Cette pétasse n'a jamais travaillé de sa vie, alors.....??????? |
VOTRE FUTUR EST FAIT DE CE QUE VOUS FAITES AUJOURD'HUI, PAS DE CE QUE VOUS FEREZ DEMAIN
Cette pétasse n'a jamais travaillé de sa vie, alors.....??????? |
David Mattson est le CEO de Sandler Training, mais il est également l'auteur de « The Sandler Rules: 49 Timeless Selling Principles and How to Apply Them ». Depuis 1967, sa société a contribué à améliorer les services de ventes de milliers de sociétés avec un système de techniques et de principes éprouvés, mais aussi en leur indiquant quelles étaient les techniques mauvaises que les vendeurs devaient éliminer de leur comportement. Dans Forbes, Kathy Caprino rappelle 8 de ces erreurs que les vendeurs peuvent commettre:
1/ Prendre pour hypothèse que le prospect communique son véritable problème.
Même s’il est normal de se fier à ce que le prospect indique, il est recommandé de bien étudier chaque scénario. Vous devez vérifier que ces éléments ne sont pas plutôt les symptômes d’un problème plus fondamental. Ce diagnostic doit être réalisé en posant des questions pour s’assurer que l’on connait bien la racine du problème.
2/ Penser que la présentation permettra de conclure la vente.
Vous ne devriez pas dire au client pourquoi ils devrait acheter chez vous, mais plutôt l’amener à conclure quelles sont les meilleures raisons de le faire.
3/ Trop parler.
L’un des principes essentiels de Sandler est la règle 70/30 (70% écoute contre 30% de parole). Au début de l’entrée en relation avec le prospect, les vendeurs ont souvent l’impression qu’ils doivent parler, alors qu’ils devraient plutôt écouter et poser des questions. N’oubliez jamais que s’il ne souhaitait qu’une liste des caractéristiques de votre produit, le client n’aurait eu qu’à se connecter sur le site de votre société. Le processus de vente lui-même n'est pas un monologue, mais une conversation ouverte et honnête.
4/ Croire que l’on peut tout vendre à tout le monde
Les gens n’achèteront pas simplement parce que vous leur demanderez de le faire : ils ont une résistance naturelle à faire ce qu’on leur demande. Le prospect doit traverser une étape de découverte sur lui-même avant de conclure que ce que vous vendez lui offre la meilleure solution. La meilleure méthode est donc de poser des questions importantes ou de parler de cas vécus par des tiers pour lui permettre de découvrir quels sont les bénéfices et les avantages de votre produit.
5/ Exagérer l’éducation de votre prospect alors que vous devriez vendre.
Le but initial de la vente est de découvrir pourquoi, et sous quelles conditions, votre prospect aurait intérêt à acheter de vous. Il faut donc d’abord poser des questions, puis partager vos connaissances. Les détails particuliers arrivent en troisième position de cette liste de priorités.
6/ Oublier que les vendeurs sont aussi des décideurs.
A chaque étape du processus de vente, le vendeur doit s’assurer qu’il peut continuer de passer du temps à investir dans la relation avec le prospect. Si vous êtes un vendeur incapable de trancher, votre manque de clarté et d’actions décisives se reflètera dans l’attitude de votre prospect. Souvenez-vous que plus vos cycles de vente sont courts, et plus vous pouvez approcher de prospects.
7/ Lire dans l’esprit de vos prospects.
Fiez-vous uniquement à ce que les prospects vous disent avant de sauter sur une conclusion. S’ils manquent de clarté, n’hésitez pas à poser des questions. Les mauvaises intuitions conduisent à des pertes de temps et à des opportunités gâchées.
8/ Travailler comme consultant gratuit dans l’espoir de conclure une affaire.
Quand un client potentiel vous demande plus d'informations, et que fournir ces informations vous donne plus de travail, demandez-lui d'abord de vous fournir un scénario comprenant tous les détails qui lui permettraient de signer. Si, au moment où vous proposez cette solution, le client vous pose des questions supplémentaires, et qu’il ne se montre pas acheteur, c'est qu'il est peut-être temps de lui touner le dos.
9/ Etre votre propre pire ennemi.
Ne reprochez jamais à votre prospect de ne pas décider assez rapidement, mais posez-vous d’abord la question de votre attitude. La maîtrise du processus de vente dépend de votre approche et de vos compétences de vendeur.
10/ Espérer que le client ne remarque pas un problème.
La seule façon d'éviter un problème est de le régler avant qu’il n'émerge. Restez ouvert et honnête. Si un problème surgit au cours du cycle de vente, soyez transparent. Votre prospect vous respectera pour votre franchise et ensemble, vous pourrez résoudre ce problème, tout en édifiant les fondations d’une relation solide.
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"Cette cérémonie transcende les clivages politiques, les calculs électoraux et les frontières géographiques. Elle renvoie une belle image de votre démocratie, dont vous pouvez être légitimement fiers.Ma présence est une nouvelle preuve de la force de l’amitié franco-allemande qui nous permet d’évoquer, ensemble, les moments forts de nos histoires nationales.Je suis ici aujourd’hui comme Président de la République française, comme un socialiste qui sait ce qu’il doit à la social-démocratie et surtout comme un européen."
"Au moment où fut fondé le SPD, le progrès c'était «la fixation de salaires minima, l’enseignement gratuit, l’assurance maladie, la liberté d’association, la réduction de la durée du travail, la création de coopératives de production ».Tout cela fut acquis au cours des décennies qui suivirent et largement étendu à l'ensemble du continent européen.Grâce à l'action et à l'influence du SPD, le progrès prit ensuite la forme de la démocratie sociale avec la reconnaissance des droits des salariés à être informés et consultés sur les choix stratégiques des entreprises, avec la culture du compromis pour faire évoluer le droit du travail et avec la négociation entre partenaires sociaux pour faire évoluer l’Etat providence."
"Le progrès, c’est aussi de faire des réformes courageuses pour préserver l’emploi et anticiper les mutations sociales et culturelles comme l’a montré Gerhard Schröder. On ne construit rien de solide en ignorant le réel.Le réalisme c’est le troisième apport de la social-démocratie.Le réalisme n’est pas le renoncement à l’idéal, mais l’un des moyens les plus sûrs de l’atteindre. Le réformisme ce n’est pas l’acceptation d’une fatalité mais l’affirmation d’une volonté. Le compromis n’est pas un arrangement mais un dépassement.
"L’Europe a été capable, ces derniers mois, d’en finir avec l’instabilité financière. Elle a su apporter la preuve que les pays de l’Union n’abandonneraient jamais l’un des leurs à ses difficultés. Elle a introduit des règles et des disciplines en matière budgétaire et bancaire.L’Europe doit désormais faire preuve de la même détermination pour donner priorité à la croissance et offrir à la jeunesse une nouvelle espérance.C’est le rôle des Etats mais aussi des partis politiques que d’y travailler sans relâche. Et je salue tous ces militants qui se dévouent de génération en génération à cette cause qu’est l’Europe. Et à cette belle idée du progrès. Je leur dis de ne jamais se désespérer et d’unir leurs forces face à l’égoïsme, au populisme et au nationalisme.Si je n’avais qu’un seul message à vous transmettre aujourd’hui, un seul mot à vous dire, ce serait celui par lequel j’ai ouvert mon propos et par lequel je veux le clore : unité.Unie, l’Allemagne est devenue plus forte.Unies, la France et l’Allemagne feront avancer l’Europe."
Ces deux-là ne partiront pas en vacances ensemble. Depuis une semaine, Guillaume Peltier et Nathalie Kosciusko-Morizet s'attaquent par médias interposés. Dernière épisode : vendredi matin NKM, candidate à la primaire à droite en vue de l'élection municipale à Paris l'an prochain, a taclé le leader de l'aile droite du parti en faisant de nouveau allusion à son passé au Front national.
Tout est parti lundi quand le patron du mouvement la Droite Forte a appelé à voter contre NKM à la primaire UMP, car elle s'est abstenue lors du vote à l'Assemblée sur la loi sur le mariage gay, alors que l'écrasante majorité des députés UMP a voté contre. Il a exprimé sa préférence pour deux autres candidats, Pierre-Yves Bournazel et Jean-François Legaret, qui «ont eu tous les deux une position très claire puisqu'ils ont dit que s'ils avaient été parlementaires, ils se seraient opposés à cette loi dite Taubira.»
La réponse de NKM n'a pas tardé, accusant Peltier d'être le «Buisson qui cache la forêt», en référence à l'ancien conseiller de Nicolas Sarkozy avec qui elle est en profond désaccord politique, depuis qu'il a voulu mettre le curseur à droite lors de la dernière campagne présidentielle. «Derrière tout cela, il y a des gens qui voudraient prouver que la droitisation et l'alliance avec le Front national sont indispensables», avait-elle ajouté.
Les
socialistes français s’inspireraient-ils de Silvio Berlusconi ? Au plus
bas dans les sondages, le Cavaliere s’était refait une popularité en
entonnant les sirènes de l’antigermanisme… Moins que par le risque de
réveiller les démons du passé, la position du PS frappe surtout par son
incohérence.
Les exigences de Mme Merkel ne sont pas “égoïstes”.
Elles ne font que rappeler les conditions nécessaires à la survie de
l’euro : le redressement des comptes publics de tous les États de la
zone, une baisse forcée du coût du travail là où il a trop augmenté,
comme en France, le refus des facilités inflationnistes telle la
monétisation des dettes souveraines. Ces mesures, efficaces ou non,
c’est une autre question, sont l’unique alternative à un abandon de
l’euro, et donc à de nouvelles parités monétaires.
À partir du moment où le PS n’envisage pas le démantèlement de la monnaie
unique (nous préférons cette expression à celle de “sortie de l’euro”,
car qui peut croire que l’euro pourrait continuer sans la France ? ), il
est obligé d’en tirer les conséquences : il faut faire de la rigueur à
l’allemande !
Certains voudraient que Berlin prête à fonds perdus — ou mieux, que la République fédérale donne, via le
budget européen, aux paniers percés de l’Europe. Elle n’y tient pas :
qui le lui reprocherait ? Elle, que les perroquets du souverainisme ne
cessent de soupçonner de “fédéralisme”, ne fait que prendre en compte
cette réalité de base : il n’existe pas, en Europe, de solidarité
analogue à celle qui a pu s’établir entre l’Allemagne de l’Ouest et les
anciens territoires de l’Est, qui appartenaient à une même nation
allemande. Les Allemands ne sont pas davantage enthousiastes à faire
comme les Français : ajouter à leurs dettes, déjà lourdes, en empruntant
pour aller au secours des pays, encore plus endettés, du sud de
l’Europe. Là encore, qui le leur reprocherait ?
La même
inconséquence se retrouve dans certains cercles socialistes proches du
pouvoir, tel le collectif Roosevelt 2012, qui prône un New Deal à
la française, une politique publique de relance à base de dépenses
publiques, sans nullement remettre en cause l’appartenance à l’euro.
Lors
d’un colloque franco-allemand, qui s’est tenu, le 8 avril dernier, à la
Chambre de commerce et d’industrie de Paris, l’économiste Alain Cotta a
justement rappelé que François Hollande, fils spirituel de Jacques
Delors, était si viscéralement attaché à l’euro qu’il irait jusqu’à
sacrifier le dernier centime de la politique sociale française pour en
assurer la survie. Au lieu de mettre en cause stupidement l’Allemagne,
les socialistes français feraient mieux de tirer les conséquences de
cette conviction du président de la République.
Être
libéral, c’est vouloir ramener l’État sous le contrôle du droit et
étendre les libertés individuelles. Et c’est là que les problèmes
commencent, bien sûr.
Je vais avoir 70 ans, l’âge où les ombres s’allongent sur le sol, et, de temps en temps, je me pose la question : « Mais pourquoi est-ce aussi difficile d’être libéral en France ? » Qui peut aussi se traduire par : « Mais qu’est-ce que je suis allé faire dans cette galère ? » Voici ce qui, pour moi, est un début de réponse à ces étranges questions.
