C’est la grande découverte du week-end : Marine Le Pen est la fille de son père. Talentueuse et odieuse, exploiteuse de la haine. Obsédée par les musulmans, comme son père l’a été par les juifs. Et les enfants de Marine, les petits-enfants de Jean-Marie, croyez-vous qu’ils vomiront les bouddhistes ? L’autre découverte du week-end, c’est que la présidentielle arrive dans exactement cinq cents jours. Tous y pensent, sans toujours le dire : Martine Aubry cogne sur Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal essaie de cogner plus fort, Jean-François Copé et François Fillon se reparlent, François Bayrou discourt très longtemps en se citant… Cinq cents jours à vivre encore à ce régime. Le branle-bas du week-end nous rappelle que c’est très court. Mais n’oublions pas que c’est aussi très long, cinq cents jours, suffisamment long pour que le paysage présidentiel soit encore mille fois bouleversé
lundi 13 décembre 2010
Branle-bas
C’est la grande découverte du week-end : Marine Le Pen est la fille de son père. Talentueuse et odieuse, exploiteuse de la haine. Obsédée par les musulmans, comme son père l’a été par les juifs. Et les enfants de Marine, les petits-enfants de Jean-Marie, croyez-vous qu’ils vomiront les bouddhistes ? L’autre découverte du week-end, c’est que la présidentielle arrive dans exactement cinq cents jours. Tous y pensent, sans toujours le dire : Martine Aubry cogne sur Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal essaie de cogner plus fort, Jean-François Copé et François Fillon se reparlent, François Bayrou discourt très longtemps en se citant… Cinq cents jours à vivre encore à ce régime. Le branle-bas du week-end nous rappelle que c’est très court. Mais n’oublions pas que c’est aussi très long, cinq cents jours, suffisamment long pour que le paysage présidentiel soit encore mille fois bouleversé
C’est la grande découverte du week-end : Marine Le Pen est la fille de son père. Talentueuse et odieuse, exploiteuse de la haine. Obsédée par les musulmans, comme son père l’a été par les juifs. Et les enfants de Marine, les petits-enfants de Jean-Marie, croyez-vous qu’ils vomiront les bouddhistes ? L’autre découverte du week-end, c’est que la présidentielle arrive dans exactement cinq cents jours. Tous y pensent, sans toujours le dire : Martine Aubry cogne sur Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal essaie de cogner plus fort, Jean-François Copé et François Fillon se reparlent, François Bayrou discourt très longtemps en se citant… Cinq cents jours à vivre encore à ce régime. Le branle-bas du week-end nous rappelle que c’est très court. Mais n’oublions pas que c’est aussi très long, cinq cents jours, suffisamment long pour que le paysage présidentiel soit encore mille fois bouleversé
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