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mardi 2 juillet 2013

Le poids de l’immigration sur l’insécurité

Le poids de l’immigration sur l’insécurité


Les statistiques officielles qui dérangent       

C’est un sujet interdit en politique. Si l’on établit un rapport entre immigration et délinquance on est accusé d’être un raciste pur et dur théorisant sur les prédispositions génétiques à la criminalité (voir le procès Zemmour). Des statistiques officielles existent pourtant bel et bien. Avec d’énormes précautions et circonvolutions, dans un jargon parfois illisible et indigeste au possible, avec force tableaux et graphiques, le dernier rapport de l’Observatoire National de la Délinquance et des Réponses Pénales démontre à nouveau le poids de l’immigration sur l’insécurité. Il y a bien une sur-représentation des étrangers dans la délinquance française.
L’Observatoire National de la Délinquance et des Réponses Pénales vient de rendre publique une étude dans laquelle figurent des statistiques concernant les nationalités des personnes mises en cause pour des crimes ou délits à Paris en 2009 et 2010. Sans grande surprise, cette étude établit de manière incontestable la forte proportion d’étrangers dans l’ensemble des crimes et délits commis sur notre territoire : près d’un tiers. Alors que cette étude ne permet pas de distinguer parmi les délinquants et criminels de nationalité française ceux qui le sont de fraîche date ou dont l’assimilation est catastrophique depuis des années.
Des chiffres restés très discrets et difficiles à avaler pour tous les chantres UMPS du multiculturalisme et de l’immigration de masse. Les chiffres bruts sont sans appel : en ce qui concerne les atteintes aux biens (dont les vols), le nombre d’étrangers mis en cause pour ce type d’infractions a augmenté de 48,3 % entre 2008 et 2011.
L’Observatoire offre par ailleurs un panorama par nationalité. Les nationalités les plus couramment représentées parmi les personnes mises en cause sont les Roumains, les Marocains, les Algériens, les Tunisiens, les Africains et les ressortissants de l’ex-Yougoslavie. Les Roumains sont le groupe de personnes le plus représenté et dont la part parmi les personnes mises en cause est en plus forte progression. Le nombre de mis en cause venus de Roumanie a très fortement augmenté entre 2008 et 2010, de 144,5 % pour les vols sans violences, de 168,1 % pour les vols avec effraction et de 153 % pour les vols à la tire dans la zone police. Cette accélération fait notamment suite à l’entrée de la Roumanie dans l’Union européenne à partir du 1er janvier 2007, où de nombreux réseaux  ont profité de l’ouverture pour se développer en France.
En ce qui concerne les Tunisiens, l’Observatoire notait l’année dernière un pic très marqué fin 2010-début 2011, conséquence directe ou indirecte de la révolution.
L’Observatoire marche sur des œufs
Prudente mise en garde (il y en a à chaque page) quant au résumé de ces chiffres : il s’agit des personnes « mises en cause » par la police, et non des personnes effectivement condamnées. « Il s’agit d’un concept statistique qu’on ne peut confondre en aucun cas avec la notion de culpabilité », prévient l’Observatoire de manière surprenante. Est « mise en cause » une personne dès lors que des policiers ou les gendarmes considèrent qu’il existe « des indices ou éléments graves et concordants de culpabilité, attestant sa participation à la commission de l’infraction ». A part ça, rien à voir avec une quelconque culpabilité ! Il est vrai que le laxisme judiciaire et carcéral de Taubira qui ne peut qu’encourager le sentiment d’impunité et le passage à l’acte, est passé par là.
Les femmes mineures multi mises en cause sont essentiellement originaires de Roumanie ou d’Europe balkanique. Les autres nationalités présentent des nombres de filles mineures très faibles. La part des hommes majeurs est
élevée pour les « multi-mis en cause du Maghreb » (73,3%)  et les multi-mis en cause d’Afrique hors Maghreb (65,1%).
Le rapport relève que le pourcentage des étrangers détenus est plus important que dans l’ensemble de la population (incriminations pour séjour irrégulier comprises).
En 2013, on ose à peine risquer un timide rapport avec mille précautions entre délinquance et immigration. Le nier depuis des décennies est pourtant un mensonge qui a des conséquences dramatiques sur la vie de nos citoyens au quotidien. Un mensonge qui a la vie dure, avec lequel, à l’exception du Front national, refusent toujours de rompre l’ensemble de nos pseudos-élites et autres planqués de la bien-pensance.

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