Cet « islam sans gêne » qui veut mettre la France à l’heure mahométane
« Cet islam sans gêne »… C’est le titre d’un dossier, bien étayé, que publie cette semaine l’hebdomadaire Le Point.
Un islam qui pousse sa corne, de plus en plus pointue et acérée, dans
toujours plus de domaines de notre espace public. Exemples : les
collèges, où pour défier l’interdiction du voile, de jeunes musulmanes
« portent de longues robes de couleurs sombres nommées abayas ».
Renforcées parfois d’un passe-montagne noir « qu’elles appellent
bonnet ». A la moindre remarque d’un proviseur, des imams débarquent
dans le bureau de ce dernier pour lui expliquer sur un ton courroucé
qu’il s’agit d’une tenue « culturelle » et non religieuse.
Pour narguer plus encore l’institution laïque ces militantes
islamistes s’installent souvent devant les établissements scolaires, en
brandissant des calicots : « Islamophobes, on est là ! »
Et bien là… Des collèges où les professeurs n’osent même plus enseigner
l’histoire, risquant de se faire chahuter (ou tabasser) quand ils
abordent des sujets comme les croisades, la Shoa ou la période
coloniale. L’histoire de France n’est certes pas le passé des enfants
d’immigrés. Pour préserver la susceptibilité toujours à vif de ces
derniers les petits Français ne reçoivent donc plus, comme cours
d’histoire, qu’une mélasse insipide sans chronologie ni héros, une
compote amnésique cuite par pochage au sirop des droits de l’homme, du
pacifisme et de la repentance. La musique même se trouve mise en cause,
« parce que contraire à l’islam ».
Dans les crèches, où « le fait religieux s’est peu à peu immiscé », des
petits enfants refusent d’écouter l’histoire des Trois petits cochons,
parce que cet animal est jugé « impur » par leurs parents.
Cantines scolaires, prisons : l’empreinte islamique
La bataille des cantines, dont on parle depuis maintenant vingt ans,
s’est temporairement terminée, dans beaucoup d’entre elles, par une
sorte d’armistice : on n’y sert plus de viande. C’est ce que l’on
appelle la cantine « laïque et républicaine », aux menus strictement
végétariens. « Le problème ce n’est plus seulement le porc, mais la
viande que certains enfants refusaient dans leurs assiettes parce
qu’elle n’avait pas été préparée selon le rite halal. » Donc plus de
viande. Les petits Français sont priés d’abandonner leurs traditions
culinaires par respect pour celles des nouveaux venus.
L’islam, bien sûr, règne en maître dans les prisons, dont de faux
imams sont en quelque sorte les prophètes écoutés. Des prisons où plus
de 50 % des détenus – entre 70 et 80 % dans certaines d’entre elles –
sont musulmans. Sans « stigmatiser » personne, on est bien obligé de
remarquer, à la vue de ces chiffres, que cette communauté est tout de
même la plus criminogène de France. On peut même parler, pour ces
droit-commun musulmans mélangeant délinquance et militantisme religieux,
d’un phénomène d’islamo-gangstérisme. « Dans certains établissements, il existe désormais une hiérarchie parallèle à l’administration qui impose ses propres règles. »
Dès lors que ces mahométans sont en position de force, leur
prosélytisme s’exerce de façon sommaire mais efficace. « Le détenu est
approché par des sous-fifres qui lui donnent des cigarettes et lui
offrent la possibilité de cantiner. Et puis, très vite, on lui tend le
Coran… »
Sport : vertes pelouses
Le sport évidemment n’est pas épargné, où l’on voit, avant des
matchs de football, des joueurs musulmans transformer la pelouse en
tapis de prière. « Ce n’est un secret pour personne que la religion
islamique joue un rôle grandissant dans le foot. Et cela à tous les
niveaux de la hiérarchie. » Un sport où, avec les Nasri, les Ribéry,
les Anelka, les Evra, les musulmans mènent la danse. A tel point qu’en
son temps le piteux Raymond Domenech avait décidé, « afin d’éviter certaines tensions »,
que les buffets de l’équipe de France seraient halal. Même dans les
équipes amateurs les joueurs non musulmans sont désormais contraints de
s’adapter aux horaires d’entraînements « réglés sur ceux des prières ».
Afin « d’éviter certaines tensions », jusqu’où les dirigeants
continueront-ils à se prosterner devant les fous de Mahomet ?
Dans les hôpitaux ce sont « d’innombrables patients qui exigent que le soignant qui les prend en charge soit du même sexe qu’eux ». Sinon, gare aux coups ou, dans le meilleur des cas, aux insultes.
