Cela fait un an et demi que Nicolas Sarkozy est retiré du monde politique après sa défaite aux élections présidentielles contre François Hollande.
Mais depuis la balance semble tourner en faveur de l’ancien chef de l’état, selon un sondage Ifop fait pour le Figaro 46% de Français préféreraient voir Nicolas Sarkozy en président contre 27% qui donnent leur préférence à l’actuel chef d’état. Et malgré la promesse de Sarkozy de ne plus toucher à la politique, on parle de plus en plus de son retour. Geoffroy Didier secrétaire général adjoint de l’UMP, conseiller régional d’Ile de France et cofondateur du mouvement la Droite Forte, est persuadé que le retour de Nicolas Sarkozy est nécessaire pour 2017 :
Qu’est ce que vous pensez d’un potentiel retour de Nicolas Sarkozy?
J’observe d’abord que Nicolas Sarkozy tient sa promesse, qui est celle d’une discrétion durable, celle qui n’est pas dans l’arène politique. En revanche ce n’est pas un Français comme les autres, c’est sans doute l’absent le plus présent, il est très attendu par tous ces électeurs de droite, qui ont considéré la victoire de François Hollande comme une injustice et qui ont compris depuis que l’alternance n’était en rien une alternative. Mon sentiment est que Nicolas Sarkozy reviendra, il y aura retour de Nicolas Sarkozy parce qu’il sera un recours, il y aura un retour de Nicolas Sarkozy parce que c’est le devoir qui l’animera, il n’est plus dans l’ambition, ni dans l’envie, il sera sans doute demain dans le devoir parce que aujourd’hui plus que jamais celui qui peut nous faire gagner en 2017, celui qui peut créer une véritable voix de passage et d’espoir entre le mirage extrémiste et le chaos socialiste s’appelle Nicolas Sarkozy.
Comment ça va se passer dans ce cas là ? Tout le monde ne veut pas son retour ?
D’enquête d’opinion en enquête d’opinion on observe une réalité constante c’est que Nicolas Sarkozy est la personnalité d’avenir la plus attendue, la plus sollicitée par le peuple de droite, mais aussi par le peuple tout simplement. Il est vrai qu’au sommet de l’UMP il y a des ambitions qui sont certes légitimes, mais elles n’ont pas de rapport, elles sont sans commune mesure avec la cote de confiance de Nicolas Sarkozy, qui est bien supérieure à la leur. Je crois que le retour de Nicolas Sarkozy sera inéluctable. L’essentiel aujourd’hui pour l’UMP, qui est le premier parti de France est de créer peu à peu un projet d’alternance viable et ensuite viendra le temps de trouver le leader pour porter le projet. Je suis persuadé que seul Nicolas Sarkozy pourra le porter, que seul Nicolas Sarkozy permettra d’être victorieux en 2017.
Si Nicolas Sarkozy revient, il reviendra en tant que qui ?
Lorsque Nicolas Sarkozy reviendra et si il revient, c’est à lui seul qu’appartient cette décision, il sera inévitablement en tant qu’ancien chef de l’état au dessus des partis. Il ne reviendra pas pour présider l’UMP ou pour diriger l’opposition il reviendra pour rassembler les Français, il reviendra dans une campagne où il cherchera à rassembler au delà des étiquettes politiques. Il s’adressera directement aux Français sans passer par les clivages des étiquettes partisanes. Je crois qu’il sera au dessus de la mêlée, il l’est aujourd’hui en tant qu’ancien chef de l’Etat et je pense que si il est candidat demain il le restera au dessus le la mêlée du fait de sont statut d’expérience d’état inégalée à droite, mais aussi du fait de cette prise de recul et de cette hauteur de vue qu’il aura pu acquérir durant ces quelques années.
Il sera quand même dans un parti, il fera partie d’un groupe politique il ne pourra pas juste revenir en tant que personnalité politique à lui tout seul ?
Nicolas Sarkozy ne fera plus jamais de politique au sens politicien, partisan et quotidien du terme. Je suis persuadé que Nicolas Sarkozy n’appartiendra plus jamais à un parti politique. Sans doutes sera-t-il soutenu par sa famille politique d’origine l’UMP. Si Nicolas Sarkozy revient c’est pour être plus que jamais le président de tous les Français au dessus des étiquettes partisanes.
Dans ce cas là il devrait revenir quand si ce scénario est en effet celui qui doit se passer ?
A mon avis il doit revenir, si il veut revenir, le plus tard possible. Parce que aujourd’hui ce qui fait la force de Nicolas Sarkozy c’est qu’il est au dessus de la mêlée, il est au dessus des contingences partisanes, qu’il est au dessus des petites phrases ou déclarations politiques et publiques des uns et des autres. Il faut que Nicolas Sarkozy se préserve, aujourd’hui il n’intervient pas dans le débat publique il écoute, il est attentif aux préoccupations des Français il a ses capteurs, qui lui disent comment va la société. La question aujourd’hui n’est pas celle de sa candidature, elle est uniquement celle de sa prise de recul et de sa hauteur de vue. Il n’y a pas aujourd’hui de calendrier du retour, parce que la décision du retour n’est pas prise, ne précipitons pas les choses. Ce retour n’a pas lieu d’être aujourd’hui on est seulement fin 2013 et les élections sont en 2017.
