Notre Président est content de lui. Pensez, il a réuni davantage de téléspectateurs que le match de foot France-Brésil ! Et jusqu’à la fin de son match à lui, « Paroles de Français », prolongations comprises. Et peu lui importe, à notre footeux présidentiel, qu’une partie du public, plus de la moitié selon les sondages, se soit endormie devant le match... Son goût de la fanfaronnade épicée de provocation fait d’ailleurs penser à un autre sélectionneur national, Raymond Domenech. Il affirme dans un magazine qu’il n’avait même pas vu les grévistes, comme notre Président. Il raille les leçons de morale des commentateurs, comme notre Président. Et il reconnaît des erreurs dans le choix des joueurs, comme notre Président devrait le faire en mettant MAM sur la touche... La différence, c’est que Raymond Domenech conclut, lucide: «Je me demande pourquoi personne ne m’a obligé à démissionner ».
jeudi 17 février 2011
Match
Notre Président est content de lui. Pensez, il a réuni davantage de téléspectateurs que le match de foot France-Brésil ! Et jusqu’à la fin de son match à lui, « Paroles de Français », prolongations comprises. Et peu lui importe, à notre footeux présidentiel, qu’une partie du public, plus de la moitié selon les sondages, se soit endormie devant le match... Son goût de la fanfaronnade épicée de provocation fait d’ailleurs penser à un autre sélectionneur national, Raymond Domenech. Il affirme dans un magazine qu’il n’avait même pas vu les grévistes, comme notre Président. Il raille les leçons de morale des commentateurs, comme notre Président. Et il reconnaît des erreurs dans le choix des joueurs, comme notre Président devrait le faire en mettant MAM sur la touche... La différence, c’est que Raymond Domenech conclut, lucide: «Je me demande pourquoi personne ne m’a obligé à démissionner ».
Notre Président est content de lui. Pensez, il a réuni davantage de téléspectateurs que le match de foot France-Brésil ! Et jusqu’à la fin de son match à lui, « Paroles de Français », prolongations comprises. Et peu lui importe, à notre footeux présidentiel, qu’une partie du public, plus de la moitié selon les sondages, se soit endormie devant le match... Son goût de la fanfaronnade épicée de provocation fait d’ailleurs penser à un autre sélectionneur national, Raymond Domenech. Il affirme dans un magazine qu’il n’avait même pas vu les grévistes, comme notre Président. Il raille les leçons de morale des commentateurs, comme notre Président. Et il reconnaît des erreurs dans le choix des joueurs, comme notre Président devrait le faire en mettant MAM sur la touche... La différence, c’est que Raymond Domenech conclut, lucide: «Je me demande pourquoi personne ne m’a obligé à démissionner ».
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