TOUT EST DIT

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samedi 13 novembre 2010

Raffarin redoute "le conservatisme" si Fillon reste à Matignon

L'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin plaide pour un changement de chef du gouvernement pour lancer une nouvelle phase en vue de 2012.
 Jean-Pierre Raffarin y croit encore. A lors que le remaniement du gouvernement devrait intervenir en début de semaine, l'ancien Premier ministre espère encore voir arriver Jean-Louis Borloo à Matignon
Dans un entretien au Monde daté de dimanche/lundi, Jean-Pierre Raffarin souligne qu'il "apprécie la personne" de François Fillon. "Il revendique la continuité, c'est légitime, mais cette ligne politique ne correspond plus à celle qu'il nous faut", ajoute-t-il aussitôt, en rappelant que "c'est au président de fixer la nouvelle ligne". 
L'ancien chef de gouvernement explique "craindre" avec une reconduction de François Fillon, "le conservatisme, le statu quo". "Il faut une rupture à caractère social", estime-t-il. 
Jean-Pierre Raffarin considère que "pour gagner en 2012" la majorité a "besoin que le président de la République engage 'la deuxième rupture'". 
Pour autant, il explique qu'il n'est "pas question de renier ce qui a été fait". "Mais, ajoute-t-il, il faut être lucide: la politique qui a été engagée depuis trois ans a un mauvais impact électoral. Nous l'avons constaté aux municipales de 2008 et aux régionales de 2010, qui ont été catastrophiques". 
"Si l'on ne parvient pas à créer une nouvelle donne politique durant l'acte II du quinquennat, il n'y a aucune chance que le résultat de 2012 soit meilleur", estime l'ancien Premier ministre. 
Et dans ce contexte, il considère que Jean-Louis Borloo, qui a fait campagne depuis des semaines, serait le mieux placé pour incarner cette nouvelle phase. "Il en a toutes les qualités, dit-il, mais il n'est pas seul, d'autres parmi les gens d'expérience ou au sein de la jeune et talentueuse nouvelle génération sont à la hauteur". 
Il estime qu'avec Jean-Louis Borloo "on pourrait afficher le souhait de recoudre le tissu social ou d'inventer une nouvelle croissance". "Avec un plus jeune, on pourrait chercher à renouveler les équipes (...) et à décrisper la gouvernance". "L'essentiel, ajoute-t-il, n'est pas qui est le Premier ministre, mais ce qu'il offre au président comme capacité de mouvement". 

RAS LE BOL DE CE VIEUX BARBON, IL CASSE LES PIEDS DE TOUTE LA DROITE TRADITIONNELLE.

CES IDÉES NE VALENT RIEN;  TROP CHINOISES PEUT-ÊTRE ??

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