En pointe de la « diversité », l’entreprise de téléphonie Orange,
où, au nom du « vivre ensemble » et d’une contraignante législation
européenne sur la non-discrimination (1) se côtoient « sikhs, juifs
religieux, femmes voilées », les managers voit sur le terrain les
incidents se multiplier : « C’est un salarié (…) qui pratique le
jeûne et interdit aux autres de manger (2). C’est une femme de ménage
d’origine maghrébine qui reçoit des SMS sur
son portable lui enjoignant de se conduire en bonne musulmane (…) et de
se vêtir autrement. Ce sont des refus de serrer la main des
collaboratrices, de partager le bureau avec une femme… » Décidément,
comme l’avait constaté Mme Merkel elle-même, « le multi, ça ne marche
pas ». Pas plus ailleurs que chez Orange…
Ramadan : la faute à la France
Tariq Ramadan, qui affirme dans un entretien que « l’islam est une religion française »,
nous explique que si certains musulmans adoptent des comportements
provocateurs et intolérants c’est la faute de la laïcité française. Ils
se sentent « stigmatisés » par elle. Ramadan, au cours de son interview,
conceptualise également : « L’islam n’a pas de problème avec les femmes, mais les musulmans en ont. »
Analyse que l’on peut aussi transposer : la France n’a pas peut-être de
problème avec les musulmans, mais les Français eux en ont. Et beaucoup…
Face à cette poussée continue de l’islam dans la société civile
française, le seul mot d’ordre de nos autorités a été jusqu’ici :
« surtout pas de vagues ». A la moindre vaguelette, au moindre
clapotement, on rentre dans sa coquille.
Dans son éditorial, le directeur du Point, Franz-Olivier Giesbert, dénonce cette « politique du moindre mal dont crève la France ».
Et d’aligner quelques exemples de cette soumission baveuse. « C’est
ainsi, chose comique, que les notables d’Amiens en sont venus à
débaptiser le traditionnel marché de Noël, oh le vilain mot, pour
l’appeler marché d’Hiver (…). C’est ainsi encore que nous sommes
condamnés à manger de la viande halal qui n’est pas qualifiée comme
telle, contrairement à toutes les lois de transparence et de
traçabilité. Si on en est arrivé là, c’est sous le fallacieux
prétexte qu’il ne faudrait pas montrer du doigt une religion qui, de
surcroît, touche la dîme sur chaque bifteck ou bas morceau. Tant
mieux pour les imams et tant pis pour la souffrance animale : les bêtes
ne votent pas. » Malheureusement ceux qui votent sont souvent bêtes eux
aussi.
Nous l’avions dit, bien avant Giesbert
Giesbert prétend qu’il tire le signal d’alarme (après quelques
autres) pour ne pas « laisser le débat aux gueulards populistes… ».
Pourtant tout ce qu’il nous sort aujourd’hui, la droite nationale et sa
presse l’ont dit, écrit et décrit bien avant lui. Mais alors nous étions
bien seuls face aux « agents de la circulation idéologique, armés
jusqu’aux dents » qui prétendaient nous « verbaliser » sous prétexte de
xénophobie, d’islamophobie et d’incitation à la haine raciale. L’islam,
dit justement Giesbert, « a simplement gagné le terrain qu’on lui a cédé, pleutres que nous sommes ».
C’est vrai. Mais la pleutrerie, hélas majoritaire dans notre pays, ne
fut pourtant pas le cas de tous les Français. Giesbert s’honorerait de
le reconnaître. « Les gueulards populistes » n’auront pas « gueulé »
totalement en vain. Ils ont au moins eu le mérite de briser sur ce
sujet, à leurs risques et périls, quelques tabous trop bien enracinés de
la bien-pensance progressiste.
(1) Celle-ci stipule que si un candidat à un poste s’estime
discriminé en raison de ses signes d’appartenance religieuse, c’est à
l’entreprise de démontrer que ce candidat n’était pas le meilleur. La
recherche des preuves peut alors devenir longue et délicate.
(2) Confirmation donc du petit pain au chocolat de Copé…
L’affaire Merah
Les Verts (et semble-t-il le président de la République) demandent
une commission d’enquête parlementaire sur ce qu’ils appellent les
dysfonctionnements de l’affaire Merah. Peut-être y a-t-il eu
effectivement quelques ratés de la part des services de renseignement
français. Notamment une erreur d’appréciation des enquêteurs de la DCRI sur la dangerosité du personnage ? Il y a surtout un manque de moyens. « Les
personnes présentant un profil pouvant déboucher sur une action
violente et entretenant une relation avec une mouvance radicale sont de
plus en plus nombreuses (…). Il y en a aujourd’hui plusieurs centaines. » Et ce chiffre ne cesse de croître. Côté DCRI
« une quarantaine de personnes serraient actuellement employées à la
section terroriste du département des affaires judiciaires… ». Alors que
faut-il faire ? Multiplier par cent également le recrutement des agents
de la DCRI ? En tout cas, malgré son infériorité numérique, celle-ci ne
se débrouille pas si mal. Depuis 2007, près de 1 500 dhjihadistes ont
été interpellés, dont plus de 650 par la seule DCRI… « On ne peut pas mettre tous les barbus en prison »,
se défend l’ancien patron de ce service, Bernard Squarcini, aujourd’hui
sur la sellette. En effet : d’autant que les juges les feraient sortir
sur le champ. Le plus gros dysfonctionnement de cette affaire ne vient
pas de la police. Le ratage monumental c’est avant tout celui de nos
responsables politiques qui ont laissé, durant des années, s’installer
chez nous des millions de musulmans, tolérant ensuite, par
pusillanimité, toutes leurs exigences… Les centaines de Merah en
puissance sont nés de cette double incurie.