TOUT EST DIT

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mardi 23 novembre 2010

Nouvelle journée de mobilisation contre la réforme des retraites

Pour la neuvième fois depuis la rentrée, les syndicats appellent mardi 23 novembre à une nouvelle journée de mobilisation contre la réforme des retraites. La dernière journée de manifestation, le 6 novembre, était loin d'avoir fait le plein et depuis, la loi a été promulguée, le 10 novembre. Aussi les syndicats s'attendent-ils à une journée peu suivie. : la CGT annonce 200 rassemblements, un chiffre inférieur à celui des précédentes journées ; à la CFDT, ni le site Internet ni l'hebdomadaire de la confédération ne mentionnent la journée d'action. A Toulouse, ce syndicat fera bande à part en organisant son propre rassemblement.

Cette fois, l'intersyndicale n'appelle pas à la grève et laisse aux organisations locales le choix des modalités d'action. A Paris, un cortège fera le court trajet entre Opéra et la place de la Bourse, où les manifestants tenteront de former une chaîne humaine autour du palais Brongniart. A la SNCF, seul SUD-Rail a déposé un préavis de grève. Aucune perturbation n'est prévue à la RATP, où des préavis de grève illimitée courent depuis octobre. Des préavis de grève ont été déposés dans les transports publics de dix-neuf villes.
UN MOT D'ORDRE REFORMULÉ
La CFE-CGC et la CFTC ne participeront pas à la journée de mardi, de même que Force ouvrière : FO y voit "une stratégie d'oubli ou de diversion", quand la CFTC et la CFE-CGC estiment que l'heure n'est plus aux manifestations mais à "de nouveaux modes d'action". "Je ne pense pas que [cette journée] sera de nature à changer quoi que ce soit" sur les retraites, a dit Jean-Claude Mailly, secrétaire général de FO, lundi sur BFM, regrettant la façon dont s'est organisée la mobilisation contre la réforme. "On n'a pas utilisé tout ce qui était possible", car "FO avait proposé à plusieurs reprises une journée de grève, vingt-quatre heures de grève, ensemble public/privé. Je pense que si l'on avait fait ça ensemble, par exemple entre le 12 et le 19 octobre, cela aurait pu rebooster le mouvement", a-t-il regretté mardi sur RFI.
Pour les syndicats CGT, CFDT, FSU, Solidaires et UNSA, "la mobilisation d'un niveau exceptionnel" de l'automne "a mis en lumière l'insatisfaction criante des salariés et leurs revendications en matière d'emploi, de salaires, de conditions de travail, d'inégalité entre les femmes et les hommes, de fiscalité et de partage des richesses". Ainsi, certains des syndicats signataires de l'appel ont élargi le mode d'ordre pour cette journée d'action : dans son tract appelant à manifester, la CFDT cite désormais l'emploi, les conditions de travail et la justice sociale ; la dirigeante de la FSU, Bernadette Groison, évoque la défense du service public et "des questions sociales majeures souvent liées entre elles".
A l'inverse, pour la CGT comme pour Solidaires, "la question centrale reste celle des retraites", dont les mesures d'âge n'entreront en vigueur qu'en juillet prochain. "Les syndicats continuent d'assumer leur responsabilité d'aider les salariés à créer les conditions pour être entendus sur les revendications sociales", a déclaré Bernard Thibault mardi sur France 2. "Sur les retraites, c'est une piqûre de rappel. Personne ne peut penser que nous allons laisser les choses en l'état. Et nous offrons aujourd'hui aux salariés une nouvelle occasion d'exprimer leur désaccord", a dit le secrétaire général de la CGT.
Des négociations sur les retraites complémentaires, qui concernent tout le secteur privé, s'ouvriront vendredi et remettront sur la table la question des retraites, rappelle Nadine Prigent, secrétaire confédérale de la CGT. Une renégociation sur l'indemnisation du chômage s'ouvrira également début 2011. "Les syndicats ne peuvent pas laisser suspendu ce mouvement social", dit Mme Prigent, jugeant qu'il est de leur devoir de rappeler au patronat et au nouveau ministre du travail, Xavier Bertrand, que les manifestations ont été d'une ampleur inégalée depuis 1995.

TOUJOURS LA MÊME IGNORANCE CRASSE DES SYNDICATS ÉDUQUÉS DANS UNE VISION GAUCHISTE DE TRAVAIL ; " LE PATRON EST RICHE, C'EST DONC MON EXPLOITEUR, IL FAIT DES PROFITS SUR MON DOS".
TAXONS SES PROFITS ET DISTRIBUONS-LES !!!
AH C'EST BEAU !!!
(comme une crêpe au chorizo)
QU'EN  SERA-T-IL QUAND LE "PATRON-EXPLOITEUR" NE FERA PLUS DE BÉNÉFICE ?
IL METTRA LA CLÉ SOUS LA PORTE...ET LÀ, PLUS DE SALAIRE, PLUS DE RETRAITE, ET EN PLUS ILS LE TRAITERONT DE SALAUD.

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