TOUT EST DIT

TOUT EST DIT
ǝʇêʇ ɐן ɹns ǝɥɔɹɐɯ ǝɔuɐɹɟ ɐן ʇuǝɯɯoɔ ùO

dimanche 24 octobre 2010

IL NE DIRA PLUS QUE MARTINE AUBRY EST UNE GROSSE VACHE .

Georges Frêche est mort
 Le président du Conseil régional de Languedoc-Roussillon, Georges Frêche, est mort d'un arrêt cardiaque à l'âge de 72 ans, dimanche après-midi 24 octobre, à Montpellier, a annoncé le sénateur Robert Navarro, confirmant une information du journal Midi Libre.
 Figure controversée et incontournable de la vie politique languedocienne, Georges Frêche présidait la région depuis 2004. L'ancien député-maire de Montpellier avait été réélu en mars à la tête à la tête du conseil régional, après avoir largement dominé le second tour du scrutin des régionales, réunissant 54,19 % des suffrages, devant l'UMP (26,43 %) et le FN (15,67 %). La campagne avait été marquée notamment par son bras de fer avec le PS, qui l'avait exclu de ses rangs en 2007 pour ses dérapages verbaux, et lui avait opposé une liste conduite par Hélène Mandroux, maire de Montpellier.
Né en 1938 dans le Tarn, élu pour la première fois maire de Montpellier en 1977, Georges Frêche était aussi un spécialiste de l'histoire de droit romain, qu'il enseignait à l'université Montpellier-1, dont il était professeur honoraire.
Il avait fait la une de l'actualité récemment en inaugurant en grande pompe cinq statues des "grands hommes", dont celle de Lénine. Habitué des propos polémiques et de la provocations, il avait qualifié en novembre 2005, de "gugusses" les parlementaires socialistes ayant proposé l'abrogation de l'article de loi sur les rapatriés et les harkis. Puis, devant le conseil régional du Languedoc-Roussillon, il avait entonné le chant colonial : "C'est nous les Africains qui revenons de loin."
Ses propos  sur l'équipe de France de football, dans laquelle il estimait qu'il y avait trop de Noirs, lui avaient valu le 27 janvier 2007 une exclusion du Parti socialiste par la commission nationale des conflits du PS. "Dans cette équipe, il y a neuf Blacks sur onze, déclarait-il en novembre 2006. La normalité serait qu'il y en ait trois ou quatre (...). S'il y en a autant, c'est parce que les Blancs sont nuls (...). Bientôt, il y aura onze Blacks. Quand je vois certaines équipes de foot, ça me fait de la peine."
 HOMME DE CONVICTION PLUTÔT QUE D'APPAREIL, IL AVAIT CE POUVOIR DE CONVAINCRE SANS PEINE.

0 commentaires: