TOUT EST DIT

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mercredi 7 septembre 2011

L'Allemagne valide le plan de sauvetage de la Grèce

Cette décision était attendue par toute l'UE, Berlin étant le premier contributeur des plans de secours européens. 

La Cour constitutionnelle allemande a jugé légales mercredi les aides de Berlin pour lutter contre la crise de la zone euro, mais a exigé un renforcement du rôle du Parlement. Les juges de Karlsruhe (ouest), qui devaient se prononcer sur la légalité de la première aide à la Grèce en 2010 ainsi que sur la mise en place du FESF, le fonds de secours européen, ont estimé que Berlin n'avait pas violé la Constitution en promettant des centaines de milliards d'euros.
Mais ils ont également rappelé que le pouvoir budgétaire devait rester aux mains du Parlement et que celui-ci devrait donner son feu vert "au cas par cas pour toute mesure d'aide de grande importance" consentie par l'Allemagne, première contributrice de tous les plans de secours, selon le texte du jugement. La plus haute instance judiciaire allemande a jugé à cet égard que le gouvernement "avait l'obligation d'obtenir le feu vert préalable" de la commission budgétaire du Bundestag, la chambre basse du Parlement, avant de prendre un quelconque engagement.

Pas de communauté de dettes

Pas question par ailleurs pour Berlin de ratifier des accords prévoyant une "communauté de dettes [...], surtout si elle est liée à des conséquences difficilement prévisibles", ont prévenu les juges suprêmes, ce qui peut donner des arguments aux adversaires des obligations européennes communes ou "eurobonds". Comme prévu par les juristes, la Cour n'a pas suivi les plaignants, un groupe d'économistes euro-sceptiques et un député conservateur, qui demandaient une condamnation en bloc des initiatives du gouvernement de la chancelière Angela Merkel.
Un tel jugement aurait provoqué un chaos incommensurable dans une zone euro sous haute tension, où les parlements italien, français et espagnol débattent de plans de rigueur, alors que les finances grecques n'en finissent plus de déraper. Le jugement a provoqué un soubresaut du cours de l'euro, monté en flèche face au dollar avant de retomber à son niveau d'avant l'annonce, autour de 1,4085 dollar vers 8 h 25.

La France vote l'aide à la Grèce sans entrain

L'Hexagone sera le premier pays à valider l'accord européen de sauvetage d'Athènes. Inquiets, des députés se demandent néanmoins si le gouvernement Papandreou pourra faire face à ses responsabilités. 

Le débat de plus en plus vif sur les niches fiscales -qui confirme bien que dans chacune d'elles se trouve un lobby prêt à aboyer!- ferait presque oublier que le projet de loi de finances rectificative examiné depuis mardi à l'Assemblée nationale vise avant tout à valider le plan de soutien à la Grèce, dessiné le 21 juillet par les chefs d'État et de gouvernement. Paris voulait le traduire rapidement dans le droit national, pour permettre au Fonds européen de stabilité financière (FESF) d'être opérationnel dès la rentrée. Alors que certains de nos voisins européens traînent des pieds, «la France est le premier pays de la zone euro à s'engager dans la procédure d'adoption», s'est ainsi félicité mardi le ministre de l'Économie, François Baroin.
Les votes des Parlements doivent donner le feu vert au Fonds afin qu'il soit plus flexible : si le processus se passe sans encombre, le FESF pourra à l'avenir prêter à un État de manière préventive «à titre de précaution», «financer la recapitalisation des banques et des établissements financiers par des prêts aux gouvernements» et enfin «intervenir directement sur les marchés secondaires de dette souveraine, afin d'éviter la contagion et de lutter contre la spéculation». Le texte étend les garanties des États à ces nouvelles missions. Dans le précédent collectif budgétaire, le plafond de la France avait été porté à 159 milliards.
Si le PS juge ce plan «insuf­fisant» et s'abstiendra aujourd'hui sur son vote, certains députés de la majorité ont affirmé dès mardi qu'ils l'adop­teraient «sans enthousiasme».

