Le récit des heures durant lesquelles Washington pensait avoir poussé le président égyptien vers la sortie.
Mardi 1er février. La nuit tombe sur la mer Rouge. A travers les fenêtres de son bureau, Hosni Moubarak peut contempler le spectacle. Depuis le début des manifestations, il réside dans le magnifique palais présidentiel de Charm el-Cheikh. Ce soir-là, entouré de ses proches conseillers, il ne cache pas sa fureur. A la fin d’une journée qui a vu plus d’un million de personnes se réunir dans la capitale pour réclamer son départ, son plus fidèle allié vient de le lâcher. A Washington, Barack Obama vient en effet d’indiquer au monde que la transition politique en Egypte devait s’effectuer « maintenant ». En d’autres termes, que le vieux dictateur devait quitter le pouvoir sans délai. Insulte suprême, le discours du président américain a été diffusé en direct et sur grand écran aux manifestants qui occupent toujours la place Tahrir, le cœur du Caire.
Le raïs est au plus mal. Pour se maintenir, il sait qu’il doit trouver une réponse, une issue politique, rapidement. Son armée elle-même donne des signes inquiétants. Troublée par la déferlante populaire qui s’est répandue dans les grandes villes égyptiennes, elle se montre très hésitante, voire rétive aux instructions… Entre le moment où il lui a ordonné de se déployer dans le centre de la capitale et celui où les soldats sont effectivement sortis de leurs casernes, de longues heures sont passées. Quant au chef d’état-major, le général Sami Anan, longtemps resté injoignable, il était à Washingto
Le cauchemar des Américains
A la Maison-Blanche, dans le Bureau ovale, on échafaude déjà l’après- Moubarak. Pour la diplomatie américaine, le pire scénario serait une transition chaotique à l’issue de laquelle les Frères musulmans parviendraient à prendre le contrôle du pays. Nul doute que dans ce cas, les islamistes dénonceraient l’accord de paix signé par l’Egypte avec Israël en 1979. Un cauchemar. Tout espoir de paix au Proche et au Moyen-Orient serait alors brisé pour de longues années. Pour l’éviter, on table sur les forces armées égyptiennes et sur un homme en particulier, le général Omar Souleimane, chef des services de renseignements. On souhaiterait que le raïs lui cède la place et que le maître-espion gouverne le pays jusqu’à la tenue d’élections générales. Moubarak sait que ce dernier, fidèle parmi les fidèles, est aussi un pragmatique dont les décisions seront au final guidées par l’intérêt de l’Etat et celui de l’armée. Le président égyptien fait un pas, il accepte une partie du projet poussé par les conseillers d’Obama. Quelques heures après le discours du président américain, il intervient à la télévision et annonce qu’il nomme Omar Souleimane, vice-président, à un poste qu’il avait supprimé à son arrivée au pouvoir en 1981. Il déclare aussi qu’il ne se présentera pas à la prochaine élection présidentielle prévue au mois de septembre. Bref, qu’il quittera le pouvoir dans sept mois.
« Qui vous dit qu’ils ne réclameront pas vos têtes ? »
Le raïs n’entend pas cependant se laisser dicter un calendrier politique par une administration américaine qu’il considère comme puérile et dangereuse pour son pays. A ses généraux se montrant le plus sensible aux sirènes de Washington (les Etats-Unis financent l’armée égyptienne à hauteur de 1,3 milliard de dollars et forment 500 de ses officiers chaque année) qui évoquent, mezzo voce, une « abdication » immédiate, ils posent cette question : « Qui vous dit qu’après mon départ ils ne réclameront pas vos têtes ? » La partie est gagnée, l’armée partage son analyse et ses craintes, le raïs tient sa revanche.
Le lendemain matin, mercredi 2 février, des milliers de personnes sorties d’on ne sait où débarquent dans le centre du Caire et s’attaquent violemment aux opposants regroupés place Tahrir. Sous l’œil impassible des soldats, le centre de la capitale devient un champ de bataille. La rhétorique du régime change de physionomie elle aussi. On évoque maintenant un complot fomenté par des forces « à la solde de l’étranger » qui cherchent à déstabiliser le pays. Pourchassés, arrêtés, violentés, les journalistes occidentaux, devenus des cibles, sont livrés à la vindicte des pro-Moubarack.
La contre-attaque de Moubarak
Du côté de Washington, c’est la panique. On ne comprend pas pourquoi les militaires égyptiens, avec lesquels le scénario de transition avait été élaboré, ne bougent pas. Pris de cours par cette contre-offensive qu’elle n’a pas vu venir, l’administration Obama dénonce officiellement « une campagne concertée » du régime contre la presse internationale. Mais en même temps, à l’abri des micros et des caméras, elle tente de reprendre langue avec l’entourage de celui qu’elle tenait la veille pour un moribond politique. Jeudi, encore furieux du lâchage américain, Hosni Moubarak refuse de rencontrer Franck G. Wisner, l’émissaire personnel de Barack Obama, envoyé au Caire à la hâte.
A la veille de la grande manifestation de vendredi, présentée par l’opposition comme celle « du départ », le vieux raïs, recevant une journaliste de la chaîne de télévision américaine ABC, pouvait lâcher sans honte : « J’en ai assez d’être président, j’aimerais bien abandonner le pouvoir maintenant, mais je ne peux pas le faire de peur que le pays ne sombre dans le chaos. »
Vivement qu'il n'y ait plus d'entrepreneur en France, plus de créateurs de richesse pour que l'on s'aperçoive enfin que l'argent ne pousse ni dans les champs, ni dans les ministères, mais que la richesse se créée avec de l'énergie, du talent, et surtout 95% de sueur, et aussi de la prise de risque. Entre temps, on sera passé à 10 millions de personnes avec un travail précaire. Ras le bol de vivre dans un pays ou la réussite est systémariquement mise sur le dos de la chance et pas du travail.
IL N'Y A QU'EN FRANCE OÙ L'ON PEUT SE PERMETTRE DE TELLES BÊTISES LA FRANCE AUX FRANÇAIS.
JUSTICE
Jean-Marc Ayrault - Député socialiste, Maire de Nantes, président de la communauté urbaine de Nantes Métropole, condamné le 19 décembre 1997 à 6 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende, pour "délit de favoritisme dans l'attribution d'un marché public".
Arnaud Montebourg - Ministre du Redressement Productif, président du Conseil Général de Saône-et-Loire, condamné le 23 mai 2012 par le tribunal de grande instance de Paris à 1 euro de dommages et intérêts à verser à chacun des cinq demandeurs et 3000 euros au titre des frais de justice pour "injure publique". Il a fait appel de ce jugement.
QUELQUES VÉRITÉS
Il n'y a pas lieu de désespérer parce que comme l'a dit Margaret Thatcher :"Le socialisme ne dure que jusqu'à ce que se termine l'argent des autres"
INAPTOCRATIE : un système de gouvernement où les moins capables de gouvernersont élus par les moins capables de produire et où les autres membres de lasociété les moins aptes à subvenir à eux-mêmes ou à réussir, sontrécompensés par des biens et des services qui ont été payés par laconfiscation de la richesse et du travail d'un nombre de producteurs endiminution continuelle.
A l'école primaire des socialistes, on apprend les 4 opérations :
- L'addition des impôts - La soustraction des revenus - La multiplication des fonctionnaires et des immigrés - La division du travail.
Aux élections prochaines, votez pour Ali Baba. Au moins vous serez sûrs de n'avoir que 40 voleurs. JEAN D'ORMESSON
COMPTE À REBOURS
AVANT DE LE FOUTRE À LA PORTE, ÇA FAIT DÉJÀ TROP LONGTEMPS QU'IL FAIT DES DÉGATS....CASSE TOI PAUV'CON !!!!!
« Le gouvernement a un bras long et un bras court ; le long sert à prendre et arrive partout, le bras court sert à donner, mais il arrive seulement à ceux qui sont tout près. »
Ignazio Silone
Les socialistes aiment tellement les pauvres qu’ils en fabriquent
C’est moi qui maîtrise la rareté de ma parole politique, pour dire des choses intelligentes quand j’ai besoin de les dire. — Ségolène Royal
J’étais partisan du non, mais face à la montée du non, je vote oui — Manuel Valls
«Le “canard boiteux” n'est pas à Florange, mais à Matignon! Il n'y a ni cap, ni vision.»RACHIDA DATI
La droite et la gauche, ce n’est pas la même chose — Pierre Mauroy
Le capitalisme, c’est l’exploitation de l’homme par l’homme. Le syndicalisme, c’est le contraire — Henri Jeanson
Même quand je ne dis rien, cela fait du bruit — Ségolène Royal
Stéphane Hessel à propos de Hollande:
"On n'en fera pas un Roosevelt !"
Le plus souvent, la liberté d’expression est mal comprise : chacun la revendique pour soi et pour ses amis, c’est-à-dire pour ceux dont on partage les opinions. Il s’agit de la liberté d’expression facile, qui donne lieu à un rituel de célébration inlassablement renouvelé. Mais la défense de la liberté d’expression au sens fort est plus rare. Elle devient en effet plus difficile à pratiquer dès qu’il s’agit d’exiger cette liberté pour ceux qui sont attachés à des idées très différentes, voire totalement opposées à celles que l’on chérit soi-même. C’est alors que la liberté d’expression prend toute sa signification politique : elle devient un combat pour autrui. Pour que « l’autre » puisse professer des opinions auxquelles je suis hostile. Robert Redeker
Etre homme politique, c’est être capable de dire à l’avance ce qui va arriver demain, la semaine prochaine, le mois prochain et l’année prochaine. Et d’être capable, après, d’expliquer pourquoi rien de tout cela ne s’est produit. — Winston Churchill
Quand un politicien se touche le visage il dit la vérité, quand il se gratte l’oreille il dit la vérité, quand il lève le pouce il dit la vérité ; c’est quand il remue les lèvres qu’il ment. — Baptiste Foisy
FRANCE SOCIALISTE
CONTRE LA PENSÉE UNIQUE SOCIALISTE
Nous ne pouvons, nous ne pourrons jamais l'aimer ce nouveau président, qui nous scrute comme si nous étions de mauvais citoyens. Aucune de ses paroles ne me rassure car il est contre mes valeurs. Rien ne pourra me le faire aimer car il a été élu pour de mauvais motifs. Je me sens déjà trahi par ses mensonges par exemple la république irréprochable, alors que son gouvernement ne l'est en rien [...], ou le non cumul des mandats, trahi par son comportement à l'égard de Nicolas Sarkozy et ses gestes ou ses discours équivoques au sein même de l’Élysée, (quelle inélégance à l'égard des 48,7 % de Français), trahi par sa déontologie mesquine et ses états d'âmes moralisateurs, quand on sait que la gauche aime se parer de vertu mais est rarement probe, trahi par cet imposteur de la république, ce petit président, cet énarque élitiste qui veut nous faire croire qu'il aime les gens, qu'il aime le peuple, alors qu'il nous méprise et ne s'adresse qu'à ses amis, trahi parce qu'il brosse tout le temps dans le sens du poil, mais d'économie jamais il ne parle, trahi parce qu'il a su retourner l'opinion en sa faveur grâce à la complicité des journalistes qui ont relayé l'antisarkozysme primaire à longueur d'éditos oiseux [...].Tout cela ressemble à de la petite politique. Augurons qu'il démissionne en proie aux difficultés, ou une cohabitation avec un premier ministre réformiste, ou dans le pire des cas pour nous qu'il soit battu dans 5 ans. Je ne lui souhaite en aucun cas toute la réussite parce que cette réussite ne saurait être celle de la France notre nation, il va insidieusement après avoir pris les commandes de l'ensemble des pouvoirs de la république, lui et ses amis, contribuer à la socialisation lente, rampante, sournoise des esprits.
PHILIPPE BOUVARD
LA VÉRITABLE "EXCEPTION FRANÇAISE": CE SONT LES MÊMES CITOYENS QUI DÉPLORENT QU'UN GOUVERNEMENT N'AIT PAS CONCRÉTISÉ DAVANTAGE DE PROJETS ET QUI, À LA PREMIÈRE VELLÉITÉ DE RÉFORME, DESCENDENT DANS LA RUE
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