Tout
d’abord, le libéralisme est une philosophie du droit et non pas du tout
une série de recettes économiques. Des principes juridiques ont émergé
au cours des XVIIe et XVIIIe siècles, ont été appliqués aux États-Unis
et au Royaume-Uni et, à la stupéfaction générale, ont amené au décollage
économique d’abord ces deux pays, puis ensuite tous les autres États
qui ont suivi leur exemple. L’application des principes juridiques du
libéralisme amène à la croissance économique, mais c’est une conséquence
heureuse et non recherchée. Ces principes juridiques définissent, d’un
côté, les relations des individus entre eux et, de l’autre, la relation
entre ceux-ci et l’entité à qui ils ont librement délégué le monopole de
la violence légale, je veux dire l’État.
Le principe fondamental
du libéralisme est donc que le droit régit tout et est supérieur à tout.
Dans un monde organisé selon une philosophie libérale, le droit est le
coeur même du système, ainsi qu’on le voit aux États-Unis, où le
président élu lors de sa prise de fonctions, jure de respecter la
Constitution des États-Unis, cette Constitution étant, comme chacun le
sait, la clef de voûte de tout le système juridique, légal et économique
aux États-Unis. Et cette Constitution est inchangée depuis son origine,
à l’exception de quelques amendements, dont le plus célèbre reste le
premier : « Le Congrès ne fera aucune loi accordant une préférence à
une religion ou en interdisant le libre exercice, restreignant la
liberté d’expression ». Ce qui interdit par exemple toutes les
stupides lois mémorielles dont nous souffrons dans notre pays. Or, dans
le subconscient des Français, rien ne peut être supérieur à l’État.
Et
donc, nous ne pouvons avoir aucune stabilité juridique, puisque chaque
changement dans l’État amène avec lui des changements dans le droit.
Depuis que les États-Unis existent, nous avons eu le bonheur d’avoir
cinq Constitutions républicaines, deux ou trois monarchies, un ou deux
empires et quelques régimes indéterminés tels le Consulat ou Vichy. Et
tous les agents de l’État qui avaient juré fidélité à la Constitution
précédente n’ont jamais eu aucun problème à continuer à servir quand
bien même la Constitution aurait changé, puisque l’État et ses
serviteurs restaient en place.
En France, l’État est pérenne,
alors que les Constitutions et donc le droit sont tout à fait
transitoires. Et d’ailleurs, depuis Napoléon, l’État a même son droit à
lui, ce qui est une monstruosité philosophique, puisque cela veut dire
que l’État et ses agents répondent à des règles différentes du commun
des mortels.
Dans un monde libéral, le droit est supérieur à
l’État. En France, l’État est supérieur au droit. Et donc, prendre le
contrôle de l’État en France, c’est se retrouver dans la position de
Moïse, en contrôle du droit et de l’État, c’est-à-dire être à la fois
roi et prêtre, et non pas simplement président (temporaire), ce qui est
quand même beaucoup plus intéressant que d’être brimé par des textes
rédigés il y a deux cents ans.
Et donc, pour moi, être libéral,
c’est vouloir ramener l’État sous le contrôle du droit. Et c’est là que
les problèmes commencent, bien sûr. Hélas, je ne pense pas que les
choses vont beaucoup bouger de mon vivant ni que j’aurai une grande
influence, mais cela ne m’importe guère. Ce qui compte, c’est de porter
le flambeau, quelqu’un d’autre le relèvera un jour. Après tout, il n’est
pas honteux d’échouer là où Montesquieu, Benjamin Constant,
Tocqueville, Bastiat, Raymond Aron, Jouvenel, Revel et tant d’autres ont
échoué avant moi. Et comme le disait un grand Français, Pierre de
Coubertin : « L’important dans la vie, ce n’est point le triomphe, mais le combat. » Charles Gave, économiste et président de l’Institut des libertés.
Manuel Valls souffre d’un trait de caractère qui domine tout : il a toujours raison. Voilà pourquoi le saccage du Trocadéro est accablant pour lui.
Le ministre de l’Intérieur ne va pas pouvoir continuer à parader très
longtemps comme ça. Mardi matin, après la soirée de pillage place du
Trocadéro, il répétait au micro de Jean-Pierre Elkabbach, sur Europe 1 :
« Pas de leçons, pas de leçons ! » L’après-midi, à l’Assemblée,
c’était sa fête, pas celle du PSG. Manuel Valls souffre d’un trait de
caractère qui domine tout : la prétention. Il ne se trompe jamais. S’il y
a une erreur de jugement, une “faille” dans un dispositif, c’est la
faute des autres, ou mieux, celle de ses prédécesseurs. François
Hollande l’encourage dans cette attitude en le citant comme l’un de ses
“meilleurs ministres”. Mais la prétention conduit à l’aveuglement ;
c’est ce qui le perdra.
