– Signe. Dominique Strauss-Kahn se place sous le signe d’un Jacques Delors, père de Martine Aubry, dont il regrette qu’il n’ait pas été candidat en 1995. C’est une manière de dire que lui ne se dérobera pas à l’appel des sondages.
– Sinclair. DSK insiste sur le fait qu’il écoute toujours son épouse journaliste et que son avis comptera. Manière de confirmer le souhait exprimé par elle de ne pas le voir candidat à un deuxième mandat au FMI. Il ne pourrait être à la fois à Washington et à Paris !
– Slalom. Champion de France de la catégorie, DSK assume totalement la politique de rigueur du FMI qu’il dirige tout en proposant une autre politique, de relance et de grands travaux pour la France.
– Socialiste. M. Strauss-Kahn se déclare « socialiste » dans les solutions pour aider les pays en difficultés. Ce n’est pas tout à fait l’avis des peuples concernés de Grèce, d’Irlande ou d’Islande.
– Souffrance sociale. DSK se déclare solidaire de ce quart des salariés français qui gagnent moins de 750 € par mois. Il fait ainsi sien le combat du socialiste Jacques Julliard, farouchement hostile pourtant à sa candidature.
– Style. Parce qu’il se veut proche du peuple et des vrais gens, DSK n’hésite pas à parler comme eux, quitte à maltraiter parfois notre langue pour faire oublier le technocrate.
– Sarkozy. DSK n’en parle jamais mais s’adresse à lui lorsqu’il s’indigne de ces politiques qui pensent plus à leur réélection qu’à leurs promesses. Sous les pavés, la plage !
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