«Rester lucides» 

Yves Bur (UMP, Bas-Rhin) s'est demandé devant ses collègues «si la réponse à la crise de la dette grecque ne vient pas trop tard ou si nous ne nous voilons pas la face devant l'incapacité de la Grèce à assumer ses responsabilités». Il craint que cela n'ait qu'une conséquence: alourdir «un peu plus notre propre charge de dette». Nous devons «rester lucides», a prévenu le rapporteur de la commission des finances, Gilles Carrez, qui a demandé de la vigilance sur «l'endettement public qui se substitue à l'endettement privé».
Selon le dispositif adopté par les pays de la zone euro, si les prêts accordés par le FESF constituent une opération financière sans effet sur le déficit, la dette publique, elle, augmentera du montant des prêts garantis «au fur et à mesure de leur versement», souligne le texte . Reste alors à espérer que les craintes des investisseurs quant à la capacité de la Grèce à se réformer et à rembourser ses dettes ne se concrétisent pas…
Pour l'heure, Paris refuse de céder au défaitisme. «Nous faisons confiance au gouvernement grec pour décliner le plan d'économie qui est indispensable, pour conditionner le soutien qu'ils auront, des Européens et du Fonds monétaire international», a insisté mardi François Baroin. Lucide sur les interrogations que suscite la situation actuelle, il a aussi tenté de rassurer sur l'état de l'économie en Europe: «sans nier qu'il y a des difficultés», le ministre a assuré que les fondamentaux étaient «bons» et s'est dit confiant dans la solidité du modèle bancaire. Dans ce contexte, «la France n'est pas menacée de récession», a-t-il assuré.

Une diplomatie sans voix

Entre un ministre des Affaires étrangères contesté et une coalition de moins en moins unie, le gouvernement d'Angela Merkel navigue à vue sur la scène internationale. Un flou qui rejaillit sur l'ensemble de l'Europe. 
Combien de temps un gouvernement peut-il continuer de la sorte ? Rarement l’Allemagne a joué un rôle aussi important en Europe, et rarement sa politique étrangère a été aussi apathique. La crise de la politique extérieure allemande mine chaque jour un peu plus ce qui relevait autrefois de la politique intérieure. Le sort de ce gouvernement tient à une seule et unique question : parviendra-t-il à redéfinir la position de l’Allemagne en Europe ? Ou, pour le dire de manière plus brutale : parviendra-t-il à réacclimater les Allemands à l’Europe ?
Cependant, sur la question du sauvetage de l’euro, la chancelière a des raisons de trembler pour sa majorité. Ursula von der Leyen [ministre du travail], sa camarade de cabinet, profite de la brèche stratégique laissée par Angela Merkel pour se poser en dauphine potentielle : elle appelle de ses vœux la création des "Etats-Unis d’Europe" – un projet jugé démoniaque, hélas pour elle, par le FDP et la CSU.
Pourquoi a-t-il fallu que l’Allemagne hérite d’un ministre des affaires étrangères que personne ne prend au sérieux au moment précis où la classe politique se détourne des questions de politique étrangère ? Les tentatives infructueuses de Guido Westerwelle d’attribuer la chute de Kadhafi aux sanctions allemandes ont révélé une fois de plus aux yeux de tous le déboussolement de la politique allemande.

