Les sondages ont eu tort, une fois de plus : les Français ne broient pas du noir, les Français ne font pas la gueule, ils font des bébés. Qu’on pardonne ce cocorico sur la levée en masse des poussins tricolores, mais les bonnes nouvelles sont trop rares pour ne pas être saluées. Surtout si les poussins font mentir les têtes d’œuf affirmant que, par temps de crise, le bébé devrait se faire aussi rare que les augmentations de salaire. C’est ne rien connaître de la nature humaine : quand l’argent des plaisirs futiles vient à manquer, le petit bonheur simple et gratuit justement baptisé « café du pauvre » retrouve tous ses attraits – et parfois un bébé en naît. C’est oublier aussi que notre fameux « modèle social français », tant décrié, est plutôt accueillant aux jeunes parents - deuxième cocorico, si vous permettez… Alors, Françaises, Français : faites l’amour, pas la crise !
mercredi 19 janvier 2011
Cocorico
Les sondages ont eu tort, une fois de plus : les Français ne broient pas du noir, les Français ne font pas la gueule, ils font des bébés. Qu’on pardonne ce cocorico sur la levée en masse des poussins tricolores, mais les bonnes nouvelles sont trop rares pour ne pas être saluées. Surtout si les poussins font mentir les têtes d’œuf affirmant que, par temps de crise, le bébé devrait se faire aussi rare que les augmentations de salaire. C’est ne rien connaître de la nature humaine : quand l’argent des plaisirs futiles vient à manquer, le petit bonheur simple et gratuit justement baptisé « café du pauvre » retrouve tous ses attraits – et parfois un bébé en naît. C’est oublier aussi que notre fameux « modèle social français », tant décrié, est plutôt accueillant aux jeunes parents - deuxième cocorico, si vous permettez… Alors, Françaises, Français : faites l’amour, pas la crise !
Les sondages ont eu tort, une fois de plus : les Français ne broient pas du noir, les Français ne font pas la gueule, ils font des bébés. Qu’on pardonne ce cocorico sur la levée en masse des poussins tricolores, mais les bonnes nouvelles sont trop rares pour ne pas être saluées. Surtout si les poussins font mentir les têtes d’œuf affirmant que, par temps de crise, le bébé devrait se faire aussi rare que les augmentations de salaire. C’est ne rien connaître de la nature humaine : quand l’argent des plaisirs futiles vient à manquer, le petit bonheur simple et gratuit justement baptisé « café du pauvre » retrouve tous ses attraits – et parfois un bébé en naît. C’est oublier aussi que notre fameux « modèle social français », tant décrié, est plutôt accueillant aux jeunes parents - deuxième cocorico, si vous permettez… Alors, Françaises, Français : faites l’amour, pas la crise !
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