Quand il s’est présenté aux élections présidentielles contre François Hollande il a dit que si il perdait il se retirerait de la politique.
Nicolas Sarkozy tient sa promesse en étant retiré de la vie politique et en n’intervenant pas dans le débat politique et je pense que Nicolas Sarkozy tiendra ses promesses demain, même si il est candidat, parce que s’il revient c’est parce qu’il aura le devoir de revenir et ça ne passera pas par la case politicienne. Je crois que Nicolas Sarkozy ne fera plus jamais de politique.
Annoncée en février dernier par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault, la refondation de la politique d’intégration a été activement lancée début juillet, avec la constitution de cinq groupes de travail thématiques, auxquels ont participé des représentants des services de l’Etat, de collectivités territoriales, d'associations et partenaires sociaux ainsi que divers chercheurs et experts dans ces matières. Ces experts viennent de rendre et publier un rapport qui s’apparente clairement à un programme de déconstruction du scénario historique et national mais aussi de destruction pure et simple de la France en tant que nation européenne.
Le rapport appelle à ne plus parler d’intégration mais à faire « reconnaitre la richesse des identités multiples » et aussi à « reconnaître toutes les migrations comme constitutives de la nation ». Pour ce faire, le rapport propose d'instaurer des « journées de commémorations sur les apports de ces migrations », la création d'un « Musée des colonisations » ou encore la modification des manuels scolaires français « une (re)mise à plat de l'histoire de la France est nécessaire », en inscrivant dans les programmes scolaires de nouvelles matières telles que « l'histoire des mouvements de population », « l'esclavage et la traite négrière, les colonisations et décolonisations, les immigrations, les réfugiés, les migrations liées aux printemps arabes et les migrations des Roms ».
Cette offensive sur l’histoire de France n’est pas une nouveauté. En 2010, l’ambassadeur américain en Europe Charles Rivkin avait mis en place une stratégie de soutien aux minorités ethniques et religieuses en France et conseillé, pour favoriser leur intégration future et leur meilleure représentation à l’avenir, d’intensifier le travail « avec les musées français et les enseignants pour réformer les programmes d’histoire enseignés dans les écoles françaises, de telle sorte qu’ils prennent en compte le rôle et le point de vue des minorités dans l’histoire de France ». Une bien étrange similitude, non ?
La question des Roms permet de se poser nombre d'autres questions. On se rappelle de l’affaireLeonarda, cette lycéenne expulsée en octobre dernier et qui depuis le Kosovo indépendant (!) proposait de changer les ministres (français) tout en se plaignant que depuis son expulsion, elle ne pouvait se connecter sur Facebook toute la journée (!). Elle était pourtant toujours à charge financière du ministère de l’Intérieur français, les Français nouveaux pauvres apprécieront. Cette focalisation sur la minorité Rom de France apparait de façon surprenante dans ce rapport au moment ou l’intellectuel globaliste Georges Soros vient de lancer un appel à la constitution d’uneclasse ouvrière Rom au cœur du continent européen. Hasard ?
Mais le rapport ne s’arrête pas là. Le projet de déconstruction de l'histoire de France s’accompagne d’un projet de déconstruction de l’identité religieuse et linguistique française. De quoi faire perdre rapidement à la France sa nature de puissance européenne et chrétienne.
Le rapport préconise en effet « l’arrivée de nouvelles langues à l’école » et notamment la « valorisation de l'enseignement de l'arabe (...) en l'introduisant dans les meilleurs lycées et écoles » ou encore la possibilité « d'un enseignement dès le collège d'une langue africaine ». L’objectif est clairement affirmé dans le rapport : « modifier l’identité de la France pour qu’elle assume sa dimension « arabe-orientale » (afro-antillaise, océan-indienne, mélano-polynésienne ou Sud-est asiatique).
Dans ce but, le rapport conseille également de « permettre le port du voile à l’école au nom de la liberté » ou la suppression de certaines prestations (comme l'Allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA ou le RSA) qui « ne sont servis aux assurés ressortissants étrangers que s'ils justifient d'un séjour régulier de cinq ans au moins ». Enfin, le rapport prône la mise en place de recommandations en direction des médias pour « ne mentionner la nationalité, l'origine, l'appartenance ethnique, la couleur de peau, la religion ou la culture d'une personne que si cette information est pertinente ». La création d'un « délit de harcèlement racial » est aussi proposée.
L’intention du rapport est claire : mettre fin au modèle assimilationniste français pour « ériger le communautarisme en nouveau modèle pour la France » c'est-à-dire appliquer en France le modèle de société et de coexistence américain, faire éclater le modèle national en groupes plus ou moins liés à une histoire commune et qui ne font que cohabiter de façon plus ou moins chaotique sur un même territoire.Qui aurait pu imaginer que la pensée de gauche moderne puisse un jour devenir le promoteur du modèle américain en France ? Est-ce que les élites politiques francaises, même de gauche, sont à ce point sous l'emprise structurelle des réseaux américains comme semblaitl’affirmer cet article ? Cette question avait déjà été soulevée pendant le précédent quinquennat de droite ou l’atlantisme de l’UMP et de ses leaders n’était pas un mystère.Est-ce que « l'intelligentsia globaliste » qui a le pouvoir depuis 1968 dévoile enfin ses intentions ? Y a-t-il un projet d'affaiblissement de la France comme acteur souverain des relations internationales ? Et de destruction de la nation par l’intérieur ? Quoi qu'il en soit, pour les amateurs de complots, ce rapport publié sur le site de la primature française est vraiment du pain béni.La communautarisation programmée de la France ne peut avoir pour conséquence que de provoquer la destruction de l'état nation qui a mis 15 siècles à se construire. Dans une ou deux décennies, si les recommandations des pyromanes qui ont rédigé ce dossier sont appliquées, la France sera une sorte de Liban européen, c'est-à-dire une poudrière explosive de 65 millions d’habitants sur la façade Ouest de l’Europe.Peut être que l’Otan y interviendra pour maintenir un ordre précaire alors que des communautés présentes sur le « territoire hexagonal » seront en guerre à cause de questions religieuses ou ethniques.Le choc des civilisations organisé à domicile, en quelque sorte.Un choc des civilisations qu’il est pourtant encore possible d’éviter à condition que la France reste ce qu’elle a toujours été : Un Etat nation dépositaire de 15 siècles d’histoire royale puis républicaine, et une puissance européenne de premier rang, capable d’assimiler des individus qui souhaitent devenir Français, et non pas des communautés définies sur des bases ethniques ou religieuses.
Le 31 décembre 2099, à la veille du passage à ce XXIIe siècle dont on attendait monts et merveilles et qui se révéla ni plus ni moins décevant que la plupart de ceux qui l'avaient précédé, une commission internationale se réunit à New York, sous l'égide des Nations unies, afin d'élire celle que la communauté mondiale considérait comme la femme du XXIe siècle. Le délégué sud-africain, sans même attendre son tour de parole, qui venait au 23e rang, car l'ordre des interventions était alphabétique, personne n'étant parvenu à se décider pour un autre au cours des nombreuses réunions préparatoires qui s'étaient succédé pendant une demi-douzaine d'années, se leva et cita tout de suite le nom du docteur Angella Maputo, qui avait découvert en 2074 le vaccin contre l'abominable sida. Il y eut quelques applaudissements, cette invention ayant sauvé depuis lors la vie de dizaines de millions de personnes, notamment sur le continent africain, mais le président de la séance rappela, à la satisfaction de nombreux délégués, le Sud-Africain à l'ordre. Celui-ci se tut et se rassit.
Le délégué albanais parla en premier. Il soutenait la candidature de Martina Parmük, la présidente albanaise morte assassinée à Tirana en 2083 après avoir éradiqué la prostitution et le trafic de drogue de ce qui était désormais, grâce à elle, le plus ravissant et le plus calme petit pays de la péninsule balkanique. La déléguée belge évoqua le rôle du docteur Marguerite Van der Plaetsen, qui, en 2051, avait dirigé l'équipe internationale ayant mis un terme à la terrifiante maladie d'Alzheimer. Grâce à la molécule dite désormais la molécule Van der Plaetsen, la plupart des alzheimeriens, dans tous les pays du monde, avaient retrouvé la mémoire, ce qui fut du reste un choc pour beaucoup d'entre eux. Ils se rendirent compte qu'il y avait des choses et surtout des gens qu'en fait ils préféraient avoir oubliés. Le délégué canadien souligna, de son côté, le rôle du professeur Nicole Bois-Forêt, Québécoise qui avait conçu et popularisé le concept de paix mondiale permanente grâce auquel la guerre entre nations comme à l'intérieur de chacune d'elles était désormais interdite : adopté non sans mal par le Conseil de sécurité en 2072, l'article dit Bois-Forêt avait assuré, depuis presque trente ans, la tranquillité de tous. La déléguée danoise présenta les travaux du docteur Genevra Christiansen, à qui l'humanité doit la fameuse pilule Gravia : donnée à tous les délinquants sexuels répertoriés, elle leur ôte à 99 % toute volonté de récidiver. Du coup, la planète avait été délivrée, dès l'année 69, de ce fléau, le viol, qui avait empoisonné les relations hommes-femmes depuis le début de l'humanité. L'Espagnole eut beau mettre en avant le rôle d'Aline Santa-Anna dans la découverte de l'antivirus informatique parfait grâce auquel, depuis 2027, plus aucun ordinateur ne buguait, il suffit au délégué français, Gilles Hollande, lointain descendant de l'ancien président de la République française, de prononcer le nom de Christiane Taubira pour qu'un grand silence dévot s'installât dans la grande salle aux murs de porphyre et que, par acclamations et sans qu'on prît la peine d'écouter les autres délégués, y compris le Sud-Africain qui rongeait son frein, la Française fût élue femme du XXIe siècle
