Comme un flottement d’Egypte
Enfin l’Egypte ! Il a fallu attendre le Premier ministre... japonais, Naoto Kan, pour entendre parler Egypte sur scène. Difficile pour le Forum d’organiser en "live" un débat sur des événements en cours. Même si Mohamed El Baradei, l’ancien patron de l’Agence atomique internationale, considéré comme l’opposant le plus crédible au président Hosni Moubarak, est un habitué du Forumv : il est cette fois-ci dans son pays, jouant une partie risquée.
Le Premier ministre japonais, donc, a invoqué des liens anciens de son pays avec l’Egypte pour déclarer qu’il espérait " que le gouvernement ouvrira le dialogue avec le plus grand nombre et lancera très vite des réformes populaires".
Mais si l’Egypte n’est pas sur scène à Davos, elle flotte souvent dans les conversations entre les participants du Forum. Avec inquiétude - la violence, les émeutes de la faim, le risque de récupération par l’islamisme, ou tout simplement la perte d’un marché. Avec espoir aussi - une nouvelle avancée de la démocratie, l’illustration de la puissance des réseaux sociaux, ou tout simplement l’ouverture d’un des plus grands marchés au monde jusqu’à présent entravée par une effroyable bureaucratie.
Evidemment, il est trop tôt pour savoir. Mais c’est sûr, l’Egypte sera sur scène l’an prochain. Soit par elle-même, soit dans un débat sur les inégalités.
Enfin l’Egypte ! Il a fallu attendre le Premier ministre... japonais, Naoto Kan, pour entendre parler Egypte sur scène. Difficile pour le Forum d’organiser en "live" un débat sur des événements en cours. Même si Mohamed El Baradei, l’ancien patron de l’Agence atomique internationale, considéré comme l’opposant le plus crédible au président Hosni Moubarak, est un habitué du Forumv : il est cette fois-ci dans son pays, jouant une partie risquée.
Le Premier ministre japonais, donc, a invoqué des liens anciens de son pays avec l’Egypte pour déclarer qu’il espérait " que le gouvernement ouvrira le dialogue avec le plus grand nombre et lancera très vite des réformes populaires".
Mais si l’Egypte n’est pas sur scène à Davos, elle flotte souvent dans les conversations entre les participants du Forum. Avec inquiétude - la violence, les émeutes de la faim, le risque de récupération par l’islamisme, ou tout simplement la perte d’un marché. Avec espoir aussi - une nouvelle avancée de la démocratie, l’illustration de la puissance des réseaux sociaux, ou tout simplement l’ouverture d’un des plus grands marchés au monde jusqu’à présent entravée par une effroyable bureaucratie.
Evidemment, il est trop tôt pour savoir. Mais c’est sûr, l’Egypte sera sur scène l’an prochain. Soit par elle-même, soit dans un débat sur les inégalités.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire