Avant de savoir s’il a réussi à rassurer les Français, hier soir, en
trente minutes d’entretien télévisé, il faut réfléchir aux causes de la
dégringolade de François Hollande dans les sondages.
Combien de
fois n’a-t-on souligné qu’il a été élu autant par rejet de Nicolas
Sarkozy que par adhésion à sa personne et à son projet. Très
logiquement, il n’a bénéficié d’aucun état de grâce, les Français se
faisant peu d’illusions sur la solidité de son projet et de sa majorité
pour résister aux assauts d’une crise dont la facture s’est sacrément
alourdie depuis le 6 mai. Et s’alourdit encore, l’hypothèse de
croissance étant revue à la baisse pour 2013.
La seconde
explication tient à sa méthode – gouverner dans la durée – qui prend des
allures d’impuissance, voire d’inaction, lorsque se déversent, sans
discontinuer depuis son élection, des avalanches angoissantes de
statistiques et de plans sociaux. Nécessaires aux acteurs pour
s’approprier des décisions douloureuses, les négociations peuvent vite
devenir contre-productives. François Hollande en a conscience, qui
presse les partenaires sociaux de conclure en quelques mois.
Enfin,
ces multiples concertations contrastent avec la réactivité sarkozienne,
quelle que fut son efficacité. Elles impatientent l’opinion et
déclenchent la fronde de médias pour qui la politique doit offrir son
lot quotidien de surprises et autoriser un bilan au bout des quatre
premiers mois d’un quinquennat qui en compte soixante. Ce n’est
évidemment pas le travail présidentiel, obscur et dilué, pour sauver
l’euro par exemple, qui offre un spectacle croustillant !
En appeler au pays tout entier
François
Hollande est donc coincé entre une méthode, qui trouve sa
justification, et une urgence accrue au fil des semaines. Faute d’avoir
su, au lendemain de son élection, se dépasser pour en appeler au pays
tout entier, il est contraint de le faire à retardement, en essayant de
ne pas se renier sur le fond des promesses ni sur la manière de les
appliquer.
Pour s’en sortir, il lui fallait répondre à plusieurs
questions. Au risque d’apparaître à la remorque des événements,
allait-il annoncer de nouvelles mesures ? En dehors de quelques
précisions, il s’en tient à la logique de son programme de campagne,
mais alourdi par le ralentissement de la croissance.
Pour
concilier traitements de fond et urgences de la crise, allait- il
accélérer le rythme des décisions ? Oui, pour dire que toutes les
grandes réformes – fiscalité, flexibilité et sécurité de l’emploi,
banque publique d’investissement… – seront engagées avant la fin de
l’année pour permettre le redressement du pays en deux ans et pour
inverser la courbe du chômage d’ici un an.
Allait-il dire qui
allait payer la facture ? Pas davantage qu’hier, mais sans cacher le
montant de la douloureuse, laissant le soin au Parlement de réformer la
fiscalité et aux partenaires sociaux celui de trouver des compromis.
Quand
on a annoncé, durant la campagne, tout ce que l’on ferait pendant cinq
ans, ce n’est pas dans le factuel qu’il faut chercher l’originalité de
cette intervention télévisée. En revanche, François Hollande s’est voulu
convaincant pour montrer qu’il tenait les manettes, pour reconnaître
qu’il y avait un problème de compétitivité et pour appeler à la
mobilisation très audelà de son électorat.
On attend la traduction
concrète de cette inflexion.
