TOUT EST DIT

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mardi 6 mai 2014

Les radars de Chillon flashent 700 fois par jour

Les cinq appareils placés le long du viaduc en chantier ne chôment pas. La police prend des mesures pour enjoindre les automobilistes à lever le pied.
Vendredi 25 avril à Chillon, les cinq radars installés sur le viaduc ont pris des allures de stroboscopes, flashant 1500 automobilistes en une journée. La mise en service, dès l’aube, des appareils marquait la reprise du chantier d’assainissement des deux ponts qui surplombent la Riviera. Les automobilistes sont donc invités à lever le pied et à ne pas dépasser 80 km/h sur la chaussée montagne, voire 60 km/h au passage d’une chicane particulièrement délicate à la sortie du tunnel de Glion.

Aujourd’hui, les radars flashent moins, mais les chiffres restent très élevés: «Environ 700 infractions par jour», calcule Jean-Christophe Sauterel, le chef de la Direction prévention et communication de la police vaudoise, qui relève que la vaste majorité des conducteurs trop pressés seront sanctionnés pour des dépassements oscillants entre 1 km/h et 5 km/h, après déductions. «Ce qui, au compteur, représente tout de même une vitesse de 15 km/h supérieure à la limite.»
Pour tenter de freiner les automobilistes et réduire le risque d’accidents, plusieurs mesures ont déjà été prises: «Nous avons ajouté deux panneaux signalant la limitation à 60 km/h dans le tunnel de Glion. Il y en a désormais cinq au total. Nous avons également renforcé la signalisation de limitation à 80 km/h sur la chaussée en direction du Valais. Et placé des panneaux indiquant le nombre de permis retirés», énumère Jean-Christophe Sauterel.
Depuis le mois dernier, une vingtaine de conducteurs ont ainsi perdu leur «bleu» après avoir été flashés sur l’A9, sur le viaduc de Chillon, ou sur le tronçon Vennes-Vevey, autre partie de l'autoroute actuellement en travaux.

COMME JE VOUS LE DIS, IL 
FAUT CASSER CES RADARS, CHASSEURS DE PRIMES MODERNES DES HORS LA LOI QUE SONT CEUX QUI DÉPASSENT LA LIMITE AUTORISÉE PAR DE FAUSSES ASSOCIATIONS.

Ce qu'il faut retenir de l'intervention de François Hollande


• Un report des élections régionales à 2016 envisagé
Repousser d'un an les élections régionales et cantonales initialement prévues en 2015. C'est l'idée émise mardi matin parFrançois Hollande sur BFMTV. Un report qui permettrait selon lui de procéder aux redécoupages envisagés par la réforme territoriale avant ce scrutin. «Si c'est 2016, ça permettrait d'avoir le temps, a souligné le chef de l'État. Je pense que ça serait intelligent de faire des élections régionales et départementales avec le nouveau découpage». Le président a d'ailleurs demandé «au gouvernement d'accélérer la réforme territoriale». Concernant les régions, il estime qu'une diminution de «moitié» de leur nombre, à «12 ou 11», pourrait «être la bonne carte de notre territoire».
• Vote des étrangers: le texte sera à nouveau proposé
C'était un de ses engagements de campagne. Le texte législatif accordant aux étrangers non communautaires le droit de vote aux élections locales sera «de nouveau proposé» avant la fin du quinquennat, a promis mardi François Hollande. «Je n'ai pas voulu introduire ce texte avant les élections municipales, parce qu'on nous en aurait fait le reproche. Ce texte sera de nouveau proposé après les scrutins pour que dans la préparation (des municipales) dans six ans, il puisse y avoir cette réforme», a expliqué le président, tout en reconnaissant qu'«il n'y a pas de majorité aujourd'hui pour voter ce texte».
En septembre 2012, le gouvernement avait émis ses premiers doutes sur cette réforme. Manuel Valls, alors ministre de l'Intérieur, avait notamment estimé qu'elle ne représentait «pas une revendication forte», avant d'appeler à «ne pas se précipiter».
• Le décret sur les rythmes scolaires entrera en vigueur
Sollicité par une auditrice opposée à la semaine de quatre jours et demi que toutes les écoles devront appliquer à la rentrée prochaine, François Hollande n'a pas dévié de son cap. «Le décret entrera en vigueur», a-t-il martelé, en soutenant le successeur deVincent Peillon à l'Éducation nationale, Benoît Hamon. «Qu'il y ait eu des difficultés d'application, j'en conviens, mais laissons à cette réforme la possibilité d'application et après nous en ferons l'évaluation», a souligné le chef de l'État. «Si dans deux ou trois ans, les retours ne sont pas ceux espérés, nous en ferons le bilan», a-t-il promis.
• Le gouvernement n'envisage pas de voter la PMA
Alors que la question de la procréation médicalement assistéepour les couples homosexuels fait toujours débat, François Hollande a indiqué que «le comité d'éthique (était) saisi» de cette question. «Mais ce n'est pas inscrit dans le programme du gouvernement» actuellement, a-t-il tenté de rassurer.
• Un «message d'espoir» aux travailleurs et une énième «promesse» aux chômeurs
François Hollande a égrené les mesures destinées à regonfler le pouvoir d'achat des salariés modestes, notamment «une baisse de trois points de cotisation» dès le 1er janvier 2015 pour les salariés qui gagnent entre un et 1,3 Smic. «C'est donc un message d'espoir pour ceux qui travaillent», a estimé le président. Il a également dit vouloir se tourner vers «les catégories moyennes, ceux qui ne sont ni pauvres ni riches mais ont le sentiment de payer pour tous». «C'est cette catégorie-là vers laquelle nous devons assurer la redistribution, a affirmé François Hollande. C'est celle-ci qui travaille, c'est elle qui doit bénéficier [des réformes].»
François Hollande a également reconnu que l'inversion de la courbe du chômage qu'il avait promise n'a pas eu lieu. «Nous l'avons stabilisée, pas inversée.» Mais il a rappelé que «c'est la seule promesse qui compte aux yeux des Français» et s'est donc engagé à la tenir.
• Une finance prétendument maîtrisée
Interrogé sur son intention de combattre les dérives de la finance, François Hollande a estimé avoir tenu son engagement grâce à l'union bancaire décidée au niveau européen et à la taxe sur les transactions financières qui va également être votée. «Nous avons taxé les bonus bancaires, il y a une séparation des activités spéculatives et des activités de dépôt. En France, nous avons les taux d'intérêt les plus bas de notre histoire: la finance a été maîtrisée», a-t-il souligné.
Or l'union bancaire décidée au niveau européen ne prévoit pas une séparation étanche de la spéculation et des dépôts. Elle garantit les dépôts inférieurs à 100.000 euros grâce à des mécanismes nationaux qui n'ont pas encore été définis et ne seront véritablement efficaces que sous… dix ans, le temps qui leur a été donné pour disposer d'un montant égal à seulement 0,8% des dépôts couverts. Une protection toute relative pour les épargnants face à une finance encadrée à minima.
• Vie privée-vie publique: «J'ai toujours été digne»
Interrogé sur sa vie privée, médiatisée au début de l'année après les rumeurs sur sa liaison avec l'actrice Julie Gayet, le président n'a pas dérogé à sa règle de ne pas évoquer sa vie personnelle. «La vie privée relève de la vie privée», a botté en touche François Hollande, qui a assuré avoir «toujours été digne» depuis son arrivée à l'Élysée. «Je n'ai jamais été dans une forme de vulgarité ou de grossièreté», a-t-il estimé. Avant de lancer: «Que les Français me jugent sur ce que je fais. Je n'ai pas à confondre vie privée et vie publique».

La vérité interdite

La vérité interdite
La question essentielle, sur laquelle toute personnalité publique digne de ce nom devrait se pencher, c’est celle de l’impuissance politique. Pourquoi, depuis 40 ans, tous les gouvernements sans exception échouent dans la lutte contre le chômage qui ne cesse de progresser et gangrène la société française? Pourquoi le pouvoir politique semble, depuis des décennies, paralysé face à la désindustrialisation, à la violence et l’insécurité, à la poussée migratoire, à l’injustice croissante, à la ghettoïsation du pays et son déclin européen et international? Qui peut nier un tel constat, sauf à être malhonnête ou aveuglé par la stupidité? Les politiques brassent en permanence du vent – polémiques, slogans, recherche de boucs émissaires – pour détourner l’attention du réel. Mais sur la question fondamentale de l’impuissance politique, le tabou absolu, un silence complaisant interdit le débat. 2017, l’alternance, et après? Étrangement, ce sujet décisif, le seul qui compte au fond, est totalement ignorée de la classe politico-médiatique. Le seul fait de poser le problème vous rend d’ailleurs suspect de populisme, d’appartenance à la réaction. Trop d’intérêts de caste, de chasses gardées, de privilèges et de rentes de situation, de dogmes idéologiques sont en jeu. Notre système politique, gagné par une paralysie croissante, a besoin d’une révolution, au sens le plus fort du terme, d’une profonde transformation touchant à ses institutions, sa Constitution,  ses fondements mêmes: les rapports avec l’autorité judiciaire, les collectivités locales, le Conseil Constitutionnel, la place du chef de l’Etat et du Premier ministre, le rôle du peuple et du référendum, et encore au-delà, les relation entre le niveau national et européen. Cette secousse formidable sans laquelle notre pays est  condamné, ne peut venir que d’une volonté politique et d’une intelligence hors norme. Aujourd’hui, nous n’en voyons poindre strictement aucunes prémices, et bien au contraire, le brouillard ne cesse de s’épaissir entre la montée de la tentation centriste (Bayrou-Juppé) et de la démagogie extrémiste…

L’Occident aime l’odeur de roussi !


Ils se sont fait traiter de tous les noms par les lascars qui jaillissant de nulle part se sont mis à renverser les tentes où les habitants locaux essayaient de réunir les signatures pour déposer une demande de reconnaissance du russe comme langue régionale et une requête de fédéralisation d’Etat ukrainien par voie de référendum.
Armés de couteaux et des pistolets automatiques, les énergumènes leur ont sauté dessus et les ont emmenés en direction du siège social des syndicats locaux. Poussés à l’intérieur, tétanisés ils ont observé les bourreaux verrouiller les portes et condamner les fenêtres avec des morceaux de tôle et des sacs en plastique. Ensuite des cocktails Molotov ont éclaté à la hauteur du deuxième étage. Le bâtiment a pris feu. Intoxiqués par la fumée, les gens se sont mis à hurler, puis l’odeur nauséabonde de la chair brûlée s’est propagée sur la place.

Attroupés à l’extérieur les nazis dont une certaine partie des femelles riaient à gorge déployée en descendant à coups de pistolet ceux qui essayaient chercher refuge sur le toit. Poussés à l’extrême, plusieurs personnes âgées se sont précipitées dans le vide où ils trouvèrent aussitôt la mort soit à cause de la défenestration, soit par ce que le rebus du genre humain tabassait les rescapés ensanglantés avec des matraques et à grands coups de pied. Non seulement cela se passait dans une atmosphère de kermesse populaire, mais en plus la très bichonnée par l’Occident Ioulia Timochenko a félicité tous les participants de ce meurtre de masse à ciel ouvert pour leur héroïsme et le soutien apporté aux forces de l’ordre ! Et puis l’indicible : quand le feu est tombé, la police a laissé entrer dans le bâtiment les bourreaux qui, sans se gêner, fouillaient les cadavres, s’échangeant des répliques joyeuses pour en compter le nombre. Les corps aux visages carbonisés qui, dans un dernier effort, ont essayé de se couvrir le visage avec les mains, provoquaient une hilarité généralisée ce qui a été mis en évidence par les vidéos que les participants à la boucherie tournaient joyeusement avec leurs portables en mettant ensuite les vidéos sur YouTube.
L’objectif de cette danse macabre perce à travers les répliques des exécuteurs : ils cherchaient les survivants pour les achever. Ils les ont trouvés sur le toit et leur ont donné un assaut en règle – un assaut contre des intoxiqués, contre une cinquantaine de personnes âgées, en général, de plus de 45 ans et à 100 % désarmés dont 20 femmes ! Un assaut donné par des commandos armés jusqu’aux dents et soutenus par la police observant en silence sans se mêler à l’action… Y a-t-il des limites à la sauvagerie ? A mon sens, cette tragédie qui se déroula avant-hier à Odessa, en plein centre-ville et sous les feux des projecteurs avec le soutien des autorités de Kiev et avec l’accordé de l’Occident qui refusa de condamner Kiev (en plus la veille la représentante de la CE a déclaré au nom de Catherine Ashton que l’Etat détenait le monopole de la violence), cette tragédie, dis-je, a mis en évidence plusieurs choses.
En premier lieu, les Russes et les Russophones – soit 86 % de la population soi-disant ukrainienne - ont compris que les fascistes soutenus par l’Occident ne feraient pas de quartier. Comme il s’agit d’une guerre totale contre les civils, le génocide tout simplement commis dans la ville la plus chère au cœur des Juifs russes, Odessa, par les descendants des nationalistes qui ont tué plus de 30.000 personnes à Baby Yar (ce n’étaient pas les Allemands mais les Ukrainiens de la division SS Galitchina), eh bien, la riposte sera à la même échelle.
Déjà les gens dans le Sud-Est de l’Ukraine se battent à l’arme automatique contre les blindés et les canons lourds pour défendre leur droit au référendum. Les « pouvoirs » de Kiev n’ont même pas évacué les civils. Ensuite, il est devenu clair que les autorités occidentales sont composées en très grande partie d’un conglomérat profasciste qui soutient à 100 % les criminels conditionnés comme des bergers allemands pour exterminer la population non-ukrainienne (slave, juive, roumaine, tchèque et autre) par tous les moyens mis à leur disposition par les putschistes de Kiev. Ceci est un fait incontestable d’autant plus que, selon les sources russes, plus de 300 officiers occidentaux opèrent dans la zone des combats revêtus de treillis locaux.
Ils se sont fait traiter de tous les noms par les lascars qui jaillissant de nulle part se sont mis à renverser les tentes où les habitants locaux essayaient de réunir les signatures pour déposer une demande de reconnaissance du russe comme langue régionale et une requête de fédéralisation d’Etat ukrainien par voie de référendum.
Armés de couteaux et des pistolets automatiques, les énergumènes leur ont sauté dessus et les ont emmenés en direction du siège social des syndicats locaux. Poussés à l’intérieur, tétanisés ils ont observé les bourreaux verrouiller les portes et condamner les fenêtres avec des morceaux de tôle et des sacs en plastique. Ensuite des cocktails Molotov ont éclaté à la hauteur du deuxième étage. Le bâtiment a pris feu. Intoxiqués par la fumée, les gens se sont mis à hurler, puis l’odeur nauséabonde de la chair brûlée s’est propagée sur la place.
Attroupés à l’extérieur les nazis dont une certaine partie des femelles riaient à gorge déployée en descendant à coups de pistolet ceux qui essayaient chercher refuge sur le toit. Poussés à l’extrême, plusieurs personnes âgées se sont précipitées dans le vide où ils trouvèrent aussitôt la mort soit à cause de la défenestration, soit par ce que le rebus du genre humain tabassait les rescapés ensanglantés avec des matraques et à grands coups de pied. Non seulement cela se passait dans une atmosphère de kermesse populaire, mais en plus la très bichonnée par l’Occident Ioulia Timochenko a félicité tous les participants de ce meurtre de masse à ciel ouvert pour leur héroïsme et le soutien apporté aux forces de l’ordre ! Et puis l’indicible : quand le feu est tombé, la police a laissé entrer dans le bâtiment les bourreaux qui, sans se gêner, fouillaient les cadavres, s’échangeant des répliques joyeuses pour en compter le nombre. Les corps aux visages carbonisés qui, dans un dernier effort, ont essayé de se couvrir le visage avec les mains, provoquaient une hilarité généralisée ce qui a été mis en évidence par les vidéos que les participants à la boucherie tournaient joyeusement avec leurs portables en mettant ensuite les vidéos sur YouTube.
L’objectif de cette danse macabre perce à travers les répliques des exécuteurs : ils cherchaient les survivants pour les achever. Ils les ont trouvés sur le toit et leur ont donné un assaut en règle – un assaut contre des intoxiqués, contre une cinquantaine de personnes âgées, en général, de plus de 45 ans et à 100 % désarmés dont 20 femmes ! Un assaut donné par des commandos armés jusqu’aux dents et soutenus par la police observant en silence sans se mêler à l’action… Y a-t-il des limites à la sauvagerie ? A mon sens, cette tragédie qui se déroula avant-hier à Odessa, en plein centre-ville et sous les feux des projecteurs avec le soutien des autorités de Kiev et avec l’accordé de l’Occident qui refusa de condamner Kiev (en plus la veille la représentante de la CE a déclaré au nom de Catherine Ashton que l’Etat détenait le monopole de la violence), cette tragédie, dis-je, a mis en évidence plusieurs choses.
En premier lieu, les Russes et les Russophones – soit 86 % de la population soi-disant ukrainienne - ont compris que les fascistes soutenus par l’Occident ne feraient pas de quartier. Comme il s’agit d’une guerre totale contre les civils, le génocide tout simplement commis dans la ville la plus chère au cœur des Juifs russes, Odessa, par les descendants des nationalistes qui ont tué plus de 30.000 personnes à Baby Yar (ce n’étaient pas les Allemands mais les Ukrainiens de la division SS Galitchina), eh bien, la riposte sera à la même échelle.
Déjà les gens dans le Sud-Est de l’Ukraine se battent à l’arme automatique contre les blindés et les canons lourds pour défendre leur droit au référendum. Les « pouvoirs » de Kiev n’ont même pas évacué les civils. Ensuite, il est devenu clair que les autorités occidentales sont composées en très grande partie d’un conglomérat profasciste qui soutient à 100 % les criminels conditionnés comme des bergers allemands pour exterminer la population non-ukrainienne (slave, juive, roumaine, tchèque et autre) par tous les moyens mis à leur disposition par les putschistes de Kiev. Ceci est un fait incontestable d’autant plus que, selon les sources russes, plus de 300 officiers occidentaux opèrent dans la zone des combats revêtus de treillis locaux.
La Russie se rend parfaitement compte qu’il s’agit d’une provocation des plus monstrueuses commises après la fin de la Seconde guerre mondiale et, nonobstant les attentes de l’OTAN, la Russie n’interviendra pas directement, malgré les cris de détresse lancés sur des talkies-walkies par des survivants qui demandent à l’armée russe d’intervenir. Imaginez quel effet cela ferait en Israël, si on exterminait les colons juifs dans les territoires occupés, mais que l’armée israélienne stationnée à quelques kilomètres de là, n’intervenait pas… Imaginez les Français qui regarderaient les Viêt-Côngs exécuter froidement la population civile française à l’époque de l’Indochine. Vous comprendrez mieux les sentiments des Russes qui observent attentivement l’Occident et les bandes de Kiev en gardant leur sang- froid. L’Union Européenne et le G7 semblent se gargariser de ce triomphe de « souveraineté mono-ethnique ukrainienne ». Et comment ! Les Etats-Unis ont avoué avoir dépensé plus de 5 Milliards de dollars pour fomenter ce coup d’Etat ! Vous imaginez bien : 5 Milliards de dollars mettre au pouvoir des gens qui brûleront les civils sans défense comme à Oradour-sur-Glane. Décidément l’opération s’est avérée plus que rentable. Quel placement : de la chair roussie à revendre ! Moins de Russes il restera, mieux le monde se portera, n’est-ce pas, dirigeants occidentaux ?
Alors maintenant que je vous ai narré les faits facilement vérifiables par internet ou autres moyens modernes, répondez-vous-même à la question que je vous pose : croyez-vous vraiment que les Russes vont vous pardonner cela ? Les Juifs ont-ils pardonné la Shoah et les divisions SS Azul et Charlemagne ? Pourquoi les Russes alors doivent-ils pardonner à ceux qui, en Occident, par leur mutisme et collaborationnisme sont devenus complices de ces meurtres commis contre les civils sans défense ? Il me semble que les dirigeants occidentaux qui ont fomenté ce coup, ont désappris à avoir peur de la Russie. Mais cette fois-ci ils sont allés trop loin. Comme la vengeance est un plat qui se mange froid, on attendra… un nouveau Nuremberg. T

AH VALLS CET INCONNU.

Le gouvernement veut que GE cède ses activités dans le transport à Alstom

Le ministre de l’Economie ne désarme pas . Dans un courrier envoyé ce lundi auPDG de General Electric Jeffrey Immelt et dont « Les Echos » ont obtenu copie, le gouvernement français répond aux propositions et engagements pris la semaine dernière par le conglomérat américain pour remporter la branche Energie du groupe français, soit plus de 70 % de son activité. « En l’état, nous ne pouvons malheureusement pas souscrire aux propositions que vous avez faites, reposant sur la seule acquisition des activités d’Alstom dans le domaine de l’énergie », indique le courrier, signé par le ministre de l’Economie Arnaud Montebourg. Le gouvernement « souhaite examiner avec vous les voies et moyens d’un partenariat équilibré , rejetant une acquisition pure et simple qui, en l’état, conduirait à la disparition d’Alstom », écrit-il. Le gouvernement, qui prend l’exemple du partenariat noué entre GE et Safran dans les moteurs d’avion, suggère ainsi à GE de changer radicalement la nature de son offre.
Par ailleurs, le gouvernement redoute de laisser seule la branche transport. « Il serait hautement souhaitable d’assurer un avenir mondial certain à Alstom Transport, par la cession à cette entité des activités transport de General Electric », indique le courrier, « incluant les trains de fret et la signalisation, représentant un chiffre d’affaires de 3,9 milliards de dollars ».
Arnaud Montebourg, qui indique en préambule de la lettre avoir été chargé de cette réponse par François Hollande et ne fait pas allusion au possible projet d’offre de Siemens ni à la recherche d’une troisième solution, demande par ailleurs à GE des précisions sur ses engagements en matière d’emploi. Le ministre demande ainsi au groupe américain qu’il « précise ces engagements, en détaillant et en documentant leur contenu, ainsi que leurs implications sur l’organisation juridique des activités maintenues dans Alstom ».
Pour emporter Alstom, le conglomérat américain s’était engagé auprès de François Hollande à implanter quatre centres de décision mondiaux de GE dans l’Hexagone et GE s’était engagé « à faire croître le nombre de nos emplois en France, particulièrement les emplois hautement qualifiés dans l’ingénierie et de la production localisés en région ».
Durant un mois, Alstom s’est « réservé le droit de répondre à des offres non sollicitées ». Un mois durant lequel le groupe allemand Siemens veut mettre à profit pour convaincre le fleuron industriel français de refuser l’offre de l’américain General Electric.

Franchement, je ne comprends pas cet abruti de ministre borné et outrancier. Il s'immisce dans des tractations privées, quel con ce mec.

Tais-toi, Bruxelles !

Tais-toi, Bruxelles !


Encore un effort ! Pour Bruxelles, les comptes de la France ne sont pas encore bons… mais il y a des progrès. En vérité, à ce stade, on s'attendait à une certaine indulgence de la Commission européenne même si elle est loin d'être convaincue par l'optimisme de François Hollande. Comme nous, Bruxelles attend, pour se prononcer début juin, les détails du programme de stabilité sans trop croire que nous serons rentrés dans les clous en 2015. Pour la Commission, la croissance française ne devrait pas dépasser 1,5 % en 2015, là où Paris table sur 1,7 %. D'où un déficit de 3,4 % toujours supérieur aux fatidiques 3 %.
Forcément, il est beaucoup d'europhobes qui dénoncent ce pinaillage des eurocrates bruxellois pour une grosseur de trait (c'est tout de même elle qui autorise ou non la baisse du chômage). Ils y voient aussi la marque de la férule teutonne sur cette rigueur budgétaire qui étrangle les pays en difficulté. À trois semaines des élections européennes, ils y décèlent un motif supplémentaire de refuser une Europe austéritaire. Ils seraient prêts à aimer une autre Europe, mais ils détestent la Commission, symbole et source de tous nos maux.
Il n'est donc que temps de mettre un bémol à cette phobie, révélatrice d'une forme d'arrogance française. Ceux qui considèrent comme une humiliation notre soumission aux procédures, oublient que la France ne fait que se plier à une discipline collective à l'élaboration de laquelle elle a participé. Pourquoi nous soustraire encore, après deux sursis, à des règles que nous avons imposées à d'autres ?
Si des correctifs doivent être apportés aux options trop libérales de Bruxelles, il appartient de le faire en passant par la voie souveraine des urnes. Plus doit être fait pour l'harmonisation fiscale et sociale, l'emploi, la croissance. L'occasion nous sera donnée le 25 mai prochain, de conférer plus de légitimité aux députés européens et au président désormais élu de la Commission. Cette avancée démocratique importe plus que les discours racornis sur une « nationalisation » du scrutin. Donc, de l'Europe.

En classe « optimiste »

En classe « optimiste »


N'en déplaise à Jean-Luc Mélenchon, qui l'avait méchamment qualifié de « capitaine de pédalo », François Hollande mérite plutôt l'inscription en classe « optimiste ». À la veille du deuxième anniversaire de son élection à la présidence de la République, il a résolument hissé les voiles de la confiance en déclarant au JDD : « Si le redressement n'est pas terminé, le retournement économique arrive ». Et avec lui, une deuxième phase du quinquennat répondant aux attentes des Français. Le pari est risqué. Trois années suffiront-elles à gommer les ratés des deux années initiales du quinquennat ?
L'audacieuse prophétie du président sur le redressement économique ne va-t-elle pas plutôt l'exposer aux lazzi après d'autres périphrases hardies, mais avortées, sur « l'inversion de la courbe du chômage », « la pause fiscale » ou « la reprise qui se fait sentir » ? Le vrai handicap pour François Hollande, qui en appelle à la confiance des Français, va être de les faire adhérer à un discours dévalué par de nombreuses « corrections ». De quel retournement s'agit-il pour ce Président qui vient de tout remanier sous la contrainte plus que par envie ?
La garde rapprochée élyséenne s'évertue, avec une servilité proche du ridicule, à brosser le portrait d'un Président habité (enfin) par la fonction, s'apercevant au bout de deux ans de mandat qu'il avait sous-estimé la crise et « l'héritage ». Autant d'excuses plus accablantes qu'atténuantes car témoignant d'imprévoyance après les multiples mises en garde de la Cour des comptes, déjà sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy.
Impossible, donc, de souscrire aveuglément à l'optimisme hollandais. Même si nous approchons d'une fin de cycle avec le retour probable de la croissance. Le seul problème est que le salut ne viendra pas seulement des autres et que la France s'y prépare insuffisamment à travers un plan d'économies ne couvrant pas le coût des mesures de relance de l'activité. La crainte réside dans des ponctions supplémentaires qui freineraient la consommation. Le slogan tellement galvaudé – « Le changement, c'est maintenant » – mérite décidément une précision : maintenant, c'est quand ?

Le « retournement » c’est maintenant !

Le « retournement » c’est maintenant !


Ce 6 mai, jour de la Sainte-Prudence, marque le deuxième anniversaire de l’élection de François Hollande, porté à l’Elysée par une majorité de Français politiquement bien imprudents. Dans un entretien « informel » qu’il a accordé pour cette occasion au JDD, le plus impopulaire chef d’Etat de la cinquième République nous annonce une nouvelle renversante : « On est entré dans la deuxième phase du quinquennat, le redressement n’est pas terminé, mais le retournement économique arrive. » Après avoir été le seul, en juillet dernier, à apercevoir la pointe des oreilles d’une croissance fugitive (et toujours en fuite), après nous avoir assuré que la courbe du chômage allait s’inverser fin 2013 et après avoir été à chaque fois démenti, Hollande récidive : il nous annonce maintenant le « retournement « économique.
En matière de retournage, l’hôte de l’Elysée en connaît un bout : il excelle à tordre verbalement la réalité. Cela lui a réussi puisque ce détournement des faits l’a conduit au plus haut sommet de l’Etat.
Mais qui parle de mensonge ? Il s’agissait « d’ignorance ». C’est du moins l’explication que Jean-Christophe Cambadélis, nouveau patron du PS, avance, pour essayer de dédouaner le président de la République de ces deux années de désespérante inertie. « Nous, les socialistes, n’avions pas pris totalement la mesure, pendant la campagne présidentielle, de la tenaille dans laquelle était prise la France. »
Hollande ne savait pas. Lui qui côtoie au plus haut niveau des dirigeants du monde politique et économique depuis 35 ans. Lui qui, élu député de Corrèze pour la première fois en 1988, occupa d’emblée le poste de secrétaire de la Commission des Finances. Lui, ex-premier secrétaire du PS durant onze ans, (1997 à 2008) et qui « déjeunait deux fois par semaine en tête à tête avec Lionel Jospin » lorsque celui-ci était Premier ministre (1997-2002), « pour parler des affaires de l’Etat ». Il ne savait pas, lui dont les amis énarques peuplent la haute administration du pays et les organismes internationaux. Comme par exemple Pascal Lamy, ancien patron de l’OMC et grande figure de l’élite mondialisée. Ou Didier Migaud, premier président de la Cour des comptes. Ou, proche parmi les proches, son copain Pierre Jouyet, ex-ministre de Nicolas Sarkozy.
Néanmoins, malgré cet entourage choisi de gens si bien informés, notamment sur la situation financière de la France – qu’un Pascal Lamy ou un Didier Migaud ont d’ailleurs souvent radioscopée –, Hollande ne savait rien de « ses déficits colossaux », de « sa politique industrielle à la traîne », et des « exigences des marchés financiers ». On lui cachait tout ?

