Cette hypothèse ne tient pas compte de «l'entente» entre la patronne du PS et le patron du FMI selon laquelle, le moment venu, ils décideront lequel des deux sera candidat à la primaire en vue de la présidentielle. Ce pacte a été vivement critiqué l'automne dernier lorsque le député Claude Bartolone a parlé de primaires de «confirmation».
Dans le cas d'un premier tour sans DSK, la première secrétaire l'emporterait avec 32% des suffrages, suivie de Ségolène Royal (31%), François Hollande (22%), Arnaud Montebourg (6%), du strauss-kahnien Pierre Moscovici (5%) et Manuel Valls (4%).
Au second tour, CSA propose plusieurs duels: DSK serait battu par Martine Aubry (49-51). Il gagnerait face à François Hollande (55-45) et Ségolène Royal (57-43). Martine Aubry l'emporterait avec le même score (57-43) face à Ségolène Royal ou face à François Hollande.
François Hollande gagnerait face à Ségolène Royal (51-49).
Dans cette étude, 63% des personnes interrogées affirment qu'elles n'iront «certainement pas ou probablement pas» voter aux primaires et 33% qu'elles iront «certainement ou probablement» voter.
Sondage réalisé par téléphone les 17 et 18 janvier auprès d'un échantillon représentatif de 847 personnes âgées de 18 ans et plus et inscrites sur les listes électorales en France (méthode des quotas).
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