Edouard Martin, c’est un ouvrier comme on en voit encore dans les films. Une belle et grande gueule, un leader théâtral aux convictions d’acier, prêt à mettre ses tripes sur la table pour sauver une sidérurgie en perdition bradée à un géant indien peu sensible au romantisme du personnage et à la survie de l’acier lorrain. L’annonce de la candida-ture du syndicaliste aux élections européennes suscite un déluge de réactions. Lui assume et n’entend pas se battre couché. Il a remporté une première victoire en exigeant la tête de liste. Avec lui, larmes et sueur sont garanties sur facture ! Un ouvrier en porte-drapeau du Parti socialiste, on n’avait pas vu cela depuis des lustres. C’est l’œuvre en coulisse de la ministre Aurélie Filippetti. Jeune norma-lienne, elle avait signé ,voici 10 ans, le livre « Les derniers jours de la classe ouvrière ». Voici un quart de siècle en Lorraine, le cédétiste Jacques Chérèque avait déjà fait le même voyage en politique. Comme José Bové des années plus tard. Bien entendu, quelques syndicalistes rivaux déglutissent leur frustration. C’est oublier que la CFDT est un syndicat réformiste. Pour une fois, le PS ne dégaine pas un apparatchik ou un fonctionnai-re en détachement. Leur ouvrier ne manquera pas d’allure, ce qui galvanisera le choc des Européen-nes dans le Grand Est avec le jeune frontiste Florian Philippot ou Nadi-ne Morano dont la candidature est contestée à l’UMP. L’égérie sarko-zyste dénonçait hier « la récom-pense » obtenue par Edouard Martin. C’est à se demander qui ne sera pas vraiment un cadeau pour l’autre...
Sapristi de saperlipopette de sabre de bois, notre système de santé que le monde nous envie aurait des failles dans lesquelles s’engouffreraient d’abominables capitalistes cupides, médecins mercenaires capables de tout pour une poignée d’euros ! Heureusement, l’omerta vient de se briser : haro sur le médecin intérimaire !
L’offensive est donc lancée sur ces abominations modernes. À l’évidence cupides et veules, les médecins intérimaires sont dans le collimateur de la puissance publique qui n’en peut plus de nourrir en son sein de si affreux parasites ! Certains trouveront ici que je vais trop loin ? Et pourtant, il suffit de lire les titres consacrés par la presse à ce palpitant sujet : on y découvre que ces médecins intérimaires sont « la plaie de l’hôpital public » (comme les maladies nosocomiales et les repas froids de la cantine, je suppose), qu’ils sont « trop nombreux et trop chers » (comme les IRM je présume, même si, par habitant, on n’en a pas autant en France qu’en Turquie), et que ces abominables mercenaires gagnent pornographiquement bien leur vie « jusqu’à 15 000 euros par mois ».
Le tableau est donc dressé et il n’y faudra voir aucun doute : cette histoire de médecin intérimaire dans les hôpitaux publics, ça suffit, trop c’est trop et y’en a marre des cadences infernales des mercenaires de la santé ! Non mais. Heureusement qu’un rapport parlementaire aura permis de mettre à jour cette pratique honteuse digne des heures les plus bassement matérialistes de notre histoire. Ce rapport indique ainsi que les médecins intérimaires touchent entre 600 et 800 euros nets pour une journée de travail, quand leurs collègues titulaires gagnent seulement 260 euros. Impossible de se payer un parcours de golf décent avec une telle misère, on en conviendra aisément. Et surtout, cela représente, tous frais chargés, un coût de 1370 euros pour l’hôpital, soit en gros le triple des coûts d’un praticien titulaire. Le total de la facture fait frémir (pas autant que la CMU et l’AME, hein, mais tout de même) : 500 miyons, qui vont donc de la poche de tous les contribassurés sociaux contributeurs nets de la Sécu vers la poche des intérimaires qui font une jolie culbute dans l’opération.
Le rapport pointe en outre le silence et l’opacité des chiffres sur le nombre précis de ces médecins intérimaires. « Aucune structure nationale n’a de compétence pour les répertorier », souligne le rapport, avançant le chiffre de 6000 praticiens, et qui sent déjà bon la création d’une telle structure, abondée avec l’argent du contribuable si heureux de pouvoir faire faire un bond aux dépenses publiques.
Ceci posé, on peut se demander ce qui fait que les hôpitaux publics emploient ce genre de médecins intérimaires puisque ces établissements sont relativement exsangues compte tenu des finances étatiques rachitiques et de leur gestion catastrophique sur une bonne poignée de décennies. Que peut bien les pousser à pactiser ainsi avec la lie de la médecine de mercenariat ? Qu’est-ce qui justifie ces roulades joyeuses dans la fange du capitalisme le plus honteux ? Et, d’un autre côté, comment des humains normaux peuvent-ils à ce point se vautrer dans le goût du lucre et de l’argent facile pour ainsi postuler à ces alléchantes propositions ?
Oh oh. Ne dirait-on pas là un marché qui s’organise ? Ne voit-on pas ici un parfait exemple d’offre et de demande dans laquelle l’État n’a pas encore mis son gros museau humide afin d’y mettre un terme ou, bien plus probablement encore, afin d’organiser une bonne petite ponction des familles sauce taxation ? Et ce marché parallèle ne s’organise-t-il pas en conséquence d’une précédente distorsion, que l’État, dans son habituelle balourdise en service commandé, aura lui-même provoquée ?
Force est cependant de constater qu’une des raisons invoquées pour la présence de ces intérimaires est celle d’un manque chronique plus ou moins fort de médecins en poste. Pourtant, l’État lui-même organise la « production de médecins », i.e. c’est à lui, et via le Conseil de l’Ordre, que revient de déterminer le nombre « optimal » de médecins qui arrivent sur le marché français grâce au numerus clausus. Surprise : ce marché planifié foire ! Voilà qui est surprenant puisque chacun sait qu’une économie planifiée fonctionne à tout coup, d’habitude. Et pourquoi donc le numerus clausus est-il si mal calculé ? Peut-être serait-ce à la suite d’un choix, aussi corporatiste que compréhensible, de la part des médecins eux-mêmes qui n’entendent pas trop partager le marché en un trop grand nombre de confrères… Peut-être ces médecins et cet Ordre ont-ils l’oreille attentive des députés et des sénateurs qui votent les lois, d’autant plus qu’un nombre conséquent de ces élus proviennent justement de leurs rangs ? Vous ne croyez pas ?
Intéressante hypothèse de travail qui amènerait à constater qu’un groupe de citoyens, bien introduits auprès des dirigeants et de ceux qui écrivent les règles, aurait ainsi mis en coupe réglée une partie du marché français des soins à son profit personnel et exclusif, ne trouvez-vous pas ? Serait-ce à ce point nouveau qu’on ne puisse y croire ?
Et quelle solution proposer devant ce constat ? Quelle pourrait être la bonne idée qui décoincerait un peu le problème ? Les bonnes idées des députés coulent à flot puisque 14 propositions se retrouvent dans le rapport ; on trouve notamment celle de la mise en place d’une jolie charte, pour assurer une bonne qualité de soins pour les sociétés de recrutement et d’intérim, parce qu’une charte, mon cher lecteur, ma tendre lectrice, c’est l’assurance qu’une fois signée, ça va glisser comme sur des roulettes, comme pour la viande de « bœuf » dans les lasagnes ou les pousses de soja bio qui font du bien à ceux qui n’en mangent pas.
Et bien évidemment, l’idée qui va tout changer, c’est celle qui consiste à plafonner les rémunérations de ces médecins.
Ici, il faudrait une tempête de petits facepalms rigolos, des simples, doubles et triples fails joliment illustrés pour bien transmettre l’idée que l’ont peut se faire d’une idée aussi pathétiquement ridicule. Il faut, je crois, être un député républicain français ou un bedonnant sénateur de la même eau pour arriver à pondre une décoction de jus de cerveau malade telle que celle que vous venez de lire pour essayer de faire croire, de loin et avec un verre dans le nez, qu’on est en train d’essayer de résoudre le problème en question. C’est proprement consternant et il n’est pas dit qu’une telle stupidité ne soit pas, un jour, sanctionnée d’un World Record Guiness Book.
En effet, tout gamin un peu attardé, même ayant passé ses tendres années dans l’enfer gluant de l’Édulcoration Nationale et ayant subi la méthodeapproximative globale pour la lecture, l’écriture et le calcul, comprendrait immédiatement que plafonner les rémunérations de ces médecins ne résoudra absolument pas le problème, mais que ça va immédiatement entraîner d’autres problèmes plus graves encore, notamment celui d’une pénurie de médecin, qu’on souhaiterait vraiment aigüe au point que l’un des auteurs de cette proposition ridicule clabote misérablement dans un hôpital républicain justement dépouillé par l’application de cette mesure inepte.
Oui, vous avez bien lu qu’encore une fois, lorsqu’un marché s’organise pour pallier la pénurie sciemment organisée par l’État qui agit ici pour le compte de l’Ordre des Médecins, la seule réponse que nos élus trouvent consiste à aller saboter le nouveau marché. L’apprentissage par l’erreur, ce n’est que pour les autres : ici, nos producteurs compulsifs de colombins législatifs n’ont pas compris ou voulu admettre que la pénurie venait à la base de l’organisation planifiée et défaillante du marché de la médecine en France, et pour tenter de corriger les symptômes sans s’attaquer à la maladie, ces andouilles décident d’aggraver le symptôme.
