Le mot choque, le mot pue, mais il s’impose. Manuel Valls, le premier, avait dénoncé le torrent de merde engloutissant les primaires socialistes. Il dégorgeait de l’affaire DSK, d’ailleurs il continue grâce à Monsieur Strauss-Kahn, décidé semble-t-il à éclabousser ses anciens camarades. Torrent de merde, encore, avec l’affaire Clearstream, qui empuantit l’atmosphère depuis des années. Torrent de merde dans les valises africaines de Robert Bourgi. Et torrent de merde aujourd’hui avec l’affaire Karachi… Tant mieux, diront les optimistes, c’est là le signe que passe la justice, pour nettoyer les écuries de notre République. Mais comment le croire, avec ce procès Chirac qui s’achève en eau de boudin, par la grâce d’une justice relaxative ? Oui, les torrents de merde nous cernent, et menacent déjà de couvrir la prochaine campagne. Alors, un souhait : surtout, ne pas s’habituer à l’odeur.
jeudi 22 septembre 2011
Merde
Le mot choque, le mot pue, mais il s’impose. Manuel Valls, le premier, avait dénoncé le torrent de merde engloutissant les primaires socialistes. Il dégorgeait de l’affaire DSK, d’ailleurs il continue grâce à Monsieur Strauss-Kahn, décidé semble-t-il à éclabousser ses anciens camarades. Torrent de merde, encore, avec l’affaire Clearstream, qui empuantit l’atmosphère depuis des années. Torrent de merde dans les valises africaines de Robert Bourgi. Et torrent de merde aujourd’hui avec l’affaire Karachi… Tant mieux, diront les optimistes, c’est là le signe que passe la justice, pour nettoyer les écuries de notre République. Mais comment le croire, avec ce procès Chirac qui s’achève en eau de boudin, par la grâce d’une justice relaxative ? Oui, les torrents de merde nous cernent, et menacent déjà de couvrir la prochaine campagne. Alors, un souhait : surtout, ne pas s’habituer à l’odeur.
Le mot choque, le mot pue, mais il s’impose. Manuel Valls, le premier, avait dénoncé le torrent de merde engloutissant les primaires socialistes. Il dégorgeait de l’affaire DSK, d’ailleurs il continue grâce à Monsieur Strauss-Kahn, décidé semble-t-il à éclabousser ses anciens camarades. Torrent de merde, encore, avec l’affaire Clearstream, qui empuantit l’atmosphère depuis des années. Torrent de merde dans les valises africaines de Robert Bourgi. Et torrent de merde aujourd’hui avec l’affaire Karachi… Tant mieux, diront les optimistes, c’est là le signe que passe la justice, pour nettoyer les écuries de notre République. Mais comment le croire, avec ce procès Chirac qui s’achève en eau de boudin, par la grâce d’une justice relaxative ? Oui, les torrents de merde nous cernent, et menacent déjà de couvrir la prochaine campagne. Alors, un souhait : surtout, ne pas s’habituer à l’odeur.
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