C’est reparti sur l’air de la nostalgie avec John Lennon. Comme un bon vieux rock’n’roll, guitares-basse-batterie, sans oublier le raclement de tiroir-caisse : un film sort le jour-anniversaire, business is business… La nostalgie Lennon, elle se chantonne sur la mélodie de « Imagine », complainte d’un rêveur éveillé. Toujours aussi belle, mais tellement datée. Il n’y avait pourtant pas moins de guerres, en ce temps-là, pas moins de cupidité ni de pauvreté. C’est que la différence, elle n’est pas dans la réalité décrite, mais dans le rêve de Lennon. Imaginez tous les gens partageant le monde, nous dit-il, imaginez la fraternité. Il ne dit pas : faites comme moi, ou rêvez chacun chez vous – non, il chante : rejoignez-nous, et ensemble, nous ferons mieux. C’est dans ce « nous », dans l’affirmation d’un rêve collectif, que résonne toute la nostalgie de Lennon. Pour longtemps, sans doute.
mercredi 8 décembre 2010
Imagine
C’est reparti sur l’air de la nostalgie avec John Lennon. Comme un bon vieux rock’n’roll, guitares-basse-batterie, sans oublier le raclement de tiroir-caisse : un film sort le jour-anniversaire, business is business… La nostalgie Lennon, elle se chantonne sur la mélodie de « Imagine », complainte d’un rêveur éveillé. Toujours aussi belle, mais tellement datée. Il n’y avait pourtant pas moins de guerres, en ce temps-là, pas moins de cupidité ni de pauvreté. C’est que la différence, elle n’est pas dans la réalité décrite, mais dans le rêve de Lennon. Imaginez tous les gens partageant le monde, nous dit-il, imaginez la fraternité. Il ne dit pas : faites comme moi, ou rêvez chacun chez vous – non, il chante : rejoignez-nous, et ensemble, nous ferons mieux. C’est dans ce « nous », dans l’affirmation d’un rêve collectif, que résonne toute la nostalgie de Lennon. Pour longtemps, sans doute.
C’est reparti sur l’air de la nostalgie avec John Lennon. Comme un bon vieux rock’n’roll, guitares-basse-batterie, sans oublier le raclement de tiroir-caisse : un film sort le jour-anniversaire, business is business… La nostalgie Lennon, elle se chantonne sur la mélodie de « Imagine », complainte d’un rêveur éveillé. Toujours aussi belle, mais tellement datée. Il n’y avait pourtant pas moins de guerres, en ce temps-là, pas moins de cupidité ni de pauvreté. C’est que la différence, elle n’est pas dans la réalité décrite, mais dans le rêve de Lennon. Imaginez tous les gens partageant le monde, nous dit-il, imaginez la fraternité. Il ne dit pas : faites comme moi, ou rêvez chacun chez vous – non, il chante : rejoignez-nous, et ensemble, nous ferons mieux. C’est dans ce « nous », dans l’affirmation d’un rêve collectif, que résonne toute la nostalgie de Lennon. Pour longtemps, sans doute.
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