Des leçons, il n’en reçoit pas ; c’est lui
qui en donne. En arrivant au ministère de l’Intérieur, il n’a rien eu
de plus pressé que de remplacer le préfet de police de Paris et le
directeur général de la Police nationale. Il voulait des hommes à sa
main, politiquement conformes avant d’être professionnellement
compétents. Dans ce domaine, le préfet de police, resté sans affectation
opérationnelle de premier plan pendant douze ans, est un modèle. Mais
pour le ministre, c’est secondaire, puisque le patron, c’est lui. Lui
qui manoeuvre, dirige les compagnies de CRS et les escadrons de
gendarmes mobiles selon ses humeurs et ses choix politiques.
Il
se fait la main avec les manifestations anti-mariage gay. La droite,
qui le jugeait ferme à l’égard des délinquants et voyait en lui un bon
successeur de ce pauvre Jean-Marc Ayrault, découvre un ministre
méprisant et hautain. Pris à contre-pied par l’ampleur des défilés, par
les mauvais renseignements de ses préfets zélés, qui préfèrent le
laisser s’enfermer dans des impasses et le commentaire de chiffres de
manifestants truqués. Par réaction, il en fait trop : il interdit les
Champs-Élysées à la “manif pour tous” et se fait surprendre à l’Étoile,
le 24 mars ; du coup, le 28, lors de l’intervention télévisée de
François Hollande, il envoie 1 400CRS et gendarmes casqués barrer la
route aux 2 000 manifestants pacifiques qui cernent le siège de France
Télévisions. Mieux, le soir du 15 avril, alors qu’un groupe de la “manif
pour tous” installe deux ou trois tentes sur le côté de l’Assemblée
nationale, il fait interpeller 67 jeunes gens, les place en garde à vue
durant vingt-quatre heures, avec prise d’empreinte ADN et inscription au
fichier de la délinquance !
Lundi, Manuel Valls paradait donc, à
Lyon, avec Christiane Taubira pour célébrer ses résultats en matière de
lutte contre la délinquance et les progrès de ses 64 zones de sécurité
prioritaires, alors que les habitants de Villeneuve-d’Ascq et d’ailleurs
devaient se constituer en comité d’autodéfense ou que l’on continuait à
jouer de la kalachnikov à Lille, Marseille ou Istres… Et le soir même,
le saccage de la place du Trocadéro venait spectaculairement ruiner les
“acquis” de sa politique.
Mais ce n’était pas sa faute, il ne
savait pas que le football entraîne avec lui des cortèges de violence,
que le PSG avait expulsé des rangs de ses supporters des hooligans qui
n’attendaient qu’une occasion pour se venger ; il ne savait pas ce qui
s’était déjà passé la veille aux ChampsÉlysées, ni que la place du
Trocadéro était impossible à “boucler” avec quelques rideaux
de policiers, surtout quand on conserve ouvertes les stations de métro.
Il a sous-estimé les événements, ne mobilisant sur place que la moitié
des effectifs engagés à France Télévisions pour la “manif pour tous”. Il
s’est ridiculisé en parlant dans un communiqué prématuré de « mouvements de foule et de bousculades
» quand les chaînes d’information montraient déjà des images d’émeutes.
Ce soir-là, les policiers ont mis 38 casseurs en garde à vue, 30 de
moins que pour les “campeurs” de l’Assemblée nationale, alors que le
saccage faisait 32 blessés, dont trois parmi les forces de maintien de
l’ordre (zéro pour les centaines de milliers de manifestants de droite).
La
démonstration est accablante. Non pas que le phénomène des pilleurs (il
fallait voir l’autocar de touristes dévalisé dans l’impuissance
policière sous l’oeil des caméras étrangères) soit nouveau, mais le
ministre de l’Intérieur nous avait fait croire que cela ne se
reproduirait plus avec lui. C’est pourtant à l’image d’une politique
pénale où les casseurs encagoulés ne risquent rien, puisque Mme Taubira a
supprimé l’emprisonnement pour les peines inférieures à six mois et
qu’elle considère que de tels débordements ne devraient pas être
exagérément grossis. Sauf que ceux-ci ont produit leurs effets à la
veille d’une conférence de presse du président de la République. Le
procès en incompétence se poursuit sans désemparer.
