Plusieurs pays – Inde, Arabie saoudite, etc. – ont demandé un assouplissement du cryptage des données. Les données transmises par les BlackBerry transitent en effet par les serveurs de RIM pour y être chiffrées ou déchiffrées. Il n'est alors plus possible de surveiller les données captées ou émises par ces téléphones. Or l'Arabie saoudite ou les Emirats arabes unis censurent largement Internet. BlackBerry compte quelque 500 000 utilisateurs aux Emirats arabes unis, centre d'affaires du Golfe.
vendredi 8 octobre 2010
Les Emirats arabes unis ne suspendront pas les services du BlackBerry
Les autorités émiraties ont annoncé vendredi 8 octobre que les services du téléphone mobile BlackBerry ne seraient pas suspendus le 11 octobre, comme elles avaient menacé de le faire. Elles envisageaient, faute d'accord avec RIM, le constructeur canadien de l'appareil, sur la sécurité des données, d'interdire l'accès au chat, aux e-mails et à la recherche sur Internet, y compris pour les visiteurs étrangers. Mais, "les services du BlackBerry se poursuivront comme à l'accoutumée", a annoncé l'Autorité de contrôle des télécommunications (TRA) dans un communiqué.
Plusieurs pays – Inde, Arabie saoudite, etc. – ont demandé un assouplissement du cryptage des données. Les données transmises par les BlackBerry transitent en effet par les serveurs de RIM pour y être chiffrées ou déchiffrées. Il n'est alors plus possible de surveiller les données captées ou émises par ces téléphones. Or l'Arabie saoudite ou les Emirats arabes unis censurent largement Internet. BlackBerry compte quelque 500 000 utilisateurs aux Emirats arabes unis, centre d'affaires du Golfe.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire