TOUT EST DIT

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ǝʇêʇ ɐן ɹns ǝɥɔɹɐɯ ǝɔuɐɹɟ ɐן ʇuǝɯɯoɔ ùO

samedi 31 mai 2008

LINGERIE DANS UN MONDE DE BRUTES


Stella Mac Cartney nous propose, aux femmes, des lingeries faites dans des matières nobles et parfaitement écologiques.
Regardez Mesdames ce n'est franchement pas laid........

C'EST ORANGE QUI ME DÉRANGE, MAIS........


TF 1 N'aurait pu faire autrement, Bouygues eut été un choix trop privé.
Forts d'une audience Internet de 5 millions de visiteurs, les deux groupes lancent un nouveau grand rendez-vous politique quotidien.
C'est François Fillon qui sera le premier invité de la nouvelle émission politique quotidienne, «Le Talk» Orange Le Figaro, lancée le lundi 2 juin par Orange et Le Figaro. Un concept inédit, puisque les deux groupes créent à cette occasion la première émission d'actualité en direct, conçue exclusivement pour l'Internet et les mobiles. Chaque jour à 18 heures, une personnalité politique ou économique de premier plan sera interviewée pendant sept minutes en alternance par Anne Fulda, grand reporter au Figaro, et Laurent Guimier, rédacteur en chef du figaro.fr.

L'émission, tournée dans le studio télévisuel du Figaro, sera diffusée en direct et gratuitement sur le site du figaro.fr et sur le portail Orange actu à la fois sur Internet et sur les téléphones mobiles Orange. Autre nouveauté, cette émission est conçue pour être interactive : les internautes peuvent intervenir en envoyant leurs questions à l'avance et en réagissant aux propos de l'invité sur le blog du «Talk».

Le meilleur des deux
Pour Orange, l'intérêt de l'opération est de proposer du contenu de qualité. «Je reste un opérateur de réseaux, mais pour faire vivre ces tuyaux, il faut que je les nourrisse, résume son PDG, Didier Lombard. Il y a, d'un côté, le meilleur des contenus avec Le Figaro, et de l'autre, le meilleur de la diffusion avec Orange. C'est du gagnant-gagnant. Le rôle d'Orange est d'être un amplificateur d'audience.»

Pour sa part, Le Figaro trouve là l'opportunité d'imposer davantage sa marque et d'élargir encore son audience. «L'imprimé et le Net sont complémentaires. Pour Le Figaro, Internet est une évidence», souligne Francis Morel, directeur général du groupe Figaro.

Le modèle économique de l'émission est entièrement basé sur l'audience. Les régies publicitaires des deux groupes commercialiseront les bannières sur leurs sites respectifs et les revenus du sponsoring seront partagés.

L'utilisation d'Internet et du téléphone mobile trouve tout son sens pour une émission diffusée à 18 heures, moment où les Français sont encore au travail ou déjà dans les transports, sur le chemin du retour. «Cette émission, sur un créneau horaire qui était vide, va s'inscrire dans le séquençage de l'information entre les grands rendez-vous radio du matin et les journaux télévisés du soir, explique Étienne Mougeotte, directeur des rédactions du Figaro. Avec 5 millions de visiteurs uniques, le bassin d'audience est très important et permet vraiment de se comparer aux grandes radios et aux chaînes de télévision généralistes.» Sans compter que l'émission restera disponible en rediffusion et podcast dès la fin du direct. Enfin, l'édition papier du Figaro reprendra chaque jour les temps forts de l'émission de la veille.

LE NET


GAGNE DU TERRAIN.
Lefigaro.fr est le deuxième site d'information en France avec 2,84 millions de visiteurs uniques.
Le Figaro passe à l'image. Anne Fulda, grand reporter au Figaro et Laurent Guimier, ancien responsable de la tranche d'information du matin d'Europe 1, et actuellement directeur de la rédaction du site figaro.fr, vont désormais animer le nouveau grand rendez-vous politique en vidéo sur le Web et le mobile.

Pour Le Figaro, l'Internet est le prolongement naturel de l'écrit. Depuis 2006, le groupe a construit une stratégie Web qui se décline autour de trois axes : les sites d'information générale (lefigaro.fr), sportive (sport 24.fr) ou culturelle (evene.fr), les petites annonces classées avec Adenclassifieds et enfin le commerce électronique avec les sites ticketac.fr et une participation dans Bazarchic.fr. L'ensemble des activités Internet représente déjà une audience cumulée de 6,5 millions de visiteurs uniques par mois, réalise 13 % du chiffre d'affaires du groupe Le Figaro et dégage un résultat positif. En 2010, cet ensemble vise les 10 millions de visiteurs uniques, 20 % du chiffre d'affaires du groupe Le Figaro et une rentabilité de 25 %.

