Il faudrait être bien léger pour moquer la réunion hier soir à l'Elysée d'un conseil restreint sur la menace terroriste. Ou bien égaré dans ses rancœurs, comme Monsieur de Villepin, pour y déceler une cynique comédie. La menace terroriste est une réalité, comme sont malheureusement tout à fait réels les otages français enlevés au Niger… Reste cependant un malaise, un fond de suspicion. Il naît du bruyant tapage de notre ministre de l'Intérieur, Monsieur Hortefeux. Car l'Auvergnat n'est pas avare de ses alertes. Il aime à courir les commissariats pour dénoncer voyous et magistrats, et nous fait volontiers du Pasqua - mais sans l'accent qui faisait sourire quand on entendait l'ancien ministre « terroriser les terroristes ». Attention, Monsieur Hortefeux, à trop jouer le berger du conte qui criait au loup, on ne vous croira bientôt plus.
mercredi 22 septembre 2010
Loup
Il faudrait être bien léger pour moquer la réunion hier soir à l'Elysée d'un conseil restreint sur la menace terroriste. Ou bien égaré dans ses rancœurs, comme Monsieur de Villepin, pour y déceler une cynique comédie. La menace terroriste est une réalité, comme sont malheureusement tout à fait réels les otages français enlevés au Niger… Reste cependant un malaise, un fond de suspicion. Il naît du bruyant tapage de notre ministre de l'Intérieur, Monsieur Hortefeux. Car l'Auvergnat n'est pas avare de ses alertes. Il aime à courir les commissariats pour dénoncer voyous et magistrats, et nous fait volontiers du Pasqua - mais sans l'accent qui faisait sourire quand on entendait l'ancien ministre « terroriser les terroristes ». Attention, Monsieur Hortefeux, à trop jouer le berger du conte qui criait au loup, on ne vous croira bientôt plus.
Il faudrait être bien léger pour moquer la réunion hier soir à l'Elysée d'un conseil restreint sur la menace terroriste. Ou bien égaré dans ses rancœurs, comme Monsieur de Villepin, pour y déceler une cynique comédie. La menace terroriste est une réalité, comme sont malheureusement tout à fait réels les otages français enlevés au Niger… Reste cependant un malaise, un fond de suspicion. Il naît du bruyant tapage de notre ministre de l'Intérieur, Monsieur Hortefeux. Car l'Auvergnat n'est pas avare de ses alertes. Il aime à courir les commissariats pour dénoncer voyous et magistrats, et nous fait volontiers du Pasqua - mais sans l'accent qui faisait sourire quand on entendait l'ancien ministre « terroriser les terroristes ». Attention, Monsieur Hortefeux, à trop jouer le berger du conte qui criait au loup, on ne vous croira bientôt plus.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire