Ils étaient seize en 2002, puis douze en 2007 - combien seront-ils en 2012 à briguer nos suffrages ? Plus, sûrement beaucoup plus, à les voir tous ces jours se bousculer au portillon. Jeudi, ce sera au tour de Dominique de Villepin, qui s’est déclaré hier en mal d’incarnation. Il aura sans doute été précédé la veille par Nicolas Hulot, sur le thème «maintenant ou jamais». La semaine dernière, nous avions jeudi entendu la grosse envie de Jean-Louis Borloo, et samedi l’émotion de Jean-Luc Mélenchon. Sans oublier François Hollande et sa déclaration de Tulle... Oui, si loin de l’échéance, cela fait déjà pléthore de prétendants. Le signe d’une fin de cycle, quand les chefs ont fait leur temps. Ou plutôt le signe d’une époque où le temps va plus vite, où le chef d’un jour est rarement celui du lendemain. De la pléthore actuelle, il n’en restera qu’un - mais il sera précaire, forcément précaire.
lundi 11 avril 2011
Pléthore
Ils étaient seize en 2002, puis douze en 2007 - combien seront-ils en 2012 à briguer nos suffrages ? Plus, sûrement beaucoup plus, à les voir tous ces jours se bousculer au portillon. Jeudi, ce sera au tour de Dominique de Villepin, qui s’est déclaré hier en mal d’incarnation. Il aura sans doute été précédé la veille par Nicolas Hulot, sur le thème «maintenant ou jamais». La semaine dernière, nous avions jeudi entendu la grosse envie de Jean-Louis Borloo, et samedi l’émotion de Jean-Luc Mélenchon. Sans oublier François Hollande et sa déclaration de Tulle... Oui, si loin de l’échéance, cela fait déjà pléthore de prétendants. Le signe d’une fin de cycle, quand les chefs ont fait leur temps. Ou plutôt le signe d’une époque où le temps va plus vite, où le chef d’un jour est rarement celui du lendemain. De la pléthore actuelle, il n’en restera qu’un - mais il sera précaire, forcément précaire.
Ils étaient seize en 2002, puis douze en 2007 - combien seront-ils en 2012 à briguer nos suffrages ? Plus, sûrement beaucoup plus, à les voir tous ces jours se bousculer au portillon. Jeudi, ce sera au tour de Dominique de Villepin, qui s’est déclaré hier en mal d’incarnation. Il aura sans doute été précédé la veille par Nicolas Hulot, sur le thème «maintenant ou jamais». La semaine dernière, nous avions jeudi entendu la grosse envie de Jean-Louis Borloo, et samedi l’émotion de Jean-Luc Mélenchon. Sans oublier François Hollande et sa déclaration de Tulle... Oui, si loin de l’échéance, cela fait déjà pléthore de prétendants. Le signe d’une fin de cycle, quand les chefs ont fait leur temps. Ou plutôt le signe d’une époque où le temps va plus vite, où le chef d’un jour est rarement celui du lendemain. De la pléthore actuelle, il n’en restera qu’un - mais il sera précaire, forcément précaire.
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