QUELQUES RÉACTIONS :
La France se caractérise par son Etat obèse, son système de protection
sociale dispendieux et inefficace et son secteur privé matraqué par
l'Etat. Que préconise François [... ] ? On augmente le niveau de
taxation déjà le plus élevé et le moins égalitaire d'Europe de 20%, on
fait fuir les entrepreneurs et les investisseurs, et on ne touche
surtout pas aux deux mammouths de l’État que sont l’Éducation Nationale
et la santé. On ne touche pas non plus ni aux avantages des
fonctionnaires, ni à leur nombre. Nous ne sommes pas en Europe, nous
sommes en Corée du Nord. Il ne manque plus que les barbelés aux
frontières pour empêcher les contribuables de s'échapper du goulag !Marc Aurèle
Hollande n'est pas crédible, il
est même pitoyable. Jamais un président de la cinquième république n'a
inspiré autant de méfiance, n'a utilisé autant l'art de la comédie, et
n'a montré si peu de talent. Hollande l'homme qui disait que seuls les
riches paieraient la crise, continu dans son délire de démagogue
idéologique. Exit la relance, haro sur les riches et les classes
sociales. Quand donc Hollande dit la vérité ? Les français vont être
écrasés sous les impôts et les augmentations des tarifs publics.
Lorsqu’il parle de 20 milliards, il est en dessous de la vérité, car ce
sont plus de 30 milliards que les français vont payer pour en partie
nourrir les dépenses socialistes, et le manque de courage de Hollande.
Rien sur la réduction des dépenses sociales. Rien sur les dépenses liées
à l'immigration. Rien sur la diminution du train de vie de l'état. Rien
sur les régimes spéciaux des retraites. Hollande veut seulement faire
payer les français. Le redressement des comptes pour ce socialiste
aveugle et sans courage, c'est de faire payer toujours plus d'impôts aux
français. L'homme qui niait la crise en disant que c'était une
invention des capitalistes, l'homme qui déclarait la guerre aux riches
et à la finance, n'est qu'un politicien de gauche créateur d'impôts et
de misères. Hollande ne redressera pas le pays, et son action est vouée à
l'échec, car elle manque de cohérence. Il taxe 50 % des français à fond
pour assister ceux qui ne rapportent rien au pays. L'on se dirige vers
un appauvrissement général. Il ne veut pas réduire les dépenses, il veut
simplement les geler. Autrement dit, il maintient toutes les sources de
déficits, et plus particulièrement les comptes sociaux. Hollande
protège le système politique actuel et s'attaque à ceux qui font la
richesse du pays.
Hollande poursuit dans le cinéma et il continu dans la médiocrité.
Hollande est l'homme de l'appauvrissement des français et de la fuite
des investisseurs et des industriels, Il incarne le pire de la nullité. Deimos
Le plus vite possible sera le mieux
Il faut laisser tomber. Hollande et les socialistes, leurs ancêtres,
ces dinosaures de la politique qui sont les fossoyeurs de la France, ces
gens-là n'existent même pas au sens de la réalité du monde
d'aujourd'hui. Ce sont des morts-vivants, des moines copistes. Ce sont
des pantins du réel qui miment une scénographie et une pièce de théâtre
écrite d'avance par un auteur du XIXè siècle. Ils sont dans la situation
de La Cantatrice chauve, jouée depuis 1957 au théâtre de la Huchette.
Comme les acteurs de ce drame ubuesque, ils tournent en rond dans leur
folie. Le seul espoir qui reste à "notre" pays (par opposition à la
tournure socialiste "ce pays" qui démontrait toute leur morbidité
intellectuelle) est que celui-ci fasse faillite et le plus rapidement
possible. Que toute cette clique sortie de l'enfer de l'ENA disparaisse
avec lui, avec cette administration qui vit au dessus de ses moyens,
avec un cynisme qui saigne et outrage l'ensemble du peuple et de la
nation depuis plus de 30 ans. Il faut que cette période s'éteigne si
l'on veut que la France se redresse. Donc il faut que des gens comme
Hollande et tous ses congénères, à droite comme à gauche, disparaissent.
Le plus vite possible sera le mieux. Il faut détruire ce système.
Sarkozy l'avait compris mais le système l'a détruit. La France a besoin
de sang neuf. Hollande représente et est le syndrome de la France de la
IIIè République, voir la IVème dans ses phases intellectuelles
d’hyper-acuité. Son père comme son mentor politique étaient des dignes
représentants de cette "élite" (il faut le dire vite) qui a amené la
France au plus bas. Il a de qui tenir.
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