Et pour cela, on en reviendra aux arguments habituels : ce sont de gros profiteurs, ces salauds d’intérimaires, tout de même (jusqu’à 15.000 euros par mois, les vilains !) et surtout, ils posent des risques parce qu’ils ne connaissent pas bien les procédures, les hôpitaux, les personnels qui travaillent là régulièrement. Je cite le consternant Olivier Véran, socialiste assumé :
« Le marché s’est emballé, remettant en cause par endroits la qualité, la continuité, la sécurité des soins. Pour autant, il est difficile de déterminer si la multiplication des missions temporaires s’accompagne d’un sur-risque pour les malades. Ce qui est certain, c’est que l’intérimaire ignore tout ou presque des procédures propres à chaque établissement. »
Les rapporteurs insinuent donc gentiment que la puissance publique se retrouve à payer des fortunes pour des praticiens approximatifs voire dangereux, mais ne vous inquiétez surtout pas, votre argent et votre santé, entièrement dans leurs mains, sont en sécurité. Respirez lentement et dites 33.
Peu importe ici qu’il y ait un vrai marché avec une offre et une demande logique, comme les cas de médecins temporaires pour des besoins saisonniers du côté des hôpitaux, et les cas des médecins qui ne peuvent pas être disponibles pour des contrats classiques pour des raisons personnelles, familiales ou autres. Peu importe que le problème soit à la base créé par une régulation parfaitement inadaptée. Peu importe que la solution apportée soit à l’évidence pire que le problème initial.
Il faut comprendre une chose en filigrane du battage médiatique auquel nous assistons maintenant : l’État n’a plus une thune et cherche tous les moyens de couper toutes les dépenses, et de récupérer tout ce qu’il peut pour tenir. Ici, ce sont les médecins intérimaires. La semaine prochaine, qui sait ? Cet Etat sent mauvais, il sent la gangrène et la cessation de paiement.
Le journal du soir augmente son prix de vingt centimes l’année prochaine. La nouvelle a été annoncée lors du conseil de surveillance du groupe Le Monde, mardi.
Le quotidien « Le Monde » va augmenter son prix de vingt centimes en janvier prochain à deux euros. La nouvelle a été annoncée lors du conseil de surveillance du groupe qui s’est tenu mardi.Le quotidien du soir ne serait cependant pas le seul à augmenter son prix, d’autres y travaillent. Notamment le journal « Les Echos » qui pourrait être vendu dix centimes de plus, atteignant aussi deux euros, en janvier.
D’après nos informations, le groupe Le Monde (« Télérama », « Courrier International »...) prévoit une perte d’exploitation de 3,8 millions d’euros cette année, après deux années bénéficiaires, dans un marché difficile pour toute la presse. Le chiffre d’affaires du groupe devrait s’inscrire en recul de 4,5 % sur un an, à 344 millions d’euros. Selon l’AFP, le résultat net du groupe sera déficitaire de l’ordre de 2 millions d’euros, après un déficit net de 1,1 million en 2012.
Ventes en recul
Invité lundi de l’Association des journalistes médias, Louis Dreyfus, président du directoire du Monde, avait précisé avoir « dû faire face à une baisse brutale des recettes publicitaires à partir d'octobre ». Comme pour tous les quotidiens, les ventes au numéros du « Monde » sont en recul, alors que les ventes numériques progressent. Le quotidien devrait voir ses ventes globales reculer de 2,5 % en 2013 (276.094 exemplaires en octobre).
Au sein du groupe, l’imprimerie du « Monde », déficitaire de 2,5 à 3 millions d’euros, pèse sur les comptes. En revanche, l’hebdomadaire culturel « Télérama » affichera «une rentabilité positive de 7 millions d’euros » cette année. Le groupe prévoit de nouvelles mesures d’économie, notamment au sein de son imprimerie. Il projette aussi de renégocier son contrat de prestation avec Publicis qui détient 34 % de sa régie publicitaire. Le groupe a déjà acté le non renouvellement des CDD, ou encore le non remplacement des départs naturels.
AVEC LES SUBVENTIONS QUE REÇOIT CE JOURNAL, JE SUIS ÉTONNÉ QU'IL AIT UN COMPORTEMENT AUSSI CAPITALISTE...SUPPRIMER LES CDD !
Il y a peu, Nicolas Sarkozy confessait à des proches que son éventuel retour en politique ne serait pas dicté par une question d'envie ou non, mais relèverait de la « fatalité ». Manière de soumettre son avenir à la force du destin et à la survenance d'événements le rendant indispensable au pays. Au-delà de l'assujettissement vaguement narcissique à la théorie de « l'homme providentiel », Nicolas Sarkozy a oublié que c'est aussi cette même « fatalité » qui pourrait, à l'inverse, entraver son « come back ». Parce qu'il y a aussi quelque chose de fatal dans les ennuis qui s'abattent sur ses très proches.
