On n’arrête pas le progrès… La police des fraudes a découvert l’existence de logiciels permissifs. Rien à voir avec des sites pornographiques : il s’agit d’outils informatiques qui permettent à des commerçants de pratiquer une comptabilité bienveillante. Ni vu ni connu du fisc, des recettes partent dans la nature – suisse, monégasque ou autre. 4000 pharmaciens auraient ainsi permissivé leurs comptes, grugeant l’Etat de 400 millions d’euros. Mais il va être difficile d’intervenir, car l’intention malhonnête n’est pas prouvée : le logiciel, nous expliquent très sérieusement les fraudes, « n’est pas à la base permissif, mais permet d’aller dans la malhonnêteté ». C’est donc à l’insu de leur plein gré que ces pharmaciens auraient dilué leurs bénéfices et leurs impôts. Franchement, chers amis pharmaciens, la pilule de la permissivité surprise est un peu grosse à avaler…
samedi 11 décembre 2010
Permissif
On n’arrête pas le progrès… La police des fraudes a découvert l’existence de logiciels permissifs. Rien à voir avec des sites pornographiques : il s’agit d’outils informatiques qui permettent à des commerçants de pratiquer une comptabilité bienveillante. Ni vu ni connu du fisc, des recettes partent dans la nature – suisse, monégasque ou autre. 4000 pharmaciens auraient ainsi permissivé leurs comptes, grugeant l’Etat de 400 millions d’euros. Mais il va être difficile d’intervenir, car l’intention malhonnête n’est pas prouvée : le logiciel, nous expliquent très sérieusement les fraudes, « n’est pas à la base permissif, mais permet d’aller dans la malhonnêteté ». C’est donc à l’insu de leur plein gré que ces pharmaciens auraient dilué leurs bénéfices et leurs impôts. Franchement, chers amis pharmaciens, la pilule de la permissivité surprise est un peu grosse à avaler…
On n’arrête pas le progrès… La police des fraudes a découvert l’existence de logiciels permissifs. Rien à voir avec des sites pornographiques : il s’agit d’outils informatiques qui permettent à des commerçants de pratiquer une comptabilité bienveillante. Ni vu ni connu du fisc, des recettes partent dans la nature – suisse, monégasque ou autre. 4000 pharmaciens auraient ainsi permissivé leurs comptes, grugeant l’Etat de 400 millions d’euros. Mais il va être difficile d’intervenir, car l’intention malhonnête n’est pas prouvée : le logiciel, nous expliquent très sérieusement les fraudes, « n’est pas à la base permissif, mais permet d’aller dans la malhonnêteté ». C’est donc à l’insu de leur plein gré que ces pharmaciens auraient dilué leurs bénéfices et leurs impôts. Franchement, chers amis pharmaciens, la pilule de la permissivité surprise est un peu grosse à avaler…
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