Amère commémoration

En 2012 son déni des réalités économiques relevait bien sûr du mensonge délibéré, cyniquement et dangereusement démagogique. Ceux qui l’ont cru se sentent aujourd’hui floués. D’où la colère de tant de ses anciens électeurs, que certains députés du PS se sentent obligés de relayer. Ce qui donne, au moment de voter le plan de rigueur – cinquante milliards d’euros dont, entre parenthèses, personne ne sait encore dans quelles dépenses ils seront prélevés – une abstention de 41 députés PS. Et 12 écologistes, 3 chevénementistes et 12 Front de gauche qui ont voté contre. Fissure inhabituelle dans une majorité présidentielle. Et les fissures, ou on les colmate sur le champ ou elle risque vite de s’élargir. Ce qui pourrait bien se produire lors des prochains votes sur les autres volets de la politique de Manuel Valls.
Mais de tout ça, Hollande n’en a cure. Il continue d’user des mêmes subterfuges retors et amoraux. Visiblement, il n’en connaît pas d’autres… Après le reniement, le remaniement, voici donc le « retournement ». Un mot qui continue de rimer avec la troisième personne du verbe mentir à l’indicatif présent.
François Hollande, nous dit-on, « n’a jamais aimé regarder derrière lui ». Vu les décombres qu’à la tête du PS comme à celle de l’Etat il a accumulés, cela vaut sans doute mieux pour lui. En cette journée anniversaire, il ne s’appesantira donc pas sur le bilan des deux années écoulées. L’hypnotiseur élyséen préfère casser le rétroviseur et ressortir sa vieille lanterne magique pour évoquer les prochaines années de son quinquennat qui, promis, juré, craché, « seront celles de la reprise, de la croissance, de la transition énergétique, des réformes sociales et des réformes structurelles ». C’est sa façon charlatanesque de « réenchanter le rêve français » : faire miroiter des promesses qu’il sait, de sa part, intenables. Le grand bluff, toujours. Hollande ou le virtuose de l’illusion d’optique !
Ces deux années de gouvernement socialiste, les Français l’ont fêté à leur manière lors des dernières municipales. En jetant le gâteau d’anniversaire à la tête du chef de l’Etat ! Une autre célébration du même genre aura sans doute lieu le 25 mai prochain… Avec un nouvel entartrage électoral annoncé. La mandature de François Hollande ressemble de plus en plus à un film burlesque ne faisant rire personne.

Députés en stage

Députés en stage


Le stage est le passage obligé des temps modernes. Personne n’y échappe. Personne sauf les députés. Eux qui légifèrent sur tous les aspects de la société décident souvent sans vraiment connaitre le sujet. Ils ne sont par exemple que 10% à avoir une expérience en entreprise. Cette lacune va être comblée puisqu’une association, «  Entreprise et Progrès », a décidé de leur proposer des stages. Durant leurs vacances, ils pourront donc discuter avec les PDG et découvrir la vie économique. Le bien-fondé de l’initiative est évident. D’ailleurs, elle devrait être étendue aux ministres, M. Montebourg en tête. Je ne sais pas pourquoi mais quelque chose me dit pourtant qu’en dépit de ces stage intensifs, les patrons hésiteront à confier aux parlementaires les rênes de leur boite.    

Deux années gâchées

Deux années gâchées


Que reste-t-il des espoirs de ceux qui, il y a deux ans jour pour jour, avaient porté François Hollande à l’Elysée ? Un pouvoir impopulaire et disqualifié, des chômeurs plus nombreux que jamais, des impôts devenus insupportables, des indicateurs économiques et budgétaires à la dérive.
Que reste-t-il des deux années de gestion de François Hollande ? Le sentiment de promesses successives aussi vite lancées, aussi vite oubliées. La certitude de vraies erreurs initiales de politique économique, la réalité d’un choc fiscal historique et l’instauration d’un climat d’hostilité, devenue méfiance, entre le pouvoir et les entreprises.
Et au total, chez beaucoup de Français le sentiment qu’il est impossible dans ce monde ouvert d’obtenir des résultats, pas plus de la part de la gauche que de la droite en son temps. Ce parallèle est évidemment trompeur : la majorité précédente a dû gérer le pays au milieu d’un gigantesque ouragan sur l’économie mondiale, alors que la gauche peine à le gérer en dépit du retour de la croissance partout dans le monde développé. Il n’empêche : le sentiment est là d’un grand découragement, d’une grande impuissance.
Ce qu’il reste après cette première phase du quinquennat ? Trois petites années – sauf accident politique ou institutionnel – pour qu’émerge une offre politique alternative issue de l’opposition, une offre qui n’existe pas encore mais qui nous sorte des demi-mesures, des jeux de rôle avec l’opinion publique, des finasseries avec Bruxelles. Trois années à peine pour que se renforce un corpus idéologique fondé sur l’audace, sur la réforme en profondeur, en supportant la réalité que tous nos voisins ont affrontée. Dans la plupart des pays, on appelle cela le libéralisme.


Comme tous ses autres collègues du gouvernement, dont aucun n’a jamais tenu le moindre poste de responsabilité dans une entreprise, Montebourg n’a jamais créé un seul emploi de sa vie : pas un. Mais il sait comment il faut parler aux chefs d’entreprise – pardon, il sait comment les admonester, les engueuler, les fustiger, les morigéner… – pour les inciter à investir en France, créer des emplois et générer de la richesse… Le moins qu’on puisse dire est qu’il s’y prend plutôt mal !

Montebourg « redresseur » des capitalistes
  • Montebourg sermonne le patron d’Alstom pour mensonge et « manquement à la déontologie nationale »…
  • Montebourg pourfend le patron de Numéricable pour manque de patriotisme fiscal…
  • Montebourg admoneste le patron de Mittal dont « il ne veut plus en France »…
  • Montebourg fait la leçon à la famille Peugeot, comparant le groupe PSA Peugeot-Citroën à un « malade imaginaire »…
  • Montebourg engueule les dirigeants de Sanofi…
  • Montebourg fustige les groupes pétroliers Shell et Total…
  • Etc.
Montebourg « dompteur » du capitalisme
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Bref Montebourg s’en prend à tous les patrons qui, échaudés par les orientations politiques du gouvernement, et inquiets des aboiements du ministre de l’économie (oui, je sais cela fait drôle de savoir que c’est Montebourg qui a en charge l’économie française !), préfèreront sans doute aller investir en Grande-Bretagne, au Pays-Bas ou en Allemagne… Belle image de la France en tout cas. Tellement dégradée que même le pauvre Fabius se croit obligé d’aller jouer les hôtesses dans les aéroports. Pathétique.
Le post-capitalisme performant de Montebourg
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Désormais connu dans le monde entier, non pas pour son sauvetage de l’industrie française mais pour ses coups de gueule contre-productifs, Arnaud Montebourg non seulement ne « redresse » rien mais achève de détruire ce qui marchait encore. Son capitalisme redressé à la sauce keynésienne et à la mode « Piketty post-marxiste » (voir image ci-dessus) est une catastrophe qui mène le pays à la ruine.
Montebourg ne fait d’ailleurs pas que décourager les entrepreneurs, détruire l’initiative et torpiller la croissance et la création de richesse. Il fait même plus : par ses aboiements intempestifs, il achève de discréditer la parole d’un État qui n’a évidemment pas à s’exprimer sur ce ton ni à s’exprimer comme un voyou. Le « détecteur de mensonges », dont il menace le directeur d’Alstom, c’est aux membres du gouvernement qu’il faudrait l’appliquer en premier ! Leur « Parole » est totalement discréditée.
« Nous défendons l’emploi, l’emploi, l’emploi » répète inlassablement Montebourg, comme pour essayer de se convaincre lui-même qu’il sait comment on les crée. Ce qu’il ne voit pas c’est que les fermetures d’usines, les destructions d’emploi et le manque à gagner fiscal sont la conséquence mécanique de ses propres choix idéologiques et anticapitaliste périmés.
Qu’il arrête donc de donner des leçons aux chefs d’entreprises ou de grands groupes industriel qui, eux, créent et gèrent des milliers d’emplois et distribuent des salaires et du pouvoir d’achat alors que Montebourg est une charge nette pour le pays. Qu’il se taise et qu’il s’en aille créer sa propre entreprise.On verra alors comment il s’y prend pour créer des emplois.