Drôles de vacances… Les sénateurs, d'ordinaire lents du train, se sont hâtés de voter la réforme au soir du grand départ. C'est donc fait ou presque, nous devrons travailler deux ans de plus avant le grand repos. Et cette perspective mérite bien un petit repos d'une semaine… L'ennui, pour nos sénateurs et notre Président, est qu'ils sont nombreux, salariés, étudiants ou lycéens, à vouloir perturber ces vacances. Ils nous disent : à quoi bon faire les valises, si les pompes à essence sont à sec, et les trains à quai ? Restez plutôt manifester avec nous… A chacun de voir. Mais l'honnêteté commande de reconnaître qu'on rêve tous de vacances. De balades dans une ville sans fumigènes, ou de voyages sans files d'attente ni annulations. Et de tranquillité, les doigts de pied en éventail, par exemple pour revoir une série nostalgie des années 70 : « Deux ans de vacances ».
samedi 23 octobre 2010
Vacances
Drôles de vacances… Les sénateurs, d'ordinaire lents du train, se sont hâtés de voter la réforme au soir du grand départ. C'est donc fait ou presque, nous devrons travailler deux ans de plus avant le grand repos. Et cette perspective mérite bien un petit repos d'une semaine… L'ennui, pour nos sénateurs et notre Président, est qu'ils sont nombreux, salariés, étudiants ou lycéens, à vouloir perturber ces vacances. Ils nous disent : à quoi bon faire les valises, si les pompes à essence sont à sec, et les trains à quai ? Restez plutôt manifester avec nous… A chacun de voir. Mais l'honnêteté commande de reconnaître qu'on rêve tous de vacances. De balades dans une ville sans fumigènes, ou de voyages sans files d'attente ni annulations. Et de tranquillité, les doigts de pied en éventail, par exemple pour revoir une série nostalgie des années 70 : « Deux ans de vacances ».
Drôles de vacances… Les sénateurs, d'ordinaire lents du train, se sont hâtés de voter la réforme au soir du grand départ. C'est donc fait ou presque, nous devrons travailler deux ans de plus avant le grand repos. Et cette perspective mérite bien un petit repos d'une semaine… L'ennui, pour nos sénateurs et notre Président, est qu'ils sont nombreux, salariés, étudiants ou lycéens, à vouloir perturber ces vacances. Ils nous disent : à quoi bon faire les valises, si les pompes à essence sont à sec, et les trains à quai ? Restez plutôt manifester avec nous… A chacun de voir. Mais l'honnêteté commande de reconnaître qu'on rêve tous de vacances. De balades dans une ville sans fumigènes, ou de voyages sans files d'attente ni annulations. Et de tranquillité, les doigts de pied en éventail, par exemple pour revoir une série nostalgie des années 70 : « Deux ans de vacances ».
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