La crise identitaire allemande

Si Guido Westerwelle est en sursis, toute la politique étrangère allemande l’est aussi. L’Allemagne se trouve face à une question aussi importante que le furent jadis celles du réarmement, de l’intégration à l’Ouest ou de l’Ostpolitik : quel est l’avenir de l’Allemagne en Europe ? Jadis apanage des technocrates, la politique européenne est désormais le théâtre de la crise identitaire allemande. La vieille maxime selon laquelle ce pays est trop petit pour dominer l’Europe et trop grand pour en assurer l’équilibre ne semble plus d’actualité.
Le marché qui avait fait ses preuves un temps – l’Allemagne joue le rôle de moteur économique, la France celui de moteur politique – ne tient plus. Autrefois, l’Allemagne pouvait acheter son pouvoir. Aujourd’hui, elle est aussi une force politique incontournable en Europe. L’Europe ne trouvera son salut ni contre la volonté des Allemands, ni sans eux.
L’euro a été introduit sous la pression des Français, dans le but d’empêcher l’hégémonie de l’Allemagne en Europe. Or, ironie du sort, il a justement servi de base à la suprématie allemande. Les Allemands sont les grands gagnants de l’Europe, et pourtant beaucoup, ici, ont le sentiment d’avoir été trahis par l’Union. L’euro a fait de l’Allemagne une puissance hégémonique inquiète. L’Allemagne a peur de l’Europe, et les Européens ont peur de la puissance de l’Allemagne.
Et voilà que les Allemands doivent réformer l’Union au moment même où ils commencent à ne plus se considérer comme des Européens modèles, mais comme des victimes. Il fut un temps où l’Europe était une valeur en soi. Aujourd’hui, ils sont nombreux à penser que la doctrine du "plus d’Europe" est une menace pour les valeurs et la prospérité.

Une nouvelle Europe en catimini

Poussée par les marchés, c’est donc en catimini que la chancelière construit la nouvelle Europe. Si, officiellement, elle se bat pour la diffusion de la culture allemande de stabilité, sa politique impose peu à peu dans les esprits les notions de gouvernement économique, de ministère européen des finances, d’obligations européennes et – même désormais – d’Etats-Unis d’Europe.
En tapinois, l’Allemagne a commencé à réformer l’Europe à son image : ainsi Nicolas Sarkozy, qui fut autrefois le porte-parole des pays endettés, se pose aujourd’hui en promoteur de stabilité. Le gouvernement doit se défaire de son entêtement stratégique et rendre compte du fait que la position allemande a changé davantage que le silence de Berlin ne le laisse supposer.
Outre l’Europe, une autre grande question est celle de la participation de l’Allemagne aux conflits armés. Quelle leçon tirer des interventions de ces vingt dernières années – de la Bosnie à la Libye en passant par l’Afghanistan ? Courage, fuyons – et plus jamais d’interpositions ? La guerre en Libye instille le doute, même si ce n’est en rien un modèle. La "culture de la retenue" ne doit pas devenir synonyme de non-ingérence systématique au nom de la morale.
Troisième question de fond : Israël. Quelle position l’Allemagne adoptera-t-elle en septembre lorsque les Palestiniens demanderont la reconnaissance de leur Etat auprès des Nations Unies ? Peut-on décemment leur refuser ce souhait au lendemain du Printemps arabe ? Nous devons rompre avec les rituels diplomatiques sans substance avec le Proche-Orient, sans nous positionner pour autant contre Israël et les Etats-Unis.
Le choix de l’Allemagne de ne pas aller en Libye a placé le pays aux côté de la Russie, de la Chine et de l’Inde. Mais si l’Allemagne doit trouver de nouveaux partenaires stratégiques, le non-alignement n’est pas une solution. Nous avons besoin de toute l’Europe si nous voulons pouvoir nous mesurer à la Chine – et, à l’inverse, l’Europe a besoin de nous pour compter dans le monde.
De quelle Europe l’Allemagne veut-elle ? De quelle Allemagne l’Europe a-t-elle besoin ? Ce gouvernement ne vivra que s’il trouve une réponse à ces questions.

