La verte Irlande broie du noir. Ses rugbymen ont pris hier une déculottée contre les Blacks néo-zélandais. Et son économie est au bord du chaos. Et alors ? direz-vous, c'est loin, l'Irlande. Sans doute, mais puisque nous partageons la même monnaie, l'Irlande, c'est la France, et ses malheurs risquent à tout moment de devenir les nôtres. Ils se résument d'un mot, rigueur. On connaît, répondrez-vous… Certes, mais la rigueur « irlandaise » n'a rien de commun : baisse des salaires de fonctionnaires et du salaire minimum, hausses des impôts, réductions des allocations familiales et chômage… L'Irlande est loin, mais déjà plus proche que la Grèce, première touchée. Et après, dans la file des dominos, il y a le Portugal, l'Espagne, puis la France. « Nous sommes confrontés à une crise pour notre survie », dit le président de l'Europe, Herman Van Rompuy. Ce n'est malheureusement pas exagéré.
lundi 22 novembre 2010
Dominos
La verte Irlande broie du noir. Ses rugbymen ont pris hier une déculottée contre les Blacks néo-zélandais. Et son économie est au bord du chaos. Et alors ? direz-vous, c'est loin, l'Irlande. Sans doute, mais puisque nous partageons la même monnaie, l'Irlande, c'est la France, et ses malheurs risquent à tout moment de devenir les nôtres. Ils se résument d'un mot, rigueur. On connaît, répondrez-vous… Certes, mais la rigueur « irlandaise » n'a rien de commun : baisse des salaires de fonctionnaires et du salaire minimum, hausses des impôts, réductions des allocations familiales et chômage… L'Irlande est loin, mais déjà plus proche que la Grèce, première touchée. Et après, dans la file des dominos, il y a le Portugal, l'Espagne, puis la France. « Nous sommes confrontés à une crise pour notre survie », dit le président de l'Europe, Herman Van Rompuy. Ce n'est malheureusement pas exagéré.
La verte Irlande broie du noir. Ses rugbymen ont pris hier une déculottée contre les Blacks néo-zélandais. Et son économie est au bord du chaos. Et alors ? direz-vous, c'est loin, l'Irlande. Sans doute, mais puisque nous partageons la même monnaie, l'Irlande, c'est la France, et ses malheurs risquent à tout moment de devenir les nôtres. Ils se résument d'un mot, rigueur. On connaît, répondrez-vous… Certes, mais la rigueur « irlandaise » n'a rien de commun : baisse des salaires de fonctionnaires et du salaire minimum, hausses des impôts, réductions des allocations familiales et chômage… L'Irlande est loin, mais déjà plus proche que la Grèce, première touchée. Et après, dans la file des dominos, il y a le Portugal, l'Espagne, puis la France. « Nous sommes confrontés à une crise pour notre survie », dit le président de l'Europe, Herman Van Rompuy. Ce n'est malheureusement pas exagéré.
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