TOUT EST DIT

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ǝʇêʇ ɐן ɹns ǝɥɔɹɐɯ ǝɔuɐɹɟ ɐן ʇuǝɯɯoɔ ùO

samedi 7 juin 2008

DIX ANS


Il nous a quitté voilà dix ans et certains d'entre nous le pleurons encore, vous avez deviné c'est d'Eric Tabarly qu'il s'agit. Et de ses fameux Pen Duyk

ROLAND GARROVIC

Cette année, c'est devenu une annexe de la Serbie et de la Russie. C'est assez ennuyeux.
Enfin ! voilà la gagnante.
Quant à Monfils, ce n'est pas le mien.

La tour de Pise sauvée


Après quatorze ans de travaux et quatre ans de stabilité, les scientifiques estimentque le campanile ne bougera plus pendant au moins trois siècles.

La tour de Pise a interrompu sa course vers l'abîme. «Nous pouvons dire d'une manière sûre qu'elle est à l'abri pour 300 ans», affirme Michele Jamiol­kowski, ingénieur qui a dirigé le collectif scientifique responsable de la consolidation de l'édifice. En 1993, l'inclinaison par rapport à l'axe vertical avait atteint la limite extrême, 4,47 mètres. La tour, construite en deux étapes entre 1174 et 1275, surplombant de 56 mètres la place des Miracles, risquait à tout moment de s'effondrer.

Des travaux titanesques ont aussitôt démarré : excavation des fondations, coulage de centaines de tonnes de béton pour la stabiliser, cerclage des anneaux, drainage du sol pour alléger la nappe phréatique sur laquelle elle a été érigée.

En quatorze ans, la construction de près de 15 000 tonnes a été redressée d'un demi-mètre. Aujourd'hui, elle ne penche plus que de 3,99 mètres. Elle continue de bouger vers l'ouest, par exemple quand le soleil se lève ou en fonction des mouvements de la nappe phréatique, mais il s'agit d'oscillations physiologiques de faible amplitude.

Dès l'été 2004, le monument avait re­trouvé sa stabilité. Les ex­perts ont cependant attendu quatre ans pour être certains de leurs mesures. Les travaux, qui ont coûté 27 millions d'euros, ont permis de surprenantes découvertes. La tour a été construite sur une opulente villa patricienne du IIIe siècle de notre ère, elle-même érigée sur une nécropole romaine sur­plombant un cimetière étrusque. Deux corps momifiés ainsi que des fragments de mosaïque romaine ont été récupérés.

D'ici à l'automne, les experts veulent la dé­bar­rasser des aménagements obstruant les étages. Il redeviendra alors possible, comme il y a soixante-treize ans, de voir le ciel de l'intérieur, comme dans un gigantesque télescope.

EDIFIANT.

La Grèce a, aujourd'hui un taux de croissance de 3,60%.

L'EUROPE A-T'ELLE DU COURAGE ?


Je ne sais si ces propos sont véridiques, mais s'ils le sont j'y adhère complètement.
Les musulmans qui veulent vivre selon la loi de la "Charria" islamique ont été invité tout récemment à quitter l'Australie, dans le but de parer à d'éventuelles attaques terroristes, le gouvernement ayant ciblé les radicaux.
Des agences espions chargées de surveiller les mosquées de la nation ont été créées, ce qui a choqué quelques musulmans australiens.
Citation de J. Howard : "Les immigrants, non australiens, doivent s'adapter. C'est à prendre ou à laisser, je suis fatigué que cette nation s'inquiète de savoir si nous offensons certains individus ou leur culture. Depuis les attaques terroristes à Bali, nous assitons à une montée de patriotisme chez la majorité des Australiens"
"Notre culture s'est développée depuis plus de deux siècles de luttes, d'habileté et de victoires par des millions d'hommes et de femmes qui ont cherché la liberté."
"Notre langue officielle est l'ANGLAIS ; pas l'espagnol, le libanais, l'arabe, le chinois, le japonais, ou n'importe quelle autre langue. Par conséquent, si vous désirez faire partie de notre société, apprenez la langue!"
La plupart des Australiens croient en Dieu. Il ne s'agit pas d'obligation chrétienne, d'influence de droite ou de la pression politique mais c'est un fait, parce que des hommes et des femmes ont fondés cette nation sur des principes chrétiens, et cela est officiellement enseigné. Il est parfaitement approprié de les afficher sur les murs de nos écoles. Si Dieu vous offense, je vous suggère alors d'envisager une autre partie du monde comme votre pays d'accueil, car Dieu fait partie de notre culture."