La Grèce accélère ses privatisations et la réduction du secteur public

 Le gouvernement grec a décidé d'accélérer la mise en oeuvre de son plan de privatisations et des mesures de réduction du secteur public, comme le réclament les créanciers du pays, a annoncé mardi le ministre des Finances, Evangélos Vénizélos après un conseil des ministres.
En matière de privatisations, le ministre a annoncé le transfert "dès demain", mercredi, au Fonds chargé de ces cessions d'une première série d'actifs prévus pour être vendus en 2011. "La première vague des privatisations (...) avance immédiatement", a-t-il affirmé.
Ce volet inclut l'extension de la concession de l'aéroport d'Athènes, la vente des parts publiques dans les compagnies gazière Depa et pétrolière Helpe un premier ensemble d'immobilier d'Etat, ainsi que "l'extension des licences de l'Opap", l'Organisme des paris sportifs, et "les nouvelles licences de téléphonie mobile", a-t-il précisé.
M. Vénizélos rendait compte, lors d'une allocution dramatisée retransmise en direct par les principaux médias audiovisuels d'un conseil des ministres tenu alors que les partenaires et créanciers du pays accentuent leur pression pour que la Grèce tienne ses engagements de redressement budgétaire.
La cession des actifs suivants au Fonds d'exploitation du patrimoine de l'Etat se poursuivra "à des rythmes très rapides pour tous les programmes arrivés à maturité", a-t-il ajouté.
Le pays "atteindra ses objectifs" en matière de privatisations, a-t-il insisté. Athènes s'était engagé au printemps à des cessions pour un montant de 50 milliards d'euros d'ici 2015, dont 5 milliards en 2011, afin de convaincre zone euro et Fonds monétaire international de continuer à protéger le pays de la faillite.
Le plan de privatisations, qui doit être piloté par le Fonds, où la zone euro et la Commission européenne auront des postes d'observateurs, concerne aussi les ports, les services postaux, le secteur de l'électricité et les banques.
Jugé très ambitieux, il peinait à démarrer, avec une seule cession jusque-là: une part des télécoms grecs Ote, entretenant l'impatience des créanciers du pays.
M. Vénizélos a aussi fait part de la décision du cabinet socialiste grec d'avancer sans tarder sur la réduction de la taille du secteur public, autre chiffon rouge social sur lequel le gouvernement tergiversait.
Les fusions ou suppressions annoncées de multiples organismes seront faites "ces prochaines semaines", tandis que la baisse du nombre des employés du secteur public doit être accélérée via la mise en chômage technique pour un an du personnel jugé surnuméraire, en prélude à des licenciements.
Suspendant vendredi un audit du pays entamé fin août, la troïka, délégation tripartite qui représente les créanciers du pays --UE, FMI et Banque centrale européenne (BCE)-- avait donné une dizaine de jours au pays pour avancer sur cet éventail de mesures, en vue du déblocage attendu cet automne d'une sixième tranche des prêts UE-FMI débloqués en mai 2010.
Alors que la zone euro traîne les pieds pour mettre en oeuvre son nouveau plan de sauvetage de la Grèce convenu le 21 juillet, la Grèce avait dû reconnaître vendredi un nouveau dérapage budgétaire, sur fond d'aggravation de la récession.
 GEORGES PAPANDREOU FAIT DE SON MIEUX, JE NE M'Y ATTENDAIS PAS, SAMARAS PAR CONTRE EST EN DESSOUS DE TOUTES SES RESPONSABILITÉS, SON ATTITUDE ET CELLE DE SON PARTI ( Nea Dimokratia) ENTRAINERA LA GRÈCE DANS LE GOUFFRE.
IL FAUT CRÉER UN PARTI D'UNION NATIONALE, C'EST URGENT !!!

"Travailler plus", Nicolas Sarkozy y croit encore

Le chef de l'État a ressorti son slogan de campagne de 2007 lors d'un déplacement dans la Loire, mardi.

  Nicolas Sarkozy a relancé, mardi, devant des routiers son discours sur le "travailler plus", l'un des slogans de sa campagne de 2007. "Votre profession est composée d'hommes et de femmes qui aiment leur travail et qui demandent qu'on les laisse travailler, et ce n'est pas si souvent qu'on rencontre des gens comme ça", a lancé le chef de l'État devant un parterre de 200 représentants de la profession réunis lors d'un déplacement dans la Loire.
"Par inclinaison personnelle, j'ai plutôt envie de donner satisfaction à ceux qui disent laissez moi travailler plus plutôt qu'à ceux qui disent je veux travailler moins. Notre pays ne s'en sortira pas en travaillant moins", a-t-il ajouté, reprenant l'un des fils directeurs de sa campagne présidentielle de 2007. "C'est valable pour un enfant, un ado, un adulte, une famille, un pays. On ne peut pas s'en sortir en faisant comme si le monde extérieur n'existait pas."
L'opposition "ne reviendra pas sur la réforme des retraites"
Le président français a également abordé la question de la réforme des retraites, se félicitant d'avoir pu mener à bien ce dossier controversé sans fléchir en 2010. "La réforme des retraites, si on ne l'avait pas mise en oeuvre, la France ne serait pas dans la situation où elle est aujourd'hui, dans la situation d'un pays qui résiste mieux à la crise gigantesque que connaît le monde", a-t-il assuré.
"Je vous demande de réfléchir à ça : imaginez quelle serait votre réaction si la France était dans la situation de la Grèce, du Portugal, de l'Espagne, de l'Italie, voire des États-Unis", a-t-il poursuivi. "Quant à ceux qui avaient promis, au moment des grandes manifestations, qu'ils reviendraient sur la réforme, on ne les entend plus aujourd'hui, car c'était un mensonge. Ils ne reviendront pas sur la réforme", a-t-il conclu.

Pour Aubry, Sarkozy est responsable de "la prochaine récession" du pays

La candidate à la primaire PS juge les propositions du chef de l'État pour réduire les déficits "injustes et inefficaces".


 Martine Aubry, candidate à la primaire PS, estime que Nicolas Sarkozy "est en train de construire la prochaine récession dans notre pays" avec ses propositions "injustes et inefficaces" pour réduire les déficits, dans un entretien accordé à La Tribune. "Ce qu'il propose est à la fois injuste et inefficace : si l'on veut réduire vraiment les déficits, il ne faut pas tuer la croissance. Car la France souffre non pas d'un mais de trois déficits : déficit financier, mais aussi déficits d'emploi et de compétitivité", affirme Martine Aubry.

Selon elle, "Nicolas Sarkozy est en train de construire la prochaine récession dans notre pays avec un budget qui, faute de s'attaquer vraiment aux niches fiscales (...), ignore l'emploi, l'investissement et la politique industrielle et augmente les impôts sur les classes moyennes et populaires". "Taxes sur les mutuelles, sur les tabacs et alcools, sur les sodas, augmentation de la CSG, autant de mesures qui pèseront sur tous les Français, et lourdement sur les plus modestes", dénonce la maire de Lille.
Annulation de "50 à 70 milliards de niches fiscales"
Elle réaffirme qu'en cas de victoire en 2012, elle annulera " 50 des 70 milliards de niches fiscales accordés par la droite" pour en affecter "la moitié à la réduction du déficit et l'autre au financement de (ses) priorités, notamment l'emploi, l'école et la sécurité". Martine Aubry préconise aussi "une réforme d'ensemble de la fiscalité" avec "un grand impôt citoyen sur le revenu, progressif et redistributif, grâce à la fusion de la CSG et de l'impôt sur le revenu", une baisse de l'impôt sur les sociétés "à 20 % pour les entreprises qui réinvestissent" et une augmentation "à 40 % pour celles qui privilégient les dividendes".
Elle veut enfin "aligner la fiscalité du capital et du travail" et faire de la fiscalité "un levier pour la social-écologie" avec l'instauration d'"un taux de TVA différencié en fonction de l'émission de CO2".
PAUVRE CLOCHE, CETTE FEMME EST LE SYMBOLE ARCHAÏQUE D'UNE GAUCHE QUI TOURNE EN ROND, QUI RESSASSE LES MÊMES IDÉES, COMME UN VIEUX CHEWING GUM QU'ON GARDE EN BOUCHE LONGTEMPS APRÈS QU'IL AIT PERDU TOUTE SAVEUR, ET QUI COMMENCE À PRENDRE CE GOÛT AMER DU PLASTIC, DU FACTICE ET QUI DEVIENT INUTILE.
CETTE FEMME EST DÉNUÉE DE TOUTE VISION NOUVELLE DE L'AVENIR, SA SEULE AMBITION EST LE POUVOIR POUR LE POUVOIR.