjà prévu de rencontrer des routiers au cours de ses quinze jours de « vacances ». De son côté, Marie-Arlette Carlotti (Personnes handicapées et Lutte contre l’exclusion), en campagne pour la primaire qui doit désigner le candidat PS aux municipales à Marseille, devrait être très visible dans la cité phocéenne… Elle a déjà programmé une opération sur les plages le 9 août et une conférence de presse le 20.
Montebourg terminera son nouveau livre. Retiré dans sa maison de Montret (Saône-et-Loire), le ministre du Redressement productif va en profiter pour achever « le Retour de l’Etat », un essai dont la sortie est prévue pour la rentrée. Pour tous, les vacances seront studieuses avec la préparation du séminaire gouvernemental de rentrée, le 19 août. Et ceux qui seront chargés des projets chauds de septembre ont fait savoir qu’ils potasseraient leurs dossiers pendant leurs congés. Dans le sac de vacances de Marisol Touraine (Santé et Affaires sociales), le texte de la réforme des retraites devrait remplacer les tongs.
LA FRANCE QUI GAGNE : Pôle Emploi apprend à un informaticien comment allumer son ordinateur
Arnaud, 30 ans, est informaticien. Lorsqu'il se retrouve au chômage, Pôle emploi lui propose une formation. Au programme : comment allumer son ordinateur, naviguer sur le site de Pôle emploi, etc. Mais par peur d'être radié, il accepte.
Cela faisait un an qu'Arnaud était au chômage, rapporte la Charente Libre quand Pôle Emploi lui propose une formation. Cet informaticien de 30 ans avait exercé pendant quatre ans comme autoentrepreneur avant d'être contraint à mettre la clé sous la porte. Au menu de la formation ? Comment allumer son ordinateur ou encore, comment naviguer sur le site de Pôle emploi.
Mais par peur d'être radié des listes, il a quand même accepté le stage. "Pour prouver ma motivation et éviter la radiation", explique-t-il au quotidien charentais. Etonnamment, "ça ne m'a strictement rien apporté", confie Arnaud. Du côté de Pôle emploi, on explique que l'atelier n'était pas obligatoire, mais fortement conseillé. "Ces stages informatique accroissent les chances de trouver un emploi, même pour les informaticiens", explique un responsable départemental.
AVEC CES FORMATIONS ON EST
CERTAIN DE TROUVER RAPIDEMENT
UN JOB STABLE ET BIEN PAYÉ.
François Hollande et Valérie Trierweiller investissent la Lanterne
Pour ses vacances studieuses, François Hollande a décidé de poser ses valises à la Lanterne. Deux semaines de repos dans un lieu chargé d’histoire.
C’est Matignon qui régale. Peu de gens le savent mais le domaine de la Lanterne à Versailles est normalement réservé au Premier ministre qui en assure l'entretien à hauteur de 200 000 euros par an. Mais du temps de Nicolas Sarkozy la propriété fut réquisitionnée par le chef de l’État et François Hollande compte bien conserver cette habitude. Ainsi, dès la fin de semaine, le Président de la République et Valérie Trierweiler s’installeront là-bas pour quinze jours de repos.
Les Ceaucescou Français |
Il se murmure à l’Elysée que la journaliste qui partage la vie de François Hollande est tombée sous le charme de la Lanterne. Comme Cécilia Sarkozy et Carla Bruni, Valérie Trierweiler aurait tenu à passer son été sur place. Cette ancienne dépendance du château de Versailles bénéficie de tout le confort moderne et se tient à l’abri des regards indiscrets. La zone est interdite de survol et un service de sécurité s’occupe de disperser les éventuels paparazzis récalcitrants. Petit incident ou coup de communication maîtrisé, c’est en tout cas là-basque Carla et Nicolas Sarkozy s’étaient affiché pour la première fois ensemble après la naissance de Giulia, avec la mine de jeunes parents fatigués.
Patrice Machuret, auteur du livre Un long dimanche à Versailles: la République à la Lanterne (Seuil), s’étonne sur France Info que François Hollande ait décidé de garder sous sa coupe ce «symbole de l’hyper-présidence de Nicolas Sarkozy». Le président normal s’est laissé séduire par cette résidence au détriment d’un Jean-Marc Ayrault à qui la Lanterne revient normalement de droit. Mais les lieux qui ne ressemblent pas à une destination paradisiaque conviennent bien à François Hollande qui souhaite s'imposer des vacances studieuses, comme il le fait avec son gouvernement.
MAIS, CE N'EST PAS DE L'ANTI-SARKOZYSME ÇA !!
Inscription à :
Articles (Atom)