"Nous accepterons vos croyances sans poser de question. Tout ce que nous vous demandons c'est d'accepter les nôtres, et de vivre en harmonie pacifiquement avec nous.
Ici c'est NOTRE PAYS, NOTRE TERRE, et NOTRE STYLE DE VIE. Et nous vous offrons l'oportunité de profiter de tout cela. Mais si vous en avez assez de vous plaindre, de vous en prendre à notre drapeau, notre engagement, nos croyances chrétiennes, ou notre style de vie, je vous encourage fortement à profiter d'une autre grande liberté Australienne, 'LE DROIT DE PARTIR.'"

"Si vous n'êtes pas heureux ici, alors PARTEZ? Nous ne vous avons pas forcé à venir ici. Vous avez demandé à être ici. Alors acceptez le pays que VOUS avez accepté."


A quelques nuances près, la France doit tenir ce même discours, et que les associations pseudo sociales se taisent, elles ne sont là que pour faire de l'argent.
Non, la France n'est pas un pays arabe et ne le sera jamais. Nous les acceptons certainement mieux qu'eux nous accepteraient
si nous n'avions pas le sou.

Les nouvelles confidences


Dans un livre à paraître jeudi, la Première dame de France aborde aussi bien sa relation avec le président qu'avec Rachida Dati, et son futur à l'Elysée. Morceaux choisis.
Carla Bruni lève le voile. Discrète, presque effacée lors des voyages officiels, elle a finalement choisi de se livrer longuement dans un ouvrage, «la véritable histoire de Carla et Nicolas» (Editions du Moment), de Valérie Bénaïm et Yves Azéroual. Un livre où, fait rare, une Première dame de France parle de sa relation avec le président de la République. De leur rencontre, également, lors du fameux dîner chez Jacques Séguéla en novembre 2007. «Un dîner de copains» organisé par le célèbre publicitaire, qui avait confié avoir «vécu en direct le coup de foudre présidentiel. Ils ne s'étaient jamais vus et je pense qu'ils ne se quitteront plus jamais.»

Une rencontre arrangée, confie-t-elle. «En arrivant, j'ai compris que c'était un blind date. Il y avait trois couples et nous deux, deux célibataires. Cela (le coup de foudre, ndlr) a été immédiat, confirme Carla Bruni, citée dans Le Parisien de mercredi. Je ne m'attendais pas à quelqu'un de si drôle, de si vivant. Son physique, son charme, son intelligence m'ont séduite. Il a cinq ou six cerveaux, remarquablement irrigués. Je n'ai pas connu de crétins auparavant, ce n'était pas mon genre. Mais lui, ça va très, très vite».

Six mois plus tard, son admiration reste intacte : «C'est inimaginable ce qu'il travaille. Il est comme nous tous, un peu comme Sisyphe, il aime porter la pierre. Mais il est de bonne composition. Trois rayons de soleil et il trouve la vie magnifique.»

«Je n'ai aucune intention de changer de métier»
Sa rivalité avec Rachida Dati ? «Je la vois fréquemment, elle me fait beaucoup rire. Les rumeurs doivent prendre leurs sources dans le fait que c'est une amie de l'ex-femme de mon mari. Mais il n'y a vraiment aucune hostilité entre nous. Je lui ai même envoyé deux adresses d'amis pour ses réunions d'appartement dans le VIIe arrondissement durant sa campagne municipale.»

Pour son avenir, Carla Bruni se fixe deux priorités : «agir globalement sur la pauvreté dans le monde et lutter contre l'ignorance». Mais elle n'oublie pas sa carrière artistique, avec la sortie le 21 juillet de son troisième album, dont le titre n'est pas encore connu. «Je n'ai aucune intention de changer de métier. J'ai une fonction, mais ce n'est pas un métier. Je ne suis qu'une chanteuse de folk. Je raconte des petites histoires qui sont les mêmes que les vôtres. Il n'y a rien de subversif. Ce qui va changer, c'est que je ne vais pas faire de scène. Le temps que mon mari reste président de la République. Il va falloir s'y habituer». Une ligne à tenir pendant encore quatre ans… ou neuf ans.