Selon plusieurs sources proches du dossier, la participation du secteur privé s'établit à l'heure actuelle à environ 75%, alors qu'Athènes souhaite une proportion de 90% de créanciers qui acceptent une décote de 21% sur leurs avoirs en dette souveraine grecque dans le cadre d'un programme d'échange de titres de dette de l'ordre de 150 milliards d'euros.
«Normalement, pour la mi-octobre, on devrait avoir l'ensemble des chiffres. Voilà une estimation, nous verrons. Nous verrons à ce moment quels sont les possibilités d'action. Je rappelle qu'au même moment, nous aurons probablement renforcé la capacité d'action du FESF», a déclaré Didier Reynders à la presse.
«C'est l'une des solutions possibles. Si le secteur privé ne prend pas ses responsabilités, il faudra bien que quelqu'un le fasse», a-t-il précisé à Reuters, en référence aux gouvernements de la zone euro.
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