Crise est un mot d’origine grecque, bien sûr. Et nous y sommes, jusqu’au cou… Des inconscients, ou des privilégiés, c’est pareil, aiment à dire « vive la crise », car elle régénère. Non, la crise est haïssable, celle-ci comme les autres. Car nous devinons une chose, quand nous voyons ces dirigeants réunis dans des salles aveugles, se croisant avec des sourires crispés, puis nous causant entre deux drapeaux, solennels comme un faire-part de décès – nous devinons que tout cela terminera dans la sueur, le sang et les larmes. Quoi qu’il arrive en Grèce, il faudra se serrer la ceinture. Et nous en voudrons à nos dirigeants, qu’ils aient réussi à limiter les dégâts ou pas, parce qu’il y aura toujours trop de dégâts, surtout pour les plus faibles d’entre nous. Alors espérons que cette crise soit vite résolue – et promettons le goudron et les plumes au prochain qui chante « vive la crise ».
jeudi 3 novembre 2011
Crise
Crise est un mot d’origine grecque, bien sûr. Et nous y sommes, jusqu’au cou… Des inconscients, ou des privilégiés, c’est pareil, aiment à dire « vive la crise », car elle régénère. Non, la crise est haïssable, celle-ci comme les autres. Car nous devinons une chose, quand nous voyons ces dirigeants réunis dans des salles aveugles, se croisant avec des sourires crispés, puis nous causant entre deux drapeaux, solennels comme un faire-part de décès – nous devinons que tout cela terminera dans la sueur, le sang et les larmes. Quoi qu’il arrive en Grèce, il faudra se serrer la ceinture. Et nous en voudrons à nos dirigeants, qu’ils aient réussi à limiter les dégâts ou pas, parce qu’il y aura toujours trop de dégâts, surtout pour les plus faibles d’entre nous. Alors espérons que cette crise soit vite résolue – et promettons le goudron et les plumes au prochain qui chante « vive la crise ».
Crise est un mot d’origine grecque, bien sûr. Et nous y sommes, jusqu’au cou… Des inconscients, ou des privilégiés, c’est pareil, aiment à dire « vive la crise », car elle régénère. Non, la crise est haïssable, celle-ci comme les autres. Car nous devinons une chose, quand nous voyons ces dirigeants réunis dans des salles aveugles, se croisant avec des sourires crispés, puis nous causant entre deux drapeaux, solennels comme un faire-part de décès – nous devinons que tout cela terminera dans la sueur, le sang et les larmes. Quoi qu’il arrive en Grèce, il faudra se serrer la ceinture. Et nous en voudrons à nos dirigeants, qu’ils aient réussi à limiter les dégâts ou pas, parce qu’il y aura toujours trop de dégâts, surtout pour les plus faibles d’entre nous. Alors espérons que cette crise soit vite résolue – et promettons le goudron et les plumes au prochain qui chante « vive la crise ».
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