Comme on aimerait le croire, Monsieur Fillon. Et comme on se prend à douter, pourtant, quand on entend cet homme raisonnable nous promettre la lune - ou plutôt, ce qui revient au même, un impôt indolore. Il est vrai que sa tâche n’est pas simple: on lui demande de remplir les caisses vides de l’Etat sans vider les poches des contribuables. Sans doute une forme de comptabilité miraculeuse, inspirée au Président par son pèlerinage à la cathédrale du Puy, et qui permettrait de changer la dette en gain et de multiplier les euros... Et quel serait cet impôt sans douleur, intelligent et juste, promis par Monsieur Fillon ? L’impôt sur le revenu de la fortune, à ne payer que si l’on s’est enfortuné au-delà de 1,3 million d’euros. Trop beau pour être vrai: Monsieur Fillon, vous pouvez nous jurer qu’il n’y aura pas de grand soir fiscal, nous craignons déjà des lendemains de gueule de bois.
vendredi 4 mars 2011
Miracle
Comme on aimerait le croire, Monsieur Fillon. Et comme on se prend à douter, pourtant, quand on entend cet homme raisonnable nous promettre la lune - ou plutôt, ce qui revient au même, un impôt indolore. Il est vrai que sa tâche n’est pas simple: on lui demande de remplir les caisses vides de l’Etat sans vider les poches des contribuables. Sans doute une forme de comptabilité miraculeuse, inspirée au Président par son pèlerinage à la cathédrale du Puy, et qui permettrait de changer la dette en gain et de multiplier les euros... Et quel serait cet impôt sans douleur, intelligent et juste, promis par Monsieur Fillon ? L’impôt sur le revenu de la fortune, à ne payer que si l’on s’est enfortuné au-delà de 1,3 million d’euros. Trop beau pour être vrai: Monsieur Fillon, vous pouvez nous jurer qu’il n’y aura pas de grand soir fiscal, nous craignons déjà des lendemains de gueule de bois.
Comme on aimerait le croire, Monsieur Fillon. Et comme on se prend à douter, pourtant, quand on entend cet homme raisonnable nous promettre la lune - ou plutôt, ce qui revient au même, un impôt indolore. Il est vrai que sa tâche n’est pas simple: on lui demande de remplir les caisses vides de l’Etat sans vider les poches des contribuables. Sans doute une forme de comptabilité miraculeuse, inspirée au Président par son pèlerinage à la cathédrale du Puy, et qui permettrait de changer la dette en gain et de multiplier les euros... Et quel serait cet impôt sans douleur, intelligent et juste, promis par Monsieur Fillon ? L’impôt sur le revenu de la fortune, à ne payer que si l’on s’est enfortuné au-delà de 1,3 million d’euros. Trop beau pour être vrai: Monsieur Fillon, vous pouvez nous jurer qu’il n’y aura pas de grand soir fiscal, nous craignons déjà des lendemains de gueule de bois.
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