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mercredi 25 août 2010

Standard and Poor's abaisse la note de l'Irlande d'un cran, à "AA-"

Les rendements obligataires des pays les plus fragiles de la zone euro montaient en flèche mercredi 25 août dans la matinée, sur fond de regain d'inquiétudes sur leur situation budgétaire après la dégradation de la note de l'Irlande par Standard & Poor's.

A 10 h 20, les taux irlandais à 10 ans bondissaient à 5,414 %, contre 5,358 % mardi soir à la clôture. L'agence d'évaluation financière a abaissé mardi soir d'un cran la note de dette de l'Irlande, à "AA-" contre "AA" auparavant, invoquant la hausse pour les finances publiques du coût du soutien au système financier.

La note est assortie d'une "perspective négative", ce qui signifie que S&P envisage de l'abaisser encore. Dans la foulée, les autres obligations à 10 ans des pays périphériques, par opposition à ceux notés triple A, étaient en nette hausse.

Le taux espagnol progressait à 4,033 %, contre 4,017 % la veille, comme le grec à 11,081 %, contre 11,016 %. Les taux portugais montaient à 5,276 %, contre 5,229 % la veille, alors que les investisseurs attendaient une émission à 6 et 10 ans dans la matinée. "L'accueil de l'adjudication (du Portugal) sera un moteur important pour l'évolution des taux obligataires" mercredi, indiquent les stratégistes du Crédit agricole dans une note.

De leur côté, les taux à 10 ans allemands et français soufflaient un peu, après avoir atteint de nouveaux plus bas historiques la veille, portés par les inquiétudes sur la reprise économique américaine. Les obligations des pays les plus solides de la zone euro pâtissaient également d'un léger rebond sur les places boursières, dans le sillage de la hausse surprise du baromètre du climat des affaires IFO, principal indice de confiance en Allemagne, en août.
Le Bund allemand à 10 ans remontait à 2,201 %, contre 2,177 % la veille, tout comme l'OAT française à 2,531 %, contre 2,511 % la veille.

LA FRANCE DOIT ÊTRE RAMENÉE À CETTE NOTE, NON A CAUSE DE LA POLITIQUE DE SARKOZY MAIS À CAUSE DE LA RÉSISTANCE IDIOTE ET POLITIQUEMENT GAUCHISTE DES SYNDICATS, QUI N'ÉVALUENT PAS LES COÛTS DU SOCIALISME RAMPANT DE NOTRE SOCIÉTÉ TROP ASSISTÉE.

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