TOUT EST DIT

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lundi 1 octobre 2012

Racisme anti-blanc – Casse-toi sale Français !

Avant même la sortie du livre de Copé sur le rôle présumé de la droite, les médias français en ont tiré un extrait – un seul extrait – celui sur le racisme anti-blanc. Depuis, les médias français – notamment les médias audiovisuels français-, la gauche française, l’extrême-gauche française, les historiens de gauche français, les analystes de gauche français, le Mrap et SOS Racisme se livrent à des mises en scènes qui me font littéralement hurler de rire. Avec les yeux qui balayent, qui louchent, avec la bouche de travers, c’est à celle ou à celui qui en fera le plus, en matière de surenchère démagogique, d’indignation grotesque et d’arguments bouffons.
Cela faisait vraiment très longtemps, que je ne les avais pas vu, se torde à ce point les fesses sur leurs chaises, se donnant des airs doctes, pompeux, et, surtout, indignés. C’est follement drôle, car lorsque quelqu’un en fait trop – je ne sais pas si vous l’avez remarqué-, il ou elle a l’air terriblement idiot et affreusement moche. Il y a désormais deux sortes de guignols de l’info. Ceux de PPDA sur Canal+ qui nous font marrer. Et ceux sur les plateaux de Canal+ & Consorts qui, eux, nous font carrément pisser de rire. Si ça continue comme ça, les guignols PPDA vont se retrouver au chômage, tellement les invités de Michel Denisot, de Yann Barthès & Co. sont caricaturaux.
Mais revenons au racisme anti-blanc.
A ce sujet, je lis (extraits adaptés ; cf. lien en bas de page) : Comment décrire l’état d’esprit qui est celui, actuel, de Michel del Burgo ? Colère ? Dégoût ? Incompréhension ? C’est un peu tout à la fois. Le grand chef cuisinier qui s’apprête à ouvrir un restaurant de grand prestige à Carcassonne a été victime d’une agression qu’il ne s’explique pas. Et qui le rend malade. Il raconte : Je sortais de mon établissement et me rendais en centre-ville en voiture en passant par le quartier la Conte. Je me suis arrêté à hauteur du bureau de tabac, de l’autre côté de la chaussée, pour répondre à un appel téléphonique.
Michel del Burgo : Tandis que je discutais, j’ai entendu des cris : « casse-toi de là, sale Français. T’es pas chez toi ici, casse-toi ! », raconte-t-il. « Sur le moment, ajoute-t-il, je n’ai pas pris ces invectives pour moi ». Et de poursuivre sa conversation téléphonique. « Tout d’un coup, une pierre est venue briser la vitre latérale du véhicule utilitaire, un petit camion frigo. Et puis une seconde a fait exploser le pare-brise », raconte Michel Del Burgo qui n’a eu d’autre choix que de démarrer et partir. Il a déposé plainte au commissariat de police pour cette agression qu’il ne s’explique pas. « Pourquoi est-ce que je n’aurais rien à faire à la Conte ? J’ai peut-être une tête à claques ? », s’interroge Michel del Burgo.
Michel del Burgo : « J’ai quitté Carcassonne il y a 14 ans et j’ai travaillé dans plusieurs pays où je n’ai jamais subi le moindre acte raciste. Et là, je reviens ici, dans une ville que j’ai quittée belle et tranquille, pour vivre ça ? », s’indigne le Chef. « C’est mon devoir aujourd’hui de raconter cette histoire car je sais que je ne suis pas le seul à subir ce genre d’agression. J’aime ma ville. Dans son ensemble. Mais c’est sûr, désormais, je ne passerai plus par la Conte », ajoute Michel Del Burgo (fin des extraits adaptés ; cf. ci-dessous, lien vers source).
La guerre civile c’est maintenant ?

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