TOUT EST DIT

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lundi 29 juillet 2013

François Hollande fâché avec la géographie


Le président de la République a commis un nouvel impair diplomatique, jeudi en Slovénie, en créant un nouveau pays: la «Macédonie».
François Hollande va devoir réviser un peu sa géographie pendant les vacances. Le chef d'État était convié jeudi au sommet des pays des Balkans en Slovénie. À cette occasion, le président de la République a créé un nouveau pays: la Macédonie. «Sur l'ancienne République yougoslave de Macédonie, j'ai rappelé que la France était disposée à chercher, par la qualité des relations que nous pouvons avoir avec la Grèce, une solution», a-t-il expliqué, sans s'émouvoir de son erreur, lors d'une conférence de presse avec son homologue slovène, Borut Paror.
François Hollande a évité de peu l'incident diplomatique. Le nom de Macédoine est l'objet d'une vieille polémique entre Skopje et Athènes. Au moment de son indépendance, en 1991, «l'ancienne République socialiste de Macédoine» choisit de devenir la «République de Macédoine». Depuis cette date, les Grecs estiment que son voisin usurpe l'héritage de Philippe II et de son fils Alexandre le Grand. La plus grande partie de l'antique royaume s'étendait sur le nord de l'actuelle Grèce. Cette querelle pourrait paraître futile, si le différend entre les deux pays ne constituait pas le principal obstacle à l'adhésion de la Macédoine à l'Union européenne et à l'Otan. La France ne reconnaît pas l'appellation de «République de Macédoine» et lui préfère celle d'«ancienne République yougoslave de Macédoine».
Le président français n'en est pas à sa première gaffe diplomatique. Au début du mois, il avait déjà évoqué la Tunisie au lieu de l'Égypte, lors d'une autre conférence de presse. En juin à Tokyo, il avait présenté «au peuple chinois» ses condoléances après la mort de dix Japonais lors de l'attaque du site gazier en Algérie. Les erreurs de géographie ne sont toutefois pas l'apanage de l'actuel locataire du palais de l'Élysée. En 2011, son prédécesseur, Nicolas Sarkozy, avait situé l'Alsace en Allemagne...

TANT QU'IL SAIT OÙ EST TULLE....

NKM la "tueuse" tire sur Chirac, Fillon et (surtout) DSK


"Je suis une tueuse", répond Nathalie Kosciusko-Morizet à la chaîne américaine NBC dans une longue interview consacrée notamment au sexisme dans la politique française. 
La politique française vue des Etats-Unis ressemble à un "club pour hommes"... La chaîne américaine NBC a invité Nathalie Kosciusko-Morizet à évoquer certains de ses représentants, dans une longue interview accordée dans son bureau de l'Assemblée nationale. La candidate UMP à la mairie de Paris y évoque notamment Jacques Chirac et Dominique Strauss-Kahn, tous deux célèbres outre-Atlantique.  
Pour NKM, être qualifiée d' "emmerdeuse" par l'ancien président de la République relevait du "compliment". En revanche, elle a moins apprécié de rater une "opportunité de devenir ministre" quand elle était enceinte. Deux fois. Une expérience vécue avecJacques Chirac et plus tard avec François Fillon quand il était Premier ministre: "A deux reprises, des hommes m'ont appelée pour me dire: 'bon, tu ne seras pas ministre parce que tu es enceinte.'" Selon elle, "ils ne réalisent pas ce qu'ils disent. Je ne suis pas sûre que ce soit la seule raison pour m'écarter. Mais à leurs yeux, c'était une bonne raison en tout cas."  
NKM affirme ne pas leur en vouloir. Un autre homme politique français, en revanche, représente "le type d'hommes contre lequel les femmes de mon âge doivent se battre pour que les femmes de 20 ans n'aient pas de problème." Cet homme, c'est Dominique Strauss-Kahn, ex-patron du FMI dont les Etats-Unis se souviennent aussi pour l'affaire du Sofitel de New York. Selon elle, DSK "représente le type d'hommes contre lequel les femmes de mon âge doivent se battre pour que les femmes de 20 ans n'aient pas de problème." "Je sais bien comment jeter ce genre d'hommes", ajoute celle qui se dépeint comme une "tueuse". Politiquement parlant.  
"Je suis une tueuse. Tout le monde est un tueur en politique. Certains savent comment tirer, d'autres non. Certains font ça en face, la majorité le fait dans le dos. Je fais ça de face", poursuit-elle. Le terme "majorité" ici n'est pas à prendre dans son acception politique: l'opposition elle aussi est concernée par les critiques de la candidate UMP à la mairie de Paris. Tout le personnel politique est visé par la "tueuse", tous partis confondus. "Celui qui dit qu'il n'a pas d'ambitions et qu'on est chez les Bisounours, celui-là est un menteur." 

François Hollande, Interdit Bancaire!


François Hollande, comme à chaque défilé a reçu une douche froide ce 14 juillet sur les Champs-Elysées. Sifflets, insultes, regards hostiles, il peut s’estimer heureux  de ne pas avoir reçu des pierres.
Les français n’en peuvent plus de ce gouvernement d’incapables et de son président qui a largement fait la preuve de son incompétence en seulement un peu plus d’un an.
Jean-Marc Ayrault, ce mardi dernier se couvrait de ridicule à l’assemblée nationale et démontrait qu’il n’avait rien à faire comme premier ministre et que sa place était bien celle d’un enseignant…
François Hollande contre toutes les instances politico-économiques, contre tous les indicateurs économiques déclarait: » La reprise, elle est là ».
Bonimenteur, escroc, ou totalement irresponsable, le monde entier s’est posé la question sur François Hollande et au vu des commentaires, ne  l’a pas encore tranché.
Alors que l’on nous annonce un record du nombre des chômeurs en France pour fin 2014, de nouveaux impôts strictement nécessaires pour la fin de l’année, ce qui tendrait à prouver que les précédents ne l’étaient pas, François Hollande est à l’image du capitaine du Concordia, il ne voit pas arriver la catastrophe…
L’endettement de la France augmente chaque mois un peu plus et François Hollande (le comptable de la France) est criblé de dettes, un compte à découvert de plusieurs dizaines de milliards, mais néanmoins  continu de faire des chèques et d’utiliser sa carte Bleue, encore dernièrement pour donner 500 millions aux Tunisiens…
Les français qui sont les banquiers de François Hollande doivent lui retirer tous ses moyens de paiement, le mettre sous tutelle et demander une expertise médicale pour savoir s’il y a lieu d’engager des poursuites ou le déclarer irresponsable…
QUAND LES FRANÇAIS SE DÉCIDERONT-ILS A DEVENIR ADULTES ?
LÀ EST LE PROBLÈME DE CE PAYS.

Gattaz-Parisot, même inutilité…


Pierre Gattaz a été élu à la présidence du Medef dans une quasi unanimité. Président de la société Radiall, il succède à son père, fondateur de la firme et, lui-même, ancien président du CNPF. Cela montre, en passant, la supériorité des entreprises familiales sur celles qui sont anonymes : sur le plan capitalistique, les actionnaires sont souvent satisfaits, en particulier grâce à la possibilité de vues à long terme. Quant aux salariés, ils bénéficient fréquemment de relations sociales apaisées.
Le Medef a tiré la sonnette d’alarme jugeant insupportable les charges fiscales et sociales qui écrasent les entreprises, seules créatrices de vraies richesses. Il évalue à 100 milliards d’euros le poids qu’il faudrait enlever à ces entreprises pour leur permettre de retrouver leur compétitivité perdue. Malgré l’imprécision inévitable des montants, c’est un ordre de grandeur à retenir.
On ne peut qu’applaudir. Mais c’est au stade des moyens envisagés que le dérapage intervient. Malgré le flou des informations à ce sujet, nous pouvons juger peu ou prou son programme.
La première proposition semble être de diffuser les 100 milliards dans tout le corps social en manipulant les impôts et charges avec évidemment maintes complications. Le fardeau serait donc payé par d’autres que les entreprises. En fait cela reviendrait à frapper sous diverses formes les clients des entreprises que l’on affirme vouloir sauver. Que vaut une entreprise sans clients ?

VERS UNE POLITIQUE INDUSTRIELLE
Les experts du Medef ont du flairer le piège. C’est pour cela qu’ils ont imaginé des mécanismes compliqués pour encourager les activités supposées créatrices d’emplois au détriment d’autres n’ayant pas leurs faveurs. Il s’agit en fait, sans que le mot soit peut-être prononcé, d’une politiques industrielle telle que les gouvernements de toutes sortes en ont eu depuis des lustres. Le résultat le plus clair de ces politiques fut de chasser les usines hors de France. François Hollande n’agit pas différemment.
Le terme de « politique industrielle » ne devrait pas exister. Elle ne peut se manifester que dans une odeur pestilentielle d’usines à gaz ; les détails du programme nous promettent un ouragan de lois ou de réglementations. Un tel ouragan et ses variations détruit les entreprises au même titre que les impôts et charges.
Voici une information essentielle à diffuser. Il existe plus de 6 000 aides aux entreprises. Leur coût apparent dépasse le montant de l’impôt sur les sociétés. Il s’agit d’un coût apparent, car la mécanique infernale génère des heures de travail pour gérer la forêt. Cela montre l’immense marge de manœuvre qu’un Medef désireux de faire éclater la vérité pourrait mettre en lumière.
Enfin dans une funeste erreur, le Medef se déclare attaché aux divers principes de réduction du nombre de fonctionnaires et d’allègement de leur coût ; ces méthodes sont toujours été très limitées dans leurs effets. Que signifie au demeurant les références au futur budget 2014 ; la maison brûle, faut-il attendre pour la sauver ?

COMMENT LIBERER LES ENTREPRISES ?
Libérer les entreprises est, pour sur, un objectif fondamental. A cette fin, il ne faut pas diminuer les dépenses et les impôts. Il est nécessaire de les détruire ce qui est différent.
Pour les dépenses, les diminuer seulement comme en jouant sur les charges des fonctionnaires c’est bien vite voir la dépense revenir par la fenêtre. Détruire les dépenses, c’est supprimer des administrations entières : plus de bureaux luxueux, plus de salles à manger de direction, de cabinets, de statistiques, de formulaires, de contentieux, de fonctionnaires.
Il est souhaitable de commencer par les petites et moyennes administrations aux attributions parfois ridicules et contradictoires : une fois détruites, elles ne reviendront jamais. La liste de ces administrations inutiles est impressionnante.
Pour les impôts et charges, il faut faire de même. Un impôt seulement diminué réaugmente toujours. Il est nécessaire de s’attaquer à la jungle des multiples taxes et prélèvements divers. Là aussi il faut porter la hache car tout le fatras pèse directement ou non sur les entreprises.
Nul doute qu’un programme de ce genre serait salué par les marchés s’il est bien calculé. Les effets immédiats et rapides permettraient d’avancer par phases successives vers toujours davantage de libération.
Si le nouveau Medef ne s’y engage pas, il nous refera du Parisot, alors pourquoi avoir changé de leader ?

La Réforme: Supprimer l’Administration !


Il ne faut surtout pas réformer l’État et il faut le faire maigrir selon une méthode adaptée ce qui n’est pas évident. Les politiques qui, en France ont imaginé des actions diverses pour prétendument le réformer étaient soit ignorants soit complices.
Raffarin avait annoncé 230 mesures pour réformer l’État ce qui devait générer 500 millions d’euros d’économies. La chasse aux taille-crayons était ouverte, avec Francis Mer comme  « Grand Veneur » qui  avait réuni une commission de plusieurs dizaines de personnes pour organiser cette chasse !
François Fillon avait le projet de noter les ministres. Ce rôle de professeur était  comique. Il les jugeait sur leurs aptitudes à faire passer des textes : cela revenait à leur capacité de nuire puisque le pays croule sous l’inondation de lois.
Une autre méthode fut la révision générale des politiques publiques (RGPP)  qui consiste en une analyse des missions et des actions de l’État, suivie de la mise en œuvre de scénarios de réformes structurelles. Cette RGPP inaugurée en 2007 puis poursuivie en 2012 n’a guère donné de résultats probants. Elle ne le pouvait pas, car selon une vieille tradition républicaine elle dégageait une forte puanteur d’usine à gaz.
La fausse droite laissant la place à la vraie gauche, celle-ci a voulu continuer mais autrement. Nous voilà partis vers un audit des politiques publiques qui doit se prolonger pendant tout le quinquennat.  Adieu à la RGPP et bonjour à la MAP ou  modernisation de l’action publique. Personne ne voit pourquoi cela marcherait mieux maintenant.
LES OBJECTIFS AVOUES
Les personnes au pouvoir depuis des lustres sont noyés dans la même idéologie super-étatique et ce quelle que soit leur place appartenance sur l’échiquier politique. Bien que lavés et relavés par la Pensée Unique Totalitaire ou P.U.T qu’ils alimentent comme d’autres, il leur reste assez de bon sens pour constater qu’ils agissent dans le vide.
En 2007 un audit avait dénoncé les dysfonctionnements : « Le travail de coordination interministériel connaît un emballement pathologique propre à la France ». Il y a trop de réunions interministérielles, trop de conseillers, trop de décisions prises sans l’avis des ministres, et le gouvernement ne parvient plus à travailler. Le phénomène s’est accru d’année en année. Les rapporteurs n’ont certes pas eu l’idée que le mal venait justement du nombre de ministres ! L’une des conséquences est la pléthore croissante des cabinets ministériels.
Il en résulte de temps à autre la résurgence de l’idée de réformer l’État.
Les objectifs avoués n’ont rien d’absurde : dépenser mieux, être plus efficace, faire des économies. Pour justifier l’immense remue-méninge de la maladie réformite, les chiffres d’économies prévues sont calculés à grand renfort d’experts. Ils sont faux par nature ; s’ils étaient justes par miracle, ces économies ne seraient jamais réalisées, les administrations faisant le gros dos en attendant la fin de l’épidémie.
L’EXPLICATION DE LA REFORMITE
Celle-ci se trouve dans l’obésité croissante de l’État, sur toile de fond d’idéologie socialiste qui répand l’effet de ruine dans tous le corps social.
L’État prétend s’occuper de toute la vie nationale dans tous les détails, au lieu de laisser le marché jouer librement et il s’invente ainsi une foule de tâches et d’objectifs dans lesquels il n’est pas possible de mettre de l’ordre et qui sont souvent contradictoires.
Tous les autres signes de la décadence de la France en découlent : inflation des ministères, inflation des conseillers et des « machins » inutiles, parlottes innombrables sans effet et sans intérêt, efforts perdus de coordinations impossibles, gaspillage inimaginable de temps et d’efforts.
Dans un pays libre personne n’aurait l’idée d’infliger aux populations une horreur  « bourreaucratique » comme le chèque-transport, faisant suite au chèque-déjeuner ou au chèque-vacances ! Chacun gèrerait les évolutions du prix des carburants dans le cadre du marché. Et l’exemple vaut pour la majeure partie des actions étatiques qui devraient donc être supprimées à grande vitesse, comme  il est  parfaitement possible de le faire.
Jean-Louis Borloo est à lui seul un exemple emblématique. Étant l’auteur d’une parlotte mémorable du nom de Grenelle de l’environnement, il a inspiré 268 mesures. Celles-ci conduisent à l’inflation législative au nom de concepts aussi fumeux que le développement durable.
DÉGRAISSER LE MAMMOUTH
L’État au fil du temps est devenu le Mammouth suprême, père de tous les Mammouths qui pillent la richesse nationale. Le rappel historique ci-dessus montre que le réformer est une tâche impossible. Ceux qui prétendent qu’un programme d’économies suffit sont des menteurs car la racine du mal subsistera.
La seule solution est de supprimer totalement des tâches complètes : plus de bureaux, plus de formulaires, plus de contentieux, plus de ministère, plus de cabinets, plus de guerres internes, plus de circulaires, plus de parlottes… Si quelqu’un veut et peut le faire, nous tenons à sa disposition une première liste de tâches réellement idiotes à supprimer.
Les lecteurs qui ne seraient pas convaincus peuvent constater qu’il existe depuis longtemps un ministère de la réforme de l’État : le Mammouth produit lui-même sa mauvaise graisse.

Il faut abattre les Syndicats….


En France, les syndicats ne représentent que peux de monde mais ont la faculté de pourrir tout ce qu’ils côtoient…. La CGT en est un bel exemple mais aujourd’hui c’est le syndicat de la magistrature avec un mur des cons affiché dans leur local….
Le Syndicat de la magistrature en est un bel exemple alors que le rêve de la république serait une justice indépendante. Les Magistrats qui se drapent dans des parures plus ou moins ridicules selon tel ou tel tribunal, ne sont en fait que des hommes comme les autres, pas très intelligents, voir stupides pour certains.
La justice est rendue en dépit du bon sens, la plupart des magistrats ne comprenant strictement rien aux affaires qu’ils jugent.
Mais avant tout, les citoyens aimeraient que les magistrats soient apolitiques, non-croyants et si possible avec un minimum de bon sens, mais là c’est beaucoup demander.
Le Syndicat de la magistrature affiche clairement son attachement au parti socialiste et c’est en soit un scandale de plus de la république bananière française. Tout autant scandaleux les magistrats qui s’autoproclamaient  Sarkozyste durant le précédent quinquennat. il est certain que passer devant ces gugus pour être juger ou demander réparation n’a rien de réconfortant ni de rassurant.
Donc, dans un local de ce syndicat, trône  un mur des cons sur lequel est épinglé bon nombre de politiques de droite, et de journalistes qui probablement n’aiment pas les magistrats…
Figurent ainsi les portraits de Nicolas Sarkozy, Eric Woerth, Nadine Morano, Michèle Alliot-Marie, Patrick Balkany ou Luc Ferry. Le portrait de Brice Hortefeux est, lui, orné d’un auto-collant du Front national et accompagné de la mention « L’homme de Vichy ». Le criminologue Alain Bauer est également épinglé tout comme plusieurs journalistes, tels Béatrice Schönberg, David Pujadas ou l’éditorialiste du Figaro Yves Thréard.
Pourtant, aujourd’hui après les nouvelles bavures de la justice concernant les attaquants d’une rame du RER, on peut se demander sans trop chercher qui sont les cons de cette farce qu’est la justice française….
LES SYNDICATS FRANÇAIS SONT DES PARTIS POLITIQUES DÉGUISÉS. 
STOP A L'HYPOCRISIE.