Pauvre Président, qui vole d'une guerre à l'autre ! Il y a peu encore, il espérait pacifier le monde en mettant fin, grâce au G20, à la guerre des monnaies. Impossible, prévient Madame Lagarde, qu'on a connue plus optimiste, la question est trop compliquée pour être réglée en un sommet. Notre Président escomptait également nous offrir en octobre un tout nouveau gouvernement, et nous voici en pleine guerre de Matignon, sous les feux croisés des fillonistes et des borlooistes, troupes considérables s'il en est. Oui, pauvre Président… Mais il l'a bien cherché. Qui l'obligeait d'annoncer dès juin un remaniement virant aujourd'hui à l'Arlésienne, fausses notes en prime ? Qui le contraignait à prétendre résoudre, par le miracle de sa seule personne, une crise monétaire datant d'au moins trente ans ? L'humilité est, dit-on, le secret de la réussite - mais on ne refera pas notre Président.
jeudi 11 novembre 2010
Guerres
Pauvre Président, qui vole d'une guerre à l'autre ! Il y a peu encore, il espérait pacifier le monde en mettant fin, grâce au G20, à la guerre des monnaies. Impossible, prévient Madame Lagarde, qu'on a connue plus optimiste, la question est trop compliquée pour être réglée en un sommet. Notre Président escomptait également nous offrir en octobre un tout nouveau gouvernement, et nous voici en pleine guerre de Matignon, sous les feux croisés des fillonistes et des borlooistes, troupes considérables s'il en est. Oui, pauvre Président… Mais il l'a bien cherché. Qui l'obligeait d'annoncer dès juin un remaniement virant aujourd'hui à l'Arlésienne, fausses notes en prime ? Qui le contraignait à prétendre résoudre, par le miracle de sa seule personne, une crise monétaire datant d'au moins trente ans ? L'humilité est, dit-on, le secret de la réussite - mais on ne refera pas notre Président.
Pauvre Président, qui vole d'une guerre à l'autre ! Il y a peu encore, il espérait pacifier le monde en mettant fin, grâce au G20, à la guerre des monnaies. Impossible, prévient Madame Lagarde, qu'on a connue plus optimiste, la question est trop compliquée pour être réglée en un sommet. Notre Président escomptait également nous offrir en octobre un tout nouveau gouvernement, et nous voici en pleine guerre de Matignon, sous les feux croisés des fillonistes et des borlooistes, troupes considérables s'il en est. Oui, pauvre Président… Mais il l'a bien cherché. Qui l'obligeait d'annoncer dès juin un remaniement virant aujourd'hui à l'Arlésienne, fausses notes en prime ? Qui le contraignait à prétendre résoudre, par le miracle de sa seule personne, une crise monétaire datant d'au moins trente ans ? L'humilité est, dit-on, le secret de la réussite - mais on ne refera pas notre Président.
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