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mardi 19 juin 2012

TweetWeilergate : Zemmour et les larmes de Royal

Dans sa chronique Z comme Zemmour, le journaliste Éric Zemmour est revenu sur le scandale du TweetWeilergate. Avant les résultats du second tour des Législatives, le chroniqueur avait prévu les « larmes…très télégéniques » versées par Ségolène Royal dimanche soir. Il ridiculise également la victimisation utilisée en permanence par la Madone comme arme politique, sans oublier de souligner le manque d’élégance de l’affaire du Tweet.

Pour Éric Zemmour, Ségolène Royal, « impérieuse, arrogante, méprisante », a mérité de se faire éliminer de La Rochelle, où elle avait refusé de se soumettre au vote des militants socialistes locaux. Il estime qu’une fois de plus « la victimisation féministe est l’argument inlassable de Royal », alors même que cette fois, les socialistes ont joué le jeu et soutenu Ségolène.
On notera que Zemmour avait annoncé les larmes « télégéniques » d’une femme politique qui ne sait plus faire grand chose d’autre que de pleurer à la télévision et de se faire humilier publiquement par la « maitresse » du père de ses enfants…
Zemmour compare Ségolène Royal et Valérie Trierweiler à des « maitresses royales » prêtes à toutes les cruautés pour obtenir les faveurs du roi. Il faut bien reconnaitre qu’avec leurs comportements d’adolescentes mal dans leurs peaux, Ségolène et Valérie donnent du grain à moudre aux vieux stéréotypes machistes qui peignent les femmes en créatures cruelles, jalouses, manipulatrices et égocentriques. Dire que ces deux femmes se disent féministes…
Mes « histoires de slip » étalées à la télévision, c’est maintenant !
Petite citation de la prose zemmourienne suivie de la vidéo :

Eric Zemmour : "Ségolène Royal, ou le choix des... par rtl-fr
« La rivalité désormais publique entre l’ancienne et la nouvelle compagne de notre François Hollande, propulse les affres des familles recomposées sous les ors de l’Élysée. Notre président est une fois de plus très normal. On ne lui en demandait pas tant. Règne autour de lui ce mélange très féminin de sentimentalisme des Feux de l’amour et de cruauté implacable de la cour, lorsque les maitresses royales se disputaient le cœur du souverain. Le tweet n’a pas l’élégance littéraire d’un épigramme, mais le but est le même : tuer avec des mots. Allez, tout cela finira dimanche soir par des larmes…très télégéniques les larmes ! »

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