Quand Pal Sarkozy arrive à Paris, en 1948, il n’a pas un sou vaillant. Il a fui son pays, la Hongrie, pour échapper à l’armée. Il voulait rejoindre la France, pays de la liberté, il a rencontré en chemin la Légion étrangère. Elle l’envoie à Sidi Bel Abbès, faire ses armes. L’étape suivante devait être l’Indochine, mais un médecin le réforme, et Pal Sarkozy prend le train pour Paris. Il a vingt ans, pas d’argent, pas de métier, et parle le français avec un accent prononcé... Il dormira sur une bouche de métro, puis dans un abri pour réfugiés, avant de trouver du travail, et rencontrer la mère de notre Président. La légende raconte (mais faut-il tout croire...) que Pal Sarkozy rencontra un jour de dèche un homme qui lui jeta: «La France aux Français !» Un autre ajouta: «Rentrez chez vous, on ne se sent plus chez nous». Ce devait être le père de Claude Guéant en goguette avec le père de Marine Le Pen.
vendredi 18 mars 2011
Pal
Quand Pal Sarkozy arrive à Paris, en 1948, il n’a pas un sou vaillant. Il a fui son pays, la Hongrie, pour échapper à l’armée. Il voulait rejoindre la France, pays de la liberté, il a rencontré en chemin la Légion étrangère. Elle l’envoie à Sidi Bel Abbès, faire ses armes. L’étape suivante devait être l’Indochine, mais un médecin le réforme, et Pal Sarkozy prend le train pour Paris. Il a vingt ans, pas d’argent, pas de métier, et parle le français avec un accent prononcé... Il dormira sur une bouche de métro, puis dans un abri pour réfugiés, avant de trouver du travail, et rencontrer la mère de notre Président. La légende raconte (mais faut-il tout croire...) que Pal Sarkozy rencontra un jour de dèche un homme qui lui jeta: «La France aux Français !» Un autre ajouta: «Rentrez chez vous, on ne se sent plus chez nous». Ce devait être le père de Claude Guéant en goguette avec le père de Marine Le Pen.
Quand Pal Sarkozy arrive à Paris, en 1948, il n’a pas un sou vaillant. Il a fui son pays, la Hongrie, pour échapper à l’armée. Il voulait rejoindre la France, pays de la liberté, il a rencontré en chemin la Légion étrangère. Elle l’envoie à Sidi Bel Abbès, faire ses armes. L’étape suivante devait être l’Indochine, mais un médecin le réforme, et Pal Sarkozy prend le train pour Paris. Il a vingt ans, pas d’argent, pas de métier, et parle le français avec un accent prononcé... Il dormira sur une bouche de métro, puis dans un abri pour réfugiés, avant de trouver du travail, et rencontrer la mère de notre Président. La légende raconte (mais faut-il tout croire...) que Pal Sarkozy rencontra un jour de dèche un homme qui lui jeta: «La France aux Français !» Un autre ajouta: «Rentrez chez vous, on ne se sent plus chez nous». Ce devait être le père de Claude Guéant en goguette avec le père de Marine Le Pen.
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