Les trois banques françaises qui ont dévissé dans leur valeur boursière durant l'été du fait de leurs créances douteuses sur la Grèce (valeur divisée par deux pour BNP-Paribas et le Crédit agricole, par presque trois pour la Société générale) seraient emportées par le tsunami financier qui déferlerait si la gangrène gagnait l'Italie. En effet, leurs engagements y sont bien plus élevés qu'en Grèce et approchent les 40 milliards d'euros !
Les trois banques françaises qui ont dévissé dans leur valeur boursière durant l'été du fait de leurs créances douteuses sur la Grèce (valeur divisée par deux pour BNP-Paribas et le Crédit agricole, par presque trois pour la Société générale) seraient emportées par le tsunami financier qui déferlerait si la gangrène gagnait l'Italie. En effet, leurs engagements y sont bien plus élevés qu'en Grèce et approchent les 40 milliards d'euros !
jeudi 22 septembre 2011
Sortir la Grèce de la zone euro et réduire la dette publique
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