TOUT EST DIT

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lundi 10 septembre 2012

Un cap et une inflexion


Avant de savoir s’il a réussi à rassurer les Français, hier soir, en trente minutes d’entretien télévisé, il faut réfléchir aux causes de la dégringolade de François Hollande dans les sondages.

Combien de fois n’a-t-on souligné qu’il a été élu autant par rejet de Nicolas Sarkozy que par adhésion à sa personne et à son projet. Très logiquement, il n’a bénéficié d’aucun état de grâce, les Français se faisant peu d’illusions sur la solidité de son projet et de sa majorité pour résister aux assauts d’une crise dont la facture s’est sacrément alourdie depuis le 6 mai. Et s’alourdit encore, l’hypothèse de croissance étant revue à la baisse pour 2013.

La seconde explication tient à sa méthode – gouverner dans la durée – qui prend des allures d’impuissance, voire d’inaction, lorsque se déversent, sans discontinuer depuis son élection, des avalanches angoissantes de statistiques et de plans sociaux. Nécessaires aux acteurs pour s’approprier des décisions douloureuses, les négociations peuvent vite devenir contre-productives. François Hollande en a conscience, qui presse les partenaires sociaux de conclure en quelques mois.

Enfin, ces multiples concertations contrastent avec la réactivité sarkozienne, quelle que fut son efficacité. Elles impatientent l’opinion et déclenchent la fronde de médias pour qui la politique doit offrir son lot quotidien de surprises et autoriser un bilan au bout des quatre premiers mois d’un quinquennat qui en compte soixante. Ce n’est évidemment pas le travail présidentiel, obscur et dilué, pour sauver l’euro par exemple, qui offre un spectacle croustillant !

En appeler au pays tout entier
François Hollande est donc coincé entre une méthode, qui trouve sa justification, et une urgence accrue au fil des semaines. Faute d’avoir su, au lendemain de son élection, se dépasser pour en appeler au pays tout entier, il est contraint de le faire à retardement, en essayant de ne pas se renier sur le fond des promesses ni sur la manière de les appliquer.

Pour s’en sortir, il lui fallait répondre à plusieurs questions. Au risque d’apparaître à la remorque des événements, allait-il annoncer de nouvelles mesures ? En dehors de quelques précisions, il s’en tient à la logique de son programme de campagne, mais alourdi par le ralentissement de la croissance.

Pour concilier traitements de fond et urgences de la crise, allait- il accélérer le rythme des décisions ? Oui, pour dire que toutes les grandes réformes – fiscalité, flexibilité et sécurité de l’emploi, banque publique d’investissement… – seront engagées avant la fin de l’année pour permettre le redressement du pays en deux ans et pour inverser la courbe du chômage d’ici un an.

Allait-il dire qui allait payer la facture ? Pas davantage qu’hier, mais sans cacher le montant de la douloureuse, laissant le soin au Parlement de réformer la fiscalité et aux partenaires sociaux celui de trouver des compromis.

Quand on a annoncé, durant la campagne, tout ce que l’on ferait pendant cinq ans, ce n’est pas dans le factuel qu’il faut chercher l’originalité de cette intervention télévisée. En revanche, François Hollande s’est voulu convaincant pour montrer qu’il tenait les manettes, pour reconnaître qu’il y avait un problème de compétitivité et pour appeler à la mobilisation très audelà de son électorat. 

On attend la traduction concrète de cette inflexion.





 QUELQUES RÉACTIONS :
 La France se caractérise par son Etat obèse, son système de protection sociale dispendieux et inefficace et son secteur privé matraqué par l'Etat. Que préconise François [... ] ? On augmente le niveau de taxation déjà le plus élevé et le moins égalitaire d'Europe de 20%, on fait fuir les entrepreneurs et les investisseurs, et on ne touche surtout pas aux deux mammouths de l’État que sont l’Éducation Nationale et la santé. On ne touche pas non plus ni aux avantages des fonctionnaires, ni à leur nombre. Nous ne sommes pas en Europe, nous sommes en Corée du Nord. Il ne manque plus que les barbelés aux frontières pour empêcher les contribuables de s'échapper du goulag !Marc Aurèle


Hollande n'est pas crédible, il est même pitoyable. Jamais un président de la cinquième république n'a inspiré autant de méfiance, n'a utilisé autant l'art de la comédie, et n'a montré si peu de talent. Hollande l'homme qui disait que seuls les riches paieraient la crise, continu dans son délire de démagogue idéologique. Exit la relance, haro sur les riches et les classes sociales. Quand donc Hollande dit la vérité ? Les français vont être écrasés sous les impôts et les augmentations des tarifs publics. Lorsqu’il parle de 20 milliards, il est en dessous de la vérité, car ce sont plus de 30 milliards que les français vont payer pour en partie nourrir les dépenses socialistes, et le manque de courage de Hollande. Rien sur la réduction des dépenses sociales. Rien sur les dépenses liées à l'immigration. Rien sur la diminution du train de vie de l'état. Rien sur les régimes spéciaux des retraites. Hollande veut seulement faire payer les français. Le redressement des comptes pour ce socialiste aveugle et sans courage, c'est de faire payer toujours plus d'impôts aux français. L'homme qui niait la crise en disant que c'était une invention des capitalistes, l'homme qui déclarait la guerre aux riches et à la finance, n'est qu'un politicien de gauche créateur d'impôts et de misères. Hollande ne redressera pas le pays, et son action est vouée à l'échec, car elle manque de cohérence. Il taxe 50 % des français à fond pour assister ceux qui ne rapportent rien au pays. L'on se dirige vers un appauvrissement général. Il ne veut pas réduire les dépenses, il veut simplement les geler. Autrement dit, il maintient toutes les sources de déficits, et plus particulièrement les comptes sociaux. Hollande protège le système politique actuel et s'attaque à ceux qui font la richesse du pays.
Hollande poursuit dans le cinéma et il continu dans la médiocrité. Hollande est l'homme de l'appauvrissement des français et de la fuite des investisseurs et des industriels, Il incarne le pire de la nullité. Deimos


Le plus vite possible sera le mieux

Il faut laisser tomber. Hollande et les socialistes, leurs ancêtres, ces dinosaures de la politique qui sont les fossoyeurs de la France, ces gens-là n'existent même pas au sens de la réalité du monde d'aujourd'hui. Ce sont des morts-vivants, des moines copistes. Ce sont des pantins du réel qui miment une scénographie et une pièce de théâtre écrite d'avance par un auteur du XIXè siècle. Ils sont dans la situation de La Cantatrice chauve, jouée depuis 1957 au théâtre de la Huchette. Comme les acteurs de ce drame ubuesque, ils tournent en rond dans leur folie. Le seul espoir qui reste à "notre" pays (par opposition à la tournure socialiste "ce pays" qui démontrait toute leur morbidité intellectuelle) est que celui-ci fasse faillite et le plus rapidement possible. Que toute cette clique sortie de l'enfer de l'ENA disparaisse avec lui, avec cette administration qui vit au dessus de ses moyens, avec un cynisme qui saigne et outrage l'ensemble du peuple et de la nation depuis plus de 30 ans. Il faut que cette période s'éteigne si l'on veut que la France se redresse. Donc il faut que des gens comme Hollande et tous ses congénères, à droite comme à gauche, disparaissent. Le plus vite possible sera le mieux. Il faut détruire ce système. Sarkozy l'avait compris mais le système l'a détruit. La France a besoin de sang neuf. Hollande représente et est le syndrome de la France de la IIIè République, voir la IVème dans ses phases intellectuelles d’hyper-acuité. Son père comme son mentor politique étaient des dignes représentants de cette "élite" (il faut le dire vite) qui a amené la France au plus bas. Il a de qui tenir.

fraserve

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