TOUT EST DIT

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samedi 12 octobre 2013

Elisabeth Bousquet, ou la victime passée sous silence

Dernièrement, on a beaucoup parlé d’Hamida Djandoubi, le dernier condamné à mort de France, guillotiné à Marseille en septembre 1977. On s’est épanché de remords quant à la peine capitale, avec une description larmoyante de la longue attente du meurtrier dans sa salle d’exécution. La foule de détails avec laquelle la scène est racontée nous présente un condamné victime de la société, impuissant face à la machinerie étatique qui s’est mise en tête de broyer une vie humaine qui, après tout, valait la peine d’être vécue. L’article du Monde est à ce sujet tout à fait insistant, mettant en avant la fragilité de la vie d’un homme ordinaire face à la dureté d’une justice d’un « autre temps ». Il est évident que les deux courants qui s’opposent sur la peine de mort ont tous deux des arguments valables. La liberté est laissée à chacun de juger de la chose en son âme et conscience.


Toutefois, une chose tout à fait révoltante, que l’on soit pour ou contre la peine capitale, est le silence total concernant la victime des crimes à l’origine du destin d’Hamida Djandoubi. On n’y apprend pas même son nom, ce qui est un comble de mépris à l’égard de cette victime de la folie furieuse de cet assassin.
Cette femme, c’est Elisabeth Bousquet, une des nombreuses conquêtes du futur bourreau. Alors que ce dernier avait pour habitude de prostituer les filles qu’il contrôlait, Elisabeth refusa de céder aux menaces de son amant de l’époque. Hors de lui, il l’insulte, la bat et finit en prison.
Dès sa sortie, en juillet 1974, il l’enlève. Arrivé chez lui, il la jette à terre, la frappe, l’assomme et la viole. Comble de barbarie, il lui brûle les seins et le sexe avec le bout de sa cigarette. La femme gît au sol, et le tortionnaire l’asperge d’essence avant de tenter de l’enflammer. Voyant que cela ne prend pas, il emporte le corps de la malheureuse dans son cabanon, et l’y étrangle, sous les yeux de deux mineures qu’il prostituait.
Se focaliser sur l’assassin et son parcours, pour ensuite combattre la peine de mort, a eu pour effet un abandon mémoriel de la victime de la part de nos médias. On y défend maintenant le malfaisant, qu’on victimise au nom d’une idéologie droit de l’hommiste qui se contredit elle-même.
À quand un article du Monde en mémoire à la mort tragique d’Elisabeth Bousquet ? Où sont les revendications féministes qui habituellement fusent dans de telles situations ? Citoyens, Citoyennes, ne laissons pas la désinformation triompher au nom d’une idéologie immorale !


Mais que font les féministes


Dernièrement, la médiacratie nous a beaucoup parlé d’Hamida DJANDJOUBI, le dernier condamné à mort de France, guillotiné à Marseille en septembre 1977.

C’est la larme à l’œil que l’Immonde nous a décrit la longue attente de ce pauvre homme victime de la société, face à la dureté d’une justice d’un « autre temps ».

Mais personne ne nous a parlé d’Elisabeth BOUSQUET la victime de ce bourreau sanguinaire et on s'étonnera du mutisme de BELKACEM.
Hamida DJANDJOUBI prostituait les filles qu’il séduisait.
Elisabeth refuse de céder aux menaces de son amant de l’époque.

Hors de lui, il l’insulte, la bat et finit en prison.
Dès sa sortie de prison, en juillet 1974, il l’enlève. 
Arrivé chez lui, il la jette à terre, la frappe, l’assomme et la viole. 
Comble de barbarie, il lui brûle les seins et le sexe avec le bout de sa cigarette. La femme gît au sol, et le tortionnaire l’asperge d’essence avant de tenter de l’enflammer. Voyant que cela ne prend pas, il emporte le corps de la malheureuse dans son cabanon, et l’étrangle, sous les yeux de deux mineures qu’il prostituait.
Je pense qu’on aurait dû le faire écarteler après lui avoir brisé les os mais DELANOE est bien capable de nous baptiser une rue de PARIS du nom d’Hamida DJANDJOUBI.

Longeval







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