Le Cri du contribuable a publié une interview choc de Benjamin Dormann,
qui a écrit un livre où il dénonce les subventions scandaleuses versées
par l’état aux différents organes de presse. L’homme raconte également
comment lui et son livre son frappés de censure par cette caste
nauséabonde, censée représenter un contre-pouvoir dans notre démocratie.
Morceaux choisis :
Dans cette interview et dans son livre, « Ils ont acheté la presse« ,
Benjamin Dormann explique que les subventions de l’état pour la presse
sont environ 10 fois plus élevées que dans les autre pays européens.
Avec plus de 2 milliards d’euros, environ 20% des revenus de ce secteur
sont des subventions payées par le contribuable. La presse est même
quasiment exonérée de TVA, puisque, avec 2,1% de TVA sur les journaux,
la taxe due est inférieure à celles sur le pain ou le chauffage…
« La presse en France, c’est environ un peu moins de 11 milliards
de chiffre d’affaire. Il y a entre 2 milliards et 2,2 milliards de
subventions et encore on ne peut pas tout compter. [...] C’est à dire,
en gros, 20% du chiffre d’affaire, sachant que la moyenne en Europe est
entre 2 et 3 %. »
« La presse papier continue a avoir un taux de TVA super réduit,
à 2,1%, c’est à dire en dessous des biens élémentaires que sont le pain
le gaz ou l’électricité, pour une presse qui visiblement déçoit
beaucoup de lecteurs quant à son contenu. »
En dehors de cet énième gâchis d’argent public, particulièrement
honteux en période de crise, de chômage et de baisse du pouvoir d’achat
des ménages modestes (ce ne sont pas souvent les ouvriers qui achètent
Libé et Le Monde…) et bien plus inquiétant encore, c’est la censure
décrite par Dormann, qui fait froid dans le dos.
Telle une mafia, le monde de la presse élimine systématiquement tous
ceux qui le dénoncent, qui le critique. On comprend mieux pourquoi
personne n’avait dénoncé ces subventions avant…
La presse française c'est 2 milliards de... par Contribuables
Pour résumer, la presse se comporte comme une secte, interdisant quiconque de parler de ses abus. L’autocensure est omniprésente tant la presse est puissante et fait peur à tout le monde. Les politiques, les hauts fonctionnaires, les journalistes eux-mêmes, les éditeurs, les auteurs, la télé, la radio, les institutions… Tout le monde à peur de se faire « descendre » dans la presse, donc tout le monde évite d’aborder le sujet.
Un profond problème dans la démocratie française qui tremble devant une poignée de journaliste parasites subventionnés à l’excès, dont l’idéologie nauséabonde est distillée dans tous les autres organes médiatiques, comme lors de la dernière campagne présidentielle…
Heureusement, la presse française sectaire, fermée sur elle-même et totalitaire, lasse de plus en plus son lectorat et elle finira par être punie par là où elle a pêchée. Sous perfusion de subvention elle décédera peu à peu, fatiguant son lectorat par son manque d’honnêteté intellectuelle, alors que ses homologues internationaux auront été contraints de trouver des solutions au problème du financement.
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