Les mises en garde à vue de Claude Guéant, son ancien ministre de l'Intérieur, et de Michel Gaudin, son actuel directeur de cabinet, sont évidemment fâcheuses pour l'ex-président. Malgré les coïncidences entre les rumeurs accentuées de retour en politique de Sarkozy et les auditions de ses « amis », malgré aussi le recours à une procédure inutilement spectaculaire, on ne cédera pas au soupçon d'instrumentalisation de la justice par le pouvoir socialiste.
Mais on a déjà là la préfiguration du tour détestable que prendrait le débat si Sarkozy revenait dans le jeu, avec toutes les affaires encore pendantes où il est visé directement ou indirectement. On imagine quel climat délétère résulterait des accusations réciproques entre la gauche et la droite. Et l'on devine qui, une fois encore, en profiterait. Le coup serait d'abord fatal pour l'image déjà bien dégradée de la politique. Ce n'est pas pour autant que le « cas Guéant » doive être occulté.
Parce que l'ancien ministre de l'Intérieur campait dans l'attitude austère de premier flic inflexible, il se devait d'être exemplaire. Sa défense, d'une confondante stupidité, à moins que ce ne soit une inconscience nourrie par une perte de sens des réalités, renvoie au devoir éthique et de transparence des politiques. L'opacité longtemps entretenue autour des fonds spéciaux ministériels, des versements de primes en liquide non déclarées, engendrent chez le citoyen, un sentiment de rejet. Il est possible que Claude Guéant ait abusé du système. Mais il est certain que la gabegie étatique le dépasse.
Comme tous les rites sociaux, Noël nous dit beaucoup sur une France qui, après avoir crié famine des mois durant, prépare ses agapes à l’ombre des sapins de la tradition. En 2012, près de 500.000 tablettes s’étaient glissées parmi les cadeaux. La plupart des études s’accordent sur une donnée : le chiffre devrait en être doublé cette année. Plus qu’une mode, un vrai phénomène de société. Car ce succès scelle définitivement la victoire de l’écran sur une génération de parents qui s’est battue pour que sa progéniture ne passe pas ses journées de la console de jeux, à l’ordinateur en passant par la télévision… avant de revenir à la console de jeux. Car la tablette, forme la plus aboutie de l’invasion numérique, relève un peu, voire beaucoup, de tout cela. Des États-Unis, qui nous dessinent souvent et à l’excès le monde de demain, arrive d’ailleurs un produit effrayant : un couffin doté d’un écran. Pourtant, pédopsychiatres et spécialistes posent comme garde-fou une stricte règle de trois : pas d’écran avant trois ans (il y a danger pour les yeux), pas de tablette seul avant six et, surtout, pas de connexion internet sans surveillance avant neuf. Des protections qui, à beaucoup, paraîtront minimales.
Vivement qu'il n'y ait plus d'entrepreneur en France, plus de créateurs de richesse pour que l'on s'aperçoive enfin que l'argent ne pousse ni dans les champs, ni dans les ministères, mais que la richesse se créée avec de l'énergie, du talent, et surtout 95% de sueur, et aussi de la prise de risque. Entre temps, on sera passé à 10 millions de personnes avec un travail précaire. Ras le bol de vivre dans un pays ou la réussite est systémariquement mise sur le dos de la chance et pas du travail.
IL N'Y A QU'EN FRANCE OÙ L'ON PEUT SE PERMETTRE DE TELLES BÊTISES LA FRANCE AUX FRANÇAIS.
JUSTICE
Jean-Marc Ayrault - Député socialiste, Maire de Nantes, président de la communauté urbaine de Nantes Métropole, condamné le 19 décembre 1997 à 6 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende, pour "délit de favoritisme dans l'attribution d'un marché public".
Arnaud Montebourg - Ministre du Redressement Productif, président du Conseil Général de Saône-et-Loire, condamné le 23 mai 2012 par le tribunal de grande instance de Paris à 1 euro de dommages et intérêts à verser à chacun des cinq demandeurs et 3000 euros au titre des frais de justice pour "injure publique". Il a fait appel de ce jugement.
QUELQUES VÉRITÉS
Il n'y a pas lieu de désespérer parce que comme l'a dit Margaret Thatcher :"Le socialisme ne dure que jusqu'à ce que se termine l'argent des autres"
INAPTOCRATIE : un système de gouvernement où les moins capables de gouvernersont élus par les moins capables de produire et où les autres membres de lasociété les moins aptes à subvenir à eux-mêmes ou à réussir, sontrécompensés par des biens et des services qui ont été payés par laconfiscation de la richesse et du travail d'un nombre de producteurs endiminution continuelle.
A l'école primaire des socialistes, on apprend les 4 opérations :
- L'addition des impôts - La soustraction des revenus - La multiplication des fonctionnaires et des immigrés - La division du travail.
Aux élections prochaines, votez pour Ali Baba. Au moins vous serez sûrs de n'avoir que 40 voleurs. JEAN D'ORMESSON
COMPTE À REBOURS
AVANT DE LE FOUTRE À LA PORTE, ÇA FAIT DÉJÀ TROP LONGTEMPS QU'IL FAIT DES DÉGATS....CASSE TOI PAUV'CON !!!!!
« Le gouvernement a un bras long et un bras court ; le long sert à prendre et arrive partout, le bras court sert à donner, mais il arrive seulement à ceux qui sont tout près. »
Ignazio Silone
Les socialistes aiment tellement les pauvres qu’ils en fabriquent
C’est moi qui maîtrise la rareté de ma parole politique, pour dire des choses intelligentes quand j’ai besoin de les dire. — Ségolène Royal
J’étais partisan du non, mais face à la montée du non, je vote oui — Manuel Valls
«Le “canard boiteux” n'est pas à Florange, mais à Matignon! Il n'y a ni cap, ni vision.»RACHIDA DATI
La droite et la gauche, ce n’est pas la même chose — Pierre Mauroy
Le capitalisme, c’est l’exploitation de l’homme par l’homme. Le syndicalisme, c’est le contraire — Henri Jeanson
Même quand je ne dis rien, cela fait du bruit — Ségolène Royal
Stéphane Hessel à propos de Hollande:
"On n'en fera pas un Roosevelt !"
Le plus souvent, la liberté d’expression est mal comprise : chacun la revendique pour soi et pour ses amis, c’est-à-dire pour ceux dont on partage les opinions. Il s’agit de la liberté d’expression facile, qui donne lieu à un rituel de célébration inlassablement renouvelé. Mais la défense de la liberté d’expression au sens fort est plus rare. Elle devient en effet plus difficile à pratiquer dès qu’il s’agit d’exiger cette liberté pour ceux qui sont attachés à des idées très différentes, voire totalement opposées à celles que l’on chérit soi-même. C’est alors que la liberté d’expression prend toute sa signification politique : elle devient un combat pour autrui. Pour que « l’autre » puisse professer des opinions auxquelles je suis hostile. Robert Redeker
Etre homme politique, c’est être capable de dire à l’avance ce qui va arriver demain, la semaine prochaine, le mois prochain et l’année prochaine. Et d’être capable, après, d’expliquer pourquoi rien de tout cela ne s’est produit. — Winston Churchill
Quand un politicien se touche le visage il dit la vérité, quand il se gratte l’oreille il dit la vérité, quand il lève le pouce il dit la vérité ; c’est quand il remue les lèvres qu’il ment. — Baptiste Foisy
FRANCE SOCIALISTE
CONTRE LA PENSÉE UNIQUE SOCIALISTE
Nous ne pouvons, nous ne pourrons jamais l'aimer ce nouveau président, qui nous scrute comme si nous étions de mauvais citoyens. Aucune de ses paroles ne me rassure car il est contre mes valeurs. Rien ne pourra me le faire aimer car il a été élu pour de mauvais motifs. Je me sens déjà trahi par ses mensonges par exemple la république irréprochable, alors que son gouvernement ne l'est en rien [...], ou le non cumul des mandats, trahi par son comportement à l'égard de Nicolas Sarkozy et ses gestes ou ses discours équivoques au sein même de l’Élysée, (quelle inélégance à l'égard des 48,7 % de Français), trahi par sa déontologie mesquine et ses états d'âmes moralisateurs, quand on sait que la gauche aime se parer de vertu mais est rarement probe, trahi par cet imposteur de la république, ce petit président, cet énarque élitiste qui veut nous faire croire qu'il aime les gens, qu'il aime le peuple, alors qu'il nous méprise et ne s'adresse qu'à ses amis, trahi parce qu'il brosse tout le temps dans le sens du poil, mais d'économie jamais il ne parle, trahi parce qu'il a su retourner l'opinion en sa faveur grâce à la complicité des journalistes qui ont relayé l'antisarkozysme primaire à longueur d'éditos oiseux [...].Tout cela ressemble à de la petite politique. Augurons qu'il démissionne en proie aux difficultés, ou une cohabitation avec un premier ministre réformiste, ou dans le pire des cas pour nous qu'il soit battu dans 5 ans. Je ne lui souhaite en aucun cas toute la réussite parce que cette réussite ne saurait être celle de la France notre nation, il va insidieusement après avoir pris les commandes de l'ensemble des pouvoirs de la république, lui et ses amis, contribuer à la socialisation lente, rampante, sournoise des esprits.
PHILIPPE BOUVARD
LA VÉRITABLE "EXCEPTION FRANÇAISE": CE SONT LES MÊMES CITOYENS QUI DÉPLORENT QU'UN GOUVERNEMENT N'AIT PAS CONCRÉTISÉ DAVANTAGE DE PROJETS ET QUI, À LA PREMIÈRE VELLÉITÉ DE RÉFORME, DESCENDENT DANS LA RUE