La nouvelle étape du développement du figaro.fr passe maintenant par la vidéo. C'est le moteur du Web 2.0. «Avec le partenariat conclu avec Orange, nous défrichons les multiples possibilités qu'offre l'interactivité», estime Étienne Mougeotte, directeur des rédactions du groupe Le Figaro. Devenu deuxième site d'information français, avec 2,84 millions de visiteurs uniques en avril, juste derrière lemonde.fr (2,86 millions de visiteurs uniques), lefigaro.fr diffuse de plus en plus de vidéos. Elles proviennent soit de l'extérieur, soit sont produites en interne grâce au studio télé inauguré au début de l'année. L'objectif de la nouvelle émission politique quotidienne est bien de créer un rendez-vous qui permette de doper l'audience du site, à 18 heures, mais aussi dans les heures et jours qui suivent le direct.

EXTRAORDINAIRE

La Fondation nationale de l'indien (Funai) a pris ces clichés au début du mois de mai lors d'un survol de la région où habitent ces groupes indigènes coupés du monde, dans l'Etat amazonien de l'Acre, près de la frontière péruvienne. Ces images montrent un campement de huttes de paille et des indigènes dont le corps est entièrement peint en rouge ou en noir, décochant des flèches contre l'appareil transportant les membres de la Funai.
D'après des déclarations à la presse du directeur du département de protection de l'environnement de la Funai, José Carlos dos Reis Meirelles, ces indiens sont sédentaires et cultivent du manioc, des bananes et des pommes de terre. Selon M. Meirelles, qui travaille dans la forêt amazonienne depuis les années 70, il s'agit de l'un des groupes isolés les plus importants de la région, composé d'au moins 250 individus.
La Funai connaît l'existence de cette tribu depuis 20 ans, mais s'abstient de tout contact direct avec ses membres pour préserver leur autonomie. L'institution brésilienne a expliqué avoir cessé de rechercher tout contact avec ces groupes depuis les années 80. "Nous avons décidé de publier ces photos maintenant pour alerter le monde sur les dangers qu'encourent ces indiens", a-t-il expliqué par téléphone à l'AFP depuis l'Amazonie.

La tribu photographiée, dont la Funai ne connait pas avec certitude l'ethnie, vit sur une superficie de 630.000 hectares dans l'Etat de l'Acre. Cette région regroupe trois réserves indiennes où habitent également trois autres groupes isolés. "Cela ne m'intéresse pas de connaître leur ethnie. Tout ce que je veux, c'est les protéger et faire en sorte qu'ils restent coupés du monde", a encore dit M. Meirelles à l'AFP.
La Funai survole la région deux fois par an pour vérifier que des exploitants illégaux de bois, des chercheurs d'or ou des cultivateurs de coca péruviens ne s'y installent pas. Selon M. Meirelles, ces tribus se déplacent lentement vers la frontière brésilienne pour fuir les exploitants péruviens, et ce mouvement s'est accéléré dans les dernières années. "Les autorités péruviennes ont récemment soutenu que ces tribus n'existaient pas. Or, elles existent, et elles sont en grand danger", a averti le défenseur des indiens. Il a également affirmé à la presse que les gouvernements du Brésil et du Pérou ont le devoir de protéger ces indiens. "Leur avenir dépend de nous. Si ces régions sauvages, qui de toute façon ne sont pas cultivables, ne sont pas préservées, ces indiens mourront".
L'organisation non gouvernementale britannique Survival International, qui a divulgué les photos de la Funai en Europe, estime qu'environ 500 indiens isolés habitent dans cette région, du côté brésilien de la frontière. "Le monde doit faire en sorte de protéger le territoire de ces indiens. Si cela n'est pas fait, ces tribus disparaîtront très vite", a prévenu le directeur de Survival International, Stephen Corry.
Selon la Funai, il y aurait au Brésil soixante-huit tribus indiennes isolées, disséminées dans les Etats amazoniens de Acre, Amazonas, Mato Grosso, Roraima, Rondonia et Maranhao. L'existence de vingt-quatre de ces groupes est officiellement confirmée. Survival International estime qu'il existe au total plus d'une centaine de tribus isolées dans le monde.

IL RESTE À SOUHAITER QUE L'HOMME SERA SUFFISAMMENT SAGE POUR LAISSER CETTE POPULATION EN PAIX ET NE LUI PAS INFLIGER LES TURPITUDES DE NOTRE CIVILISATION AU NOM DU SACRO-SAINT PROGRÈS.
NOUS SERIONS PEUT-ETRE MÊME PLUS INSPIRÉS DE SUIVRE LEUR EXEMPLE ET ARRETER DE TUER LA PLANETE PLUS AVANT.

QUI VEUT GAGNER..........


Des Millions.
Quand on s'inscrit sur le site de TF 1.fr à qui veut gagner des millions, c'est une course poursuite à la chance qui peut coûter cher.
En effet, quand on n'est pas doué les questions se succèdent, et cela devient humiliant. Notre amour propre nous pousse à acheter des partis pour satisfaire notre ego. Voilà où réside le piège.

Si, par chance, on réussi à atteindre le palier qui vous donne l'opportunité de participer au tirage au sort : Alors c'est la porte ouverte aux gamberges les plus débridées
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