De gauche, comme de droite, le personnel politique français a vivement dénoncé, lundi, les fuites diplomatiques orchestrées dimanche soir par le site WikiLeaks.
Comme ailleurs dans le monde, les révélations de WikLeaks ont fait réagir en France. Pas, toutefois, jusqu'au sommet de l'Etat, l'entourage de Nicolas Sarkozy ayant fait savoir lundi que l'Elysée ne communiquera pas sur ces allégations (peu) diplomatiques étalées sur la place publique dimanche soir. De son côté, le ministère des Affaires étrangères, qui déplore une attitude "irresponsable", de la part du site dirigé par Julian Assange, n'a confirmé "aucun des propos" attribués à des responsables français. "Nous avons indiqué à nos interlocuteurs notre disposition à travailler ensemble sur les conséquences" de cette mise à nu, a déclaré le porte-parole du Quai d'Orsay, Bernard Valero.
Parmi les plus de 250.000 télégrammes diplomatiques mis au jour par WikiLeaks, plusieurs centaines concernent la France, alors que d'autres devraient être publiés dans les jours qui viennent. On y apprend, notamment, que pour la diplomatie américaine, Nicolas Sarkozy est un leader "autoritaire" et "susceptible", ou encore qu'il est un "roi nu" sur la scène internationale. D'autres documents prêtent à Jean-David Levitte, sherpa du président français sur la scène internationale, des propos très crus. Le conseiller diplomatique de l'Elysée estime ainsi que l'Iran est un Etat "fasciste" ou que le chef de l'Etat vénézuélien, le populiste Hugo Chavez, est "fou".
"La tyrannie de la transparence est sans limite"
Face à cette avalanche d'informations, relayées en France par Le Monde, François Baroin, premier ministre à réagir lundi matin, a estimé sur Europe 1, que les révélations de WikiLeaks "non seulement portent atteinte à l'autorité des Etats (...) mais mettent en danger des hommes et des femmes qui travaillent à la sécurité de leurs pays". Le ministre du Budget, également porte-parole d'un gouvernement "évidemment préoccupé" par la situation, s'est déclaré "très solidaire de l'administration américaine". "La
protection des Etats, c'est quelque chose de sérieux", a encore estimé le colocataire de Bercy.
Toujours dans les rangs de la majorité, Jean-François Copé s'est fait, lui, le défenseur de la "part de confidentialité" qui doit exister "en matière de diplomatie". "Le dévoilement tous azimuts, sans tri particulier, de télégrammes de diplomates pose un vrai problème", a ajouté le nouveau patron de l'UMP, au micro de France Inter. "On touche là des domaines qui peuvent mettre en péril la sécurité des personnes et, au-delà, l'efficacité des relations diplomatiques par rapport aux combats que nous menons pour la paix et pour la sécurité", a-t-il conclu, rejoint dans son analyse, une fois n'est pas coutume, par Jean-Christophe Cambadélis pour le PS. Pour le secrétaire national en charge des questions internationales rue de Solferino, les fuites orchestrées par WikiLeaks "sont à l’image de notre époque, la transparence est sans limite et l’irresponsabilité aussi". "Tout doit être vu, révélé, amplifié, déformé, ajoute le député de Paris. La tyrannie de la transparence est sans limite."
Vivement qu'il n'y ait plus d'entrepreneur en France, plus de créateurs de richesse pour que l'on s'aperçoive enfin que l'argent ne pousse ni dans les champs, ni dans les ministères, mais que la richesse se créée avec de l'énergie, du talent, et surtout 95% de sueur, et aussi de la prise de risque. Entre temps, on sera passé à 10 millions de personnes avec un travail précaire. Ras le bol de vivre dans un pays ou la réussite est systémariquement mise sur le dos de la chance et pas du travail.
IL N'Y A QU'EN FRANCE OÙ L'ON PEUT SE PERMETTRE DE TELLES BÊTISES LA FRANCE AUX FRANÇAIS.
JUSTICE
Jean-Marc Ayrault - Député socialiste, Maire de Nantes, président de la communauté urbaine de Nantes Métropole, condamné le 19 décembre 1997 à 6 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende, pour "délit de favoritisme dans l'attribution d'un marché public".
Arnaud Montebourg - Ministre du Redressement Productif, président du Conseil Général de Saône-et-Loire, condamné le 23 mai 2012 par le tribunal de grande instance de Paris à 1 euro de dommages et intérêts à verser à chacun des cinq demandeurs et 3000 euros au titre des frais de justice pour "injure publique". Il a fait appel de ce jugement.
QUELQUES VÉRITÉS
Il n'y a pas lieu de désespérer parce que comme l'a dit Margaret Thatcher :"Le socialisme ne dure que jusqu'à ce que se termine l'argent des autres"
INAPTOCRATIE : un système de gouvernement où les moins capables de gouvernersont élus par les moins capables de produire et où les autres membres de lasociété les moins aptes à subvenir à eux-mêmes ou à réussir, sontrécompensés par des biens et des services qui ont été payés par laconfiscation de la richesse et du travail d'un nombre de producteurs endiminution continuelle.
A l'école primaire des socialistes, on apprend les 4 opérations :
- L'addition des impôts - La soustraction des revenus - La multiplication des fonctionnaires et des immigrés - La division du travail.
Aux élections prochaines, votez pour Ali Baba. Au moins vous serez sûrs de n'avoir que 40 voleurs. JEAN D'ORMESSON
COMPTE À REBOURS
AVANT DE LE FOUTRE À LA PORTE, ÇA FAIT DÉJÀ TROP LONGTEMPS QU'IL FAIT DES DÉGATS....CASSE TOI PAUV'CON !!!!!
« Le gouvernement a un bras long et un bras court ; le long sert à prendre et arrive partout, le bras court sert à donner, mais il arrive seulement à ceux qui sont tout près. »
Ignazio Silone
Les socialistes aiment tellement les pauvres qu’ils en fabriquent
C’est moi qui maîtrise la rareté de ma parole politique, pour dire des choses intelligentes quand j’ai besoin de les dire. — Ségolène Royal
J’étais partisan du non, mais face à la montée du non, je vote oui — Manuel Valls
«Le “canard boiteux” n'est pas à Florange, mais à Matignon! Il n'y a ni cap, ni vision.»RACHIDA DATI
La droite et la gauche, ce n’est pas la même chose — Pierre Mauroy
Le capitalisme, c’est l’exploitation de l’homme par l’homme. Le syndicalisme, c’est le contraire — Henri Jeanson
Même quand je ne dis rien, cela fait du bruit — Ségolène Royal
Stéphane Hessel à propos de Hollande:
"On n'en fera pas un Roosevelt !"
Le plus souvent, la liberté d’expression est mal comprise : chacun la revendique pour soi et pour ses amis, c’est-à-dire pour ceux dont on partage les opinions. Il s’agit de la liberté d’expression facile, qui donne lieu à un rituel de célébration inlassablement renouvelé. Mais la défense de la liberté d’expression au sens fort est plus rare. Elle devient en effet plus difficile à pratiquer dès qu’il s’agit d’exiger cette liberté pour ceux qui sont attachés à des idées très différentes, voire totalement opposées à celles que l’on chérit soi-même. C’est alors que la liberté d’expression prend toute sa signification politique : elle devient un combat pour autrui. Pour que « l’autre » puisse professer des opinions auxquelles je suis hostile. Robert Redeker
Etre homme politique, c’est être capable de dire à l’avance ce qui va arriver demain, la semaine prochaine, le mois prochain et l’année prochaine. Et d’être capable, après, d’expliquer pourquoi rien de tout cela ne s’est produit. — Winston Churchill
Quand un politicien se touche le visage il dit la vérité, quand il se gratte l’oreille il dit la vérité, quand il lève le pouce il dit la vérité ; c’est quand il remue les lèvres qu’il ment. — Baptiste Foisy
FRANCE SOCIALISTE
CONTRE LA PENSÉE UNIQUE SOCIALISTE
Nous ne pouvons, nous ne pourrons jamais l'aimer ce nouveau président, qui nous scrute comme si nous étions de mauvais citoyens. Aucune de ses paroles ne me rassure car il est contre mes valeurs. Rien ne pourra me le faire aimer car il a été élu pour de mauvais motifs. Je me sens déjà trahi par ses mensonges par exemple la république irréprochable, alors que son gouvernement ne l'est en rien [...], ou le non cumul des mandats, trahi par son comportement à l'égard de Nicolas Sarkozy et ses gestes ou ses discours équivoques au sein même de l’Élysée, (quelle inélégance à l'égard des 48,7 % de Français), trahi par sa déontologie mesquine et ses états d'âmes moralisateurs, quand on sait que la gauche aime se parer de vertu mais est rarement probe, trahi par cet imposteur de la république, ce petit président, cet énarque élitiste qui veut nous faire croire qu'il aime les gens, qu'il aime le peuple, alors qu'il nous méprise et ne s'adresse qu'à ses amis, trahi parce qu'il brosse tout le temps dans le sens du poil, mais d'économie jamais il ne parle, trahi parce qu'il a su retourner l'opinion en sa faveur grâce à la complicité des journalistes qui ont relayé l'antisarkozysme primaire à longueur d'éditos oiseux [...].Tout cela ressemble à de la petite politique. Augurons qu'il démissionne en proie aux difficultés, ou une cohabitation avec un premier ministre réformiste, ou dans le pire des cas pour nous qu'il soit battu dans 5 ans. Je ne lui souhaite en aucun cas toute la réussite parce que cette réussite ne saurait être celle de la France notre nation, il va insidieusement après avoir pris les commandes de l'ensemble des pouvoirs de la république, lui et ses amis, contribuer à la socialisation lente, rampante, sournoise des esprits.
PHILIPPE BOUVARD
LA VÉRITABLE "EXCEPTION FRANÇAISE": CE SONT LES MÊMES CITOYENS QUI DÉPLORENT QU'UN GOUVERNEMENT N'AIT PAS CONCRÉTISÉ DAVANTAGE DE PROJETS ET QUI, À LA PREMIÈRE VELLÉITÉ DE RÉFORME, DESCENDENT DANS LA RUE
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