La politique est un sport violent, même pratiquée par les femmes. On le sait depuis que ces dames prennent toute leur place dans la lutte pour le pouvoir. Et Martine Aubry, qui fut la mèremptoire avant de jouer la rose du care, n'est certes pas la moins agressive des concurrents… Pourtant l'on s'égare en s'émouvant de ses attaques contre notre Président. Car en politique, la pire violence n'est jamais dirigée contre le camp adverse : c'est entre camarades et compagnons que l'on se déchire le plus sauvagement. Voyez la haine toujours recuite entre Dominique de Villepin et Nicolas Sarkozy. Devinez, sous les sourires, la féroce bataille entre Martine, Ségolène, Dominique et les autres pour gagner le droit d'affronter notre Président. C'est le temps des préliminaires avant le duel présidentiel. Il faut cogner en face, pour exister chez soi. Primaire ? Oui, cela s'appelle comme ça.
lundi 31 mai 2010
Primaire
La politique est un sport violent, même pratiquée par les femmes. On le sait depuis que ces dames prennent toute leur place dans la lutte pour le pouvoir. Et Martine Aubry, qui fut la mèremptoire avant de jouer la rose du care, n'est certes pas la moins agressive des concurrents… Pourtant l'on s'égare en s'émouvant de ses attaques contre notre Président. Car en politique, la pire violence n'est jamais dirigée contre le camp adverse : c'est entre camarades et compagnons que l'on se déchire le plus sauvagement. Voyez la haine toujours recuite entre Dominique de Villepin et Nicolas Sarkozy. Devinez, sous les sourires, la féroce bataille entre Martine, Ségolène, Dominique et les autres pour gagner le droit d'affronter notre Président. C'est le temps des préliminaires avant le duel présidentiel. Il faut cogner en face, pour exister chez soi. Primaire ? Oui, cela s'appelle comme ça.
La politique est un sport violent, même pratiquée par les femmes. On le sait depuis que ces dames prennent toute leur place dans la lutte pour le pouvoir. Et Martine Aubry, qui fut la mèremptoire avant de jouer la rose du care, n'est certes pas la moins agressive des concurrents… Pourtant l'on s'égare en s'émouvant de ses attaques contre notre Président. Car en politique, la pire violence n'est jamais dirigée contre le camp adverse : c'est entre camarades et compagnons que l'on se déchire le plus sauvagement. Voyez la haine toujours recuite entre Dominique de Villepin et Nicolas Sarkozy. Devinez, sous les sourires, la féroce bataille entre Martine, Ségolène, Dominique et les autres pour gagner le droit d'affronter notre Président. C'est le temps des préliminaires avant le duel présidentiel. Il faut cogner en face, pour exister chez soi. Primaire ? Oui, cela s'appelle comme ça.
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