Peut-on chantonner le serrement d’une tête de gendarme entre les fesses rebondies d’une matrone ? Et fredonner qu’on adore les pandores sous forme de macchabées ? Georges Brassens nous invitait à le faire en 1955 avec « Hécatombe ». Mais un Breton qui s’était avisé de l’imiter, cette année, a subi la vengeance des cognes et une condamnation pour outrage… Nous ne nous permettrons pas d’imaginer ce juge criant « Maman » sous les assauts d’un gorille : ce serait retomber dans l’outrage avec Brassens. Mais tout de même, il faut bien convenir que les libertés du temps jadis, comme les dames du même tonneau, ont perdu de leur vigueur. Crier « Mort aux vaches » n’est plus toléré qu’à la campagne, et encore, sous réserve de n’être pas dénoncé à Brigitte Bardot. Mieux vaut donc aujourd’hui, sur les conseils de l’oncle Georges, rester silencieux sur son balcon, à voir passer les cons.
samedi 29 octobre 2011
Outrages
Peut-on chantonner le serrement d’une tête de gendarme entre les fesses rebondies d’une matrone ? Et fredonner qu’on adore les pandores sous forme de macchabées ? Georges Brassens nous invitait à le faire en 1955 avec « Hécatombe ». Mais un Breton qui s’était avisé de l’imiter, cette année, a subi la vengeance des cognes et une condamnation pour outrage… Nous ne nous permettrons pas d’imaginer ce juge criant « Maman » sous les assauts d’un gorille : ce serait retomber dans l’outrage avec Brassens. Mais tout de même, il faut bien convenir que les libertés du temps jadis, comme les dames du même tonneau, ont perdu de leur vigueur. Crier « Mort aux vaches » n’est plus toléré qu’à la campagne, et encore, sous réserve de n’être pas dénoncé à Brigitte Bardot. Mieux vaut donc aujourd’hui, sur les conseils de l’oncle Georges, rester silencieux sur son balcon, à voir passer les cons.
Peut-on chantonner le serrement d’une tête de gendarme entre les fesses rebondies d’une matrone ? Et fredonner qu’on adore les pandores sous forme de macchabées ? Georges Brassens nous invitait à le faire en 1955 avec « Hécatombe ». Mais un Breton qui s’était avisé de l’imiter, cette année, a subi la vengeance des cognes et une condamnation pour outrage… Nous ne nous permettrons pas d’imaginer ce juge criant « Maman » sous les assauts d’un gorille : ce serait retomber dans l’outrage avec Brassens. Mais tout de même, il faut bien convenir que les libertés du temps jadis, comme les dames du même tonneau, ont perdu de leur vigueur. Crier « Mort aux vaches » n’est plus toléré qu’à la campagne, et encore, sous réserve de n’être pas dénoncé à Brigitte Bardot. Mieux vaut donc aujourd’hui, sur les conseils de l’oncle Georges, rester silencieux sur son balcon, à voir passer les cons.
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