Jean-Marc Ayrault - Député socialiste, Maire de Nantes, président de la communauté urbaine de Nantes Métropole, condamné le 19 décembre 1997 à 6 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende, pour "délit de favoritisme dans l'attribution d'un marché public".
Arnaud Montebourg - Ministre du Redressement Productif, président du Conseil Général de Saône-et-Loire, condamné le 23 mai 2012 par le tribunal de grande instance de Paris à 1 euro de dommages et intérêts à verser à chacun des cinq demandeurs et 3000 euros au titre des frais de justice pour "injure publique". Il a fait appel de ce jugement.
Il n'y a pas lieu de désespérer parce que comme l'a dit Margaret Thatcher : "Le socialisme ne dure que jusqu'à ce que se termine l'argent des autres"
INAPTOCRATIE : un système de gouvernement où les moins capables de gouverner sont élus par les moins capables de produire et où les autres membres de la société les moins aptes à subvenir à eux-mêmes ou à réussir, sont récompensés par des biens et des services qui ont été payés par la confiscation de la richesse et du travail d'un nombre de producteurs en diminution continuelle.
A l'école primaire des socialistes, on apprend les 4 opérations :
- L'addition des impôts Aux élections prochaines, votez pour Ali Baba. |
« Le gouvernement a un bras long et un bras court ; le long sert à prendre et arrive partout, le bras court sert à donner, mais il arrive seulement à ceux qui sont tout près. » Ignazio Silone |
Les socialistes aiment tellement les pauvres qu’ils en fabriquent
C’est moi qui maîtrise la rareté de ma parole politique, pour dire des choses intelligentes quand j’ai besoin de les dire.
— Ségolène Royal
J’étais partisan du non, mais face à la montée du non, je vote oui
— Manuel Valls
«Le “canard boiteux” n'est pas à Florange, mais à Matignon! Il n'y a ni cap, ni vision.» RACHIDA DATI
La droite et la gauche, ce n’est pas la même chose
— Pierre Mauroy
Le capitalisme, c’est l’exploitation de l’homme par l’homme. Le syndicalisme, c’est le contraire
— Henri Jeanson
Même quand je ne dis rien, cela fait du bruit
— Ségolène Royal
Stéphane Hessel à propos de Hollande:
"On n'en fera pas un Roosevelt !"
Le plus souvent, la liberté d’expression est mal comprise : chacun la revendique pour soi et pour ses amis, c’est-à-dire pour ceux dont on partage les opinions. Il s’agit de la liberté d’expression facile, qui donne lieu à un rituel de célébration inlassablement renouvelé. Mais la défense de la liberté d’expression au sens fort est plus rare. Elle devient en effet plus difficile à pratiquer dès qu’il s’agit d’exiger cette liberté pour ceux qui sont attachés à des idées très différentes, voire totalement opposées à celles que l’on chérit soi-même. C’est alors que la liberté d’expression prend toute sa signification politique : elle devient un combat pour autrui. Pour que « l’autre » puisse professer des opinions auxquelles je suis hostile.
Robert Redeker
Etre homme politique, c’est être capable de dire à l’avance ce qui va arriver demain, la semaine prochaine, le mois prochain et l’année prochaine. Et d’être capable, après, d’expliquer pourquoi rien de tout cela ne s’est produit.— Winston Churchill
Quand un politicien se touche le visage il dit la vérité, quand il se gratte l’oreille il dit la vérité, quand il lève le pouce il dit la vérité ; c’est quand il remue les lèvres qu’il ment.— Baptiste Foisy
LA VÉRITABLE "EXCEPTION FRANÇAISE": CE SONT LES MÊMES CITOYENS QUI DÉPLORENT QU'UN GOUVERNEMENT N'AIT PAS CONCRÉTISÉ DAVANTAGE DE PROJETS ET QUI, À LA PREMIÈRE VELLÉITÉ DE RÉFORME, DESCENDENT DANS LA RUE