Au Maghreb, rien de nouveau. Des jeunes, beaucoup de jeunes, qui rêvent d’un emploi, d’un logement, d’un avenir. Et des vieux qui bouchent l’horizon politique: Abdelaziz Bouteflika, 73 ans dont douze au pouvoir, récemment réélu avec plus de 90% des suffrages; et Zine Ben Ali, 74 ans dont vingt-quatre au pouvoir, récemment réélu à plus de 89%. Non, décidément, rien de nouveau, en Algérie et en Tunisie, sinon les années qui passent à convoiter de loin les promesses de réussite sur l’autre rive de la Méditerranée. Il suffit alors d’un coup de chaud sur les prix de la farine et de l’huile pour que tout s’embrase... La tentation est grande, depuis cette rive, de regarder tout cela de loin. Mais trop de liens nous rattachent à ces peuples. Surtout, ils nous rappellent que le pire, pour un pays, qu’il soit pauvre ou qu’il soit riche, c’est de n’offrir aucun avenir à sa jeunesse.
vendredi 7 janvier 2011
Avenir
Au Maghreb, rien de nouveau. Des jeunes, beaucoup de jeunes, qui rêvent d’un emploi, d’un logement, d’un avenir. Et des vieux qui bouchent l’horizon politique: Abdelaziz Bouteflika, 73 ans dont douze au pouvoir, récemment réélu avec plus de 90% des suffrages; et Zine Ben Ali, 74 ans dont vingt-quatre au pouvoir, récemment réélu à plus de 89%. Non, décidément, rien de nouveau, en Algérie et en Tunisie, sinon les années qui passent à convoiter de loin les promesses de réussite sur l’autre rive de la Méditerranée. Il suffit alors d’un coup de chaud sur les prix de la farine et de l’huile pour que tout s’embrase... La tentation est grande, depuis cette rive, de regarder tout cela de loin. Mais trop de liens nous rattachent à ces peuples. Surtout, ils nous rappellent que le pire, pour un pays, qu’il soit pauvre ou qu’il soit riche, c’est de n’offrir aucun avenir à sa jeunesse.
Au Maghreb, rien de nouveau. Des jeunes, beaucoup de jeunes, qui rêvent d’un emploi, d’un logement, d’un avenir. Et des vieux qui bouchent l’horizon politique: Abdelaziz Bouteflika, 73 ans dont douze au pouvoir, récemment réélu avec plus de 90% des suffrages; et Zine Ben Ali, 74 ans dont vingt-quatre au pouvoir, récemment réélu à plus de 89%. Non, décidément, rien de nouveau, en Algérie et en Tunisie, sinon les années qui passent à convoiter de loin les promesses de réussite sur l’autre rive de la Méditerranée. Il suffit alors d’un coup de chaud sur les prix de la farine et de l’huile pour que tout s’embrase... La tentation est grande, depuis cette rive, de regarder tout cela de loin. Mais trop de liens nous rattachent à ces peuples. Surtout, ils nous rappellent que le pire, pour un pays, qu’il soit pauvre ou qu’il soit riche, c’est de n’offrir aucun avenir à sa jeunesse.
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