TOUT EST DIT

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ǝʇêʇ ɐן ɹns ǝɥɔɹɐɯ ǝɔuɐɹɟ ɐן ʇuǝɯɯoɔ ùO

dimanche 15 juin 2008

JE ME DEMANDE.

A tout ceux qui disent que PPDA est trop vieux, j'aimerai savoir si leurs femmes à eux ne les trouvent pas trop vieux ? Dans ces
cas là, mesdames, évincez vos maris, et prenez en un plus jeune, il fera plus "d'audience".

Les Français regrettent

LA PAROLE AUX CONS :
CON PREMIER ?
offtheroadagain : restons sérieux ...
Ce battage autour de l'éviction du présentateur du 20h montre à quel point la pipolisation se substitue a l'analyse sérieuse des faits. Si la méthode employée pour son éviction est rude, elle ressemble à toutes celles qui l'ont précédé et qui ont fait beaucoup moins de bruit. N'a t'on pas coutume de dire, "le journal de 20h de PPDA" une véritable aberration, comme si il le faisait tout seul. Ce vedettariat est malsain et à permis toutes les dérives que l'on connaît. Il faut savoir raison garder, la première chaîne à ses affinités à droite, souvenons nous du soutien éhonté à Balladur pendant sa campagne présidentielle. Poivre n'était t-il pas alors partisan, comme quand il débouchait sur le plateau de TF1 le champagne après l'élection de Sarkozy. Ancien président des jeunes Giscardien il connaît trop bien les méandres et les compromissions des milieu politiques avec les médias, pour jouer les indépendants. Aujourd'hui que les méthodes de management s'appliquent à sa personne, il les réprouvent, c'est un comble lui qui s'en est servi pour assoire un peu mieux son pouvoir. L'indépendance de la rédaction est comme chacun sait, un voeu pieux, un leurre. L'orgueil et l'ego démesuré du personnage le rendait ingérable, il a fini de plaire, un point c'est tout. Dans le privé encore plus que dans le public nul n'est indispensable, et l'on s'en rendra très vite compte. La faculté d'oubli est incommensurable, malgré les talents indéniables qui étaient les siens. Pour l'info, aujourd'hui, honnête, malhonnête, pluraliste, place au net ou l'on retrouve au moins toutes les sensibilités. La grande messe du 20h est très largement dépassée, c'est devenu un article trop indigeste et PPDA y a largement contribué.

CELUI QUI LE BAT : Un copain de Bouygues
Loauda 'ancien du BTP : PPDA
Eh ! bien moi,je ne suis pas parmis ceux qui regrettent PPDA,bien au contraire,je préfère et de beaucoup,le joli minoi de Laurence Ferrari ! elle est quand même plus agréable à regarder non ? elle a un joli sourrire,parle bien et jusqu'à maintenant,elle a toujours été indépendante,ce qui n'est pas mal,les idées du présentateur(qui ne sont pas forcément les miennes) lors de la présentation d'un journal télévisé,ne m'intérrêssent pas,et Laurence a toujours été neutre en ce sens,ce que j'apprécie.

PPDA était trop prétencieux,imbu de lui même et de sa personnalité,et puis, voir la même tête depuis trente années ! il y a aussi son âge,place à de plus jeunes,il faut savoir se renouveller ! Nous avons toujours eu de jolies Femmes sur TF1,du temps de l'ORTF,Catherine Langeais,Jacqueline Huet,Anne Marie Pesson etc...pourquoi nous mettre un PPDA a la place ?

Au 13 Heures nous avons déjà un homme(très sympatique celui-là),Jean Pierre Pernault ! et en plus il nous fait sourrire quand,le journal fini,il se retire et embrasse au passage Eveline Delhia, pour le soir une jolie femme,c'est mieux ! à mon avis. Cela aura au moins l'avantage de nous détendre et de nous faire mieux accepter les horreurs de l'info !

PPDA avec sa mine de déterré, me glacait lui !

LES TONTONS FLINGUEURS OU LES PIEDS NIKLÉS ?

«Pas de marionnettistes chez nous !»

Tractations ou simples images pour brouiller les pistes ? Exemple avec cet aparté entre Julien Dray, qui a pris ses distances avec Ségolène Royal, et Vincent Peillon, toujours proche de l'ex-candidate à la présidentielle. Un entretien détendu sur un escalier, café à la main. Suffisamment loin pour ne pas être entendus, mais assez près des caméras pour être aperçus. «Ça ne veut rien dire, tout le monde discute avec tout le monde. C'est nécessaire, car le Congrès peut être celui de tous les dangers», avertit le député André Vallini, qui plaide pour un grand accord Delanoë/Royal/Aubry sans la gauche du PS. «Hors de question», rétorquent dans la foulée deux proches de Ségolène Royal, pour qui cette Convention nationale n'est qu'une «danse du ventre» avant le grand coup de pied dans la fourmilière qu'il souhaite donner.

Sous-entendu la mise à la retraite des «éléphants» et la marginalisation de la gauche du PS pour laisser place à une «ligne authentiquement réformiste». Pas peur d'aller au combat glaive à la main, ces mêmes partisans de Royal qui affirment même qu'il n'y a pas de «signature possible» avec François Hollande puisqu'il incarne les onze dernières années du PS. Le passé. «Pas de marionnettistes